Toujours à genoux, il défit la ceinture de son pantalon et le baissa sur ses chevilles. Il se doutait de l’ordre qui allait suivre.
— Le boxer maintenant.
–Oh non, Maitresse Julie, s’il vous plait.
–Règle N°2 : JAMAIS LES DÉCISIONS DE TA MAITRESSE
TU NE CONTESTERAS.
–Obéis. Tout de suite.
Sa voix était forte et imposante, sans forcer, sans crier. Et il obéit, bien sûr.
–Oui, Maitresse Julie.
Enzo, assis sur ses talons, les genoux écartés et les yeux baissés, exposait à la vue de Julie une queue impressionnante. N’étant pas spécialiste, je la trouvais beaucoup plus grosse que la moyenne, et déjà d’une belle longueur alors qu’elle pendait encore entre ses cuisses. C’est en voyant le regard de mon amie que je comprenais tout cela. Une lueur d’envie dans le regard.
–Il fait chaud, là, tout d’un coup. Enzo, viens dégrafer mon corsage.
–Tout de suite, Maitresse Julie. dit-il avec fougue en s’approchant d’elle.
–Stop.
–Règle N°3 : UNE ATTITUDE HUMBLE ET RESPECTUEUSE TU CONSERVERAS.
–Ce qui signifie : pas d’empressement, pas de gestes brusques.
–Oui, Maitresse Julie.
Obéissant, il s’approcha plus posément et commença à dégrafer les boutons, un par un. Au fur et à mesure, la poitrine de Julie se retrouvait à l’air libre, juste cachée par le soutif. Une fois les boutons défaits, il ôta le vêtement et le laissa tomber sur le sol, restant en admiration devant ces deux globes merveilleux.
–Mes vêtements ne sont pas des chiffons qu’on jette sur le sol, dit-elle.
–Règle N°4 : À CHAQUE INFRACTION, PUNITION TU ACCEPTERAS ET MÉRITERAS.
–Oui, Maitresse Julie. Pardon pour vos vêtements, j’ignorais où les poser.
–Viens sur mes genoux pour recevoir la correction que tu mérites.
–Oui, Maitresse Julie.
Les yeux baissés en guise de soumission, il se plaça sur les genoux de sa maitresse et attendit le premier coup.
–Joli petit cul que tu as là, voyons si on peut le faire rougir un peu.
Le premier coup le surprit, les autres suivirent. La peau devenait écarlate et je voyais le plaisir briller dans les yeux de Julie. Elle s’arrêta un peu pour reposer sa main, et toucher enfin cette grosse queue qui n’en finissait pas de grossir et de se raidir. La seconde série de claques fut moins prononcée que la première, mais tout aussi douloureuse pour le jeune homme qui ne poussa pas un cri, acceptant son sort.
Julie voulait le remercier, à sa façon, d’avoir acceptée cette punition. Elle le plaça entre ses jambes, toujours à genoux et la tête baissée. Elle lui prit les poignets et plaça ses mains sur sa poitrine. Trop longtemps que des mains d’homme (de jeune homme) ne l’avaient caressée. Elle s’abandonna en arrière tandis que les mains continuaient leur caresse.
Un regard vers moi et je compris de suite. Je défis moi-même le soutif, laissant libre accès au jeune homme pour titiller ses tétons ou malaxer ses globes majestueux. Dans un même mouvement, je posais un baiser tendre sur son front, puis sur ses lèvres entrouvertes et, de ma main droite, approchait la tête d’Enzo de son sein gauche. Sa bouche remplaça la main et je sentis un spasme envahir mon amie. Elle venait de jouir, en silence.
Le temps qu’elle récupère un peu, je plaçais le jeune homme à 4 pattes sur le canapé, la tête sur les genoux de Julie. Sa main droite se posa sur cette tête et la caressa machinalement. L’autre main se tendit vers les cuisses et le sexe d’Enzo. Elle le prit dans ses mains et entreprit de le branler, doucement d’abord, puis de plus en plus vite. Il ne put pas résister bien longtemps à la fougue de Julie et éjacula sur la serviette que je venais de placer là, en prévision.
Julie n’était pas rassasiée, pas encore, et serrait toujours entre ses doigts cette queue qui ne débandait toujours pas. En pleine forme, le gamin. Surtout qu’il avait tout près de son visage, la poitrine offerte de sa maitresse. Je me mis face à eux et leur annonçais la :
–Règle N° 5 : TON TEMPS LIBRE AU PLAISIR ET AU BIEN ÊTRE DE TA MAITRESSE, TU CONSACRERAS.
Une lueur dans les yeux de Julie. Elle se leva et, le tenant par les cheveux, le fit descendre du canapé.
–Suis-moi, lui dit-elle, mais reste à 4 pattes. Elle fit le tour du canapé, son petit chien à ses bottes. Elle se plaça au milieu du canapé et y appuya légèrement ses fesses.
–Enlève mes bottes et pose-les à côté de moi, délicatement.
–Oui, Maitresse Julie.
Il s’exécuta et les déposa tout près d’elle.
–Mon leggings maintenant, ôte-le-moi et pose-le sur le dossier du canapé.
–Oui, Maitresse Julie.
Les mains tremblantes, sans trop lever les yeux, il agrippa le vêtement et le fit descendre le long des cuisses de Julie, découvrant son corps en même temps. Ses doigts caressaient la peau de ses cuisses pour faire glisser le tissu et elle en frissonnait de plaisir. Je me plaçais derrière elle, à genoux sur le canapé, pour n’en louper aucune miette.
C’est moi qui lui ordonnais :
— Lèche-lui l’intérieur des cuisses en remontant doucement jusqu’au string.
–Oui, Maitresse.
Il avait compris, soumis à ses deux maitresses.
Julie avait écarté ses jambes pour lui donner libre accès à sa féminité. Je la voyais frissonner, comprenant qu’il savait y faire. Ne voulant pas être en reste, je glissais mes mains sur les mamelles offertes, les caressant, les soupesant, appréciant surtout la douceur satinée de la peau. Je m’attardais longuement sur les tétons qui commencèrent à doubler de volume, et à devenir très durs. Ils roulaient dans la paume de ma main et, plus je les titillais, et plus les gémissements de plaisir se firent plus nets.
Je contournais le canapé pour admirer le spectacle. Enzo était arrivé en haut des cuisses de sa Maitresse mais n’osait aller plus loin. J’écartais moi-même le bout de tissu qui l’arrêtait et positionnais sa langue sur la chatte de Julie. Pas besoin d’ordre ou de consignes. Il savait ce qu’il devait faire, et semblait ne pas mal se débrouiller, en voyant la manière dont Julie se contorsionnait sous ses caresses. Ses tétons turgescents m’attiraient encore et toujours. J’en pris un entre deux doigts pour le pincer doucement.