La Comtesse d’Orgemont deux (10/10)

Une fois dans son salon, je m’agenouillais devant elle, glissais mes doigts sous sa jupe pour retirer sa culotte de coton. L’odeur de sa chatte flottait déjà dans l’air de la pièce. Je l’obligeais à maintenir sa jupe relevée jusqu’aux hanches pendant que je la léchais amoureusement, mes mains accrochées à ses fesses. Mon doigt n’hésita pas à titiller son trou plissé et elle se laissa pénétrer.

Elle finit par jouir sur mon visage et je bus tout ce que je pouvais avaler de son divin nectar. Une fois debout, je forçais sur ses épaules pour qu’elle prenne la même position que moi, précédemment. Elle ne s’y refusa pas, seulement, elle n’osa pas ôter mon string. Cela n’avait aucune importance puisque je l’avais sous ma jupe, me léchant comme une petite chienne.

Plus tard, confortablement assises, elle me raconta que, suite à notre dernière rencontre dans son magasin, le jeune vendeur ne la lâchait plus, tentant par tous les moyens possibles de la mettre dans son lit. Mais elle refusait de tromper son mari, une nouvelle fois. Et pire, avec un autre homme. Marc avait accepté de la trouver entre les bras d’une femme, pas sûr du tout qu’il accepterait de la même façon avec un homme. Si elle savait qu’il avait déjà accepté l’idée de la partager avec d’autres hommes et femmes.

Deux jours plus tard, je retournais la voir l’après-midi. Ses enfants étaient encore là et finissaient de se préparer pour aller au centre aéré. Pendant qu’ils enfilaient leurs manteaux, je fis discrètement glisser la culotte de Caro à ses chevilles. Impossible pour elle de la remonter. Je m’accroupis pour la ramasser avant que les enfants ne s’en aperçoivent. C’est donc nue sous sa robe que nous avons emmené les enfants.

Au lieu de rentrer ensuite, je l’emmenais chez Roselyne. Elle comprit très vite en voyant le chemin que nous empruntions. Dans l’ascenseur, je lui demandais de faire exactement comme moi, une fois entrées dans l’appartement. Elle acquiesça, déjà excitée par ce qui allait se passer. Roselyne nous ouvrit sa porte et, une fois entrée, je soulevais entièrement ma jupe, jusqu’à ma poitrine, découvrant ainsi mes cuisses nues. Et toute mon intimité.

Ouvrant de grands yeux devant ce spectacle inespéré, Caro se rappela de la consigne donnée dans l’ascenseur et releva le bas de sa robe. Roselyne apprécia particulièrement son geste et le lui fit savoir. Elle s’est approchée de nous pour nous caresser simultanément. D’un regard, elle me fit comprendre qu’il était temps d’ôter tous mes vêtements. Ce que je fis immédiatement. Imitée aussitôt par Caro qui ne cessait de nous surprendre.

C’est donc entièrement nues que nous sommes entrées dans le salon d’où émanait la douce mélodie d’un piano à queue. Mozart, me semblait-il. J’étais préparée aux surprises que me faisait parfois Roselyne. Celle-ci était inhabituelle. Un jeune garçon, un adolescent, tentait de jouer de son mieux l’une des symphonies de l’illustre artiste. Il s’arrêta net en nous voyant entrer dans le salon.

Énorme surprise pour lui également. Je n’avais pas essayé de cacher mon corps dénudé. C’était plus difficile pour Caro de résister à l’envie de bouger ses mains. Mais, voyant que je restais sereine, elle fit encore une fois exactement comme moi, exposant ses charmes au jeune homme. Lui, il ne savait que faire. Devait-il continuer à jouer sur son instrument ? Devait-il baisser les yeux pour ne pas gêner ces deux femmes splendides ?

Il remarqua, évidemment, que nous n’étions pas du tout gênées par sa présence et il tenta un sourire vers Caro, puis vers moi qui le lui rendis. Il attendait impatiemment ce qui allait suivre, immanquablement. C’était Roselyne, la Maîtresse. Celle qui décidait de tout. Elle, ce qu’elle regardait, c’était notre attitude, surtout celle de Caro. Et ce qu’elle voyait laissait entrevoir des tas de possibilités.

« Julien, tu as très bien travaillé et je t’avais promis une récompense. La voici. Deux jolies jeunes femmes entièrement disponibles pour toi ».

Caro avait frémi au terme « entièrement disponibles » et Roselyne avait tout vu, tout compris. Caro était mariée, et mère de famille, et surtout fidèle à son mari. Roselyne s’approcha du jeune homme, le fit se lever et le guida jusqu’à nous. C’est bien évidemment Caro qui l’attirait le plus, sa voluptueuse poitrine exposée à son regard. Il s’avança, les mains devant lui, pétrissant les seins dès qu’ils furent à sa portée.

Caro ferma simplement les yeux et se laissa peloter amoureusement. Je me plaçais derrière lui et caressait la bosse qui déformait son pantalon. Il bandait déjà très fort et l’envie était trop forte pour moi. Je devais voir et prendre en bouche cette queue juvénile. Il ne protesta nullement lorsque je défis la ceinture de son pantalon. Son slip suivit le même parcours pour finir à ses pieds.

Je me frayais une petite place entre eux deux pour avaler cette bite tellement délicieuse. C’était certainement pour lui sa première pipe et, il ne le savait pas, évidemment, mais c’était une « professionnelle » qui le suçait avidement. Je laissais son plaisir monter, stoppais juste avant l’explosion, puis je recommençais. Aux bruits caractéristiques que je percevais, il devait désormais téter goulûment les magnifiques seins de Caro.

Il ne put résister bien longtemps aux plaisirs qu’on lui donnait et éjacula abondamment dans ma gorge. Il avait un regard de vainqueur quand je me relevais face à lui. Il ne lui restait qu’une étape pour devenir un jeune homme. Un signe d’approbation de ma Maîtresse et je m’allongeais sur le tapis. Il ne croyait pas à sa chance mais pourtant, il s’agenouilla entre mes cuisses. C’est Caro qui prit sa queue en main pour le guider dans ma chatte détrempée.

Pas besoin de lui faire un dessin, il savait très bien ce qu’il devait faire ensuite. Il était un peu désordonné au début. Je le calmais en lui mettant mes mains sur ses hanches et lui donner un rythme lent et progressif. La leçon bien apprise, je me laissais baiser par ce tout jeune homme. C’était, à ma connaissance, la deuxième fois que je jouais les  » Mrs Robinson « .

Petite précision utile, c’est Caro qui lui a enfilé le préservatif que Roselyne lui avait tendu. Après s’être répandu en moi, il se rhabilla rapidement et sortit sans demander si on allait se revoir. Caro était super excitée d’avoir osé et quand Roselyne lui annonça qu’elle était prête pour une soirée libertine, avec des inconnus, elle acquiesça sans rechigner. Elle savait que nous serions auprès d’elle et de son mari.

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