Linda (05/05)

Et quand il trouve l’entrée, aidé de ses doigts, je sens entrer en moi d’abord le gland, puis tout le reste du sexe qui suit. Par derrière, il arrive à glisser toute sa queue dans mon sexe. Pour plus de facilité, je baisse un peu mon torse gardant les mains sur le mur, et j’écarte les cuisses.

Mes seins pendent dans le vide et Jessica et Luc commencent à me les tripoter. J’aime tant ça, être pénétrée et qu’on me masse les seins, assez fort ou qu’on me pince les tétons. Je glisse à l’oreille de Jessica que je ne veux pas qu’il jouisse en moi et elle comprend.

Très en forme, ce garçon me bourre littéralement la chatte de ses coups de butoirs et je vois que Jessica lui glisse à l’oreille ce que je venais de lui dire. Son bas ventre claque contre mes fesses quand sa grosse queue est au fond de moi. Je sens ses couilles et je les vois quand je penche mon visage pour regarder coulisser l’engin. Je suis subjuguée par cette bite que je vois coulisser entre mes poils. Je mouille, je mouille abondamment.

Et il n’arrête pas de limer, dur comme fer, je commence à sentir un nouvel orgasme qui monte tout doucement. Je jouis à nouveau, je chancelle tellement c’est bon, et avant même de jouir totalement, le garçon se retire et Jessica attrape sa bite et finit de le branler. Tandis que je finis de me caresser la chatte après avoir délicieusement apprécié ce matraquage, sous les yeux de Marianne et Wilfried, Luc éjacule dans la main de ma copine.

Et je suis surprise de voir celle-ci goûter au sperme, puis sa main s’approche de ma bouche et je goûte le filet blanc et visqueux qu’elle me propose. C’est amer, salé mais pas trop déplaisant. Nous quitterons les lieux tous les cinq, après avoir cette fois-ci pris une vraie douche.

Un des garçons m’a prêté un sweat-shirt, je n’ai pas remis de slip sous ma longue jupe et nous avons passé cette fin d’après-midi dans un café. Pas celui d’Olivier. Pour finir la soirée, Luc a proposé de se faire livrer des pizzas, chez lui. Tout le monde étant d’accord, nous avons rejoint son petit logement.

Arrivées chez lui, il a commandé par téléphone et on s’est installées. J’allais m’assoir quand Jessica demanda à ce que j’enlève mon sweat-shirt, pour le rendre à son propriétaire. Elle savait pourtant pertinemment que je n’avais rien d’autre dessous. Devant mon hésitation, elle se leva pour le faire passer par-dessus ma tête. J’étais de nouveau torse nu, au milieu de la pièce, alors qu’ils étaient tous habillés.

Je restais sans bouger, sans chercher à me cacher non plus, cela aurait été parfaitement ridicule et inefficace. Au contraire, j’exposais fièrement ma grosse poitrine et je voyais les yeux exorbités des garçons sur mon anatomie. C’est encore une fois Jessica qui vint à mon secours en se plaçant près de moi.

« Elle est belle ma copine, hein. Et sa poitrine, vous en dites quoi ?  »

Personne n’avait un mot à ajouter. Même Marianne s’amusait de me voir ainsi exposée, exhibée. Tout changea quand Jessica se mit torse nu également, pour donner une idée de comparaison. Les garçons étaient subjugués, mais pas au bout de leurs surprises. Un mot, un geste, et Marianne vint nous rejoindre et s’exhiber à son tour. Nous étions toutes les trois, torse nu, exposant nos seins aux regards avides des deux garçons.

On sonna à la porte. La livraison des pizzas, semblait-il. C’est moi qui fus désignée par tout le groupe pour aller ouvrir la porte au livreur. Il était jeune, de notre âge, il était beau, et noir. Il ne put dire un mot quand j’ouvris la porte, les yeux rivés sur mes gros lolos. Je lui répétais « on vous doit combien », mais il n’entendait pas.

Luc arriva avec son portefeuille, suivi de Jessica. Elle posa négligemment ses mains sur ma poitrine et commença à la caresser pendant que Luc réglait la somme convenue. Le livreur ne vérifia même pas ce que Luc avait donné et repartit avec un grand sourire sur les lèvres, après avoir déposé les emballages sur mes avant-bras.

C’est en les posant sur la table basse du salon que tout dégénéra. Jessica, toujours très excitée, releva ma jupe par-dessus ma tête. Je rappelle que je ne portais rien dessous, le string était trop trempé après la douche. Luc se colla immédiatement à mes fesses ainsi découvertes, tandis que Jessica jouait avec mes seins, vite rejointe par sa copine Marianne.

Wilfried se plaça lui aussi derrière sa copine, jupe relevée. Puis il baissa son bermuda et la culotte de Marianne devint un faible rempart devant sa virilité. J’avais son visage tout près du mien quand il la pénétra enfin. Je pus voir dans ses yeux tout le plaisir qu’elle y prenait.

Puis ce fut Luc qui se déshabilla à son tour et qui investit de nouveau ma chatte, bien préparée par ma meilleure amie. L’appartement fut vite rempli de gémissements et de bruits caractéristiques. J’étais très excitée moi aussi par la situation, l’exhibition devant le livreur et son plaisir non-dissimulé.

Quand Luc pointa son gland sur mon anus, je ne réagis pas immédiatement. Il força un peu et le gland entra d’un coup. La douleur a été vive mais elle a disparu presqu’aussitôt pour laisser place à un bien-être incommensurable. Je venais de me faire enculer. J’étais une enculée et j’adorais ça. Le mot « enculée » trottait dans ma tête et multipliait les sensations ressenties.

Luc était accroché à mes hanches et me martelait divinement. J’étais véritablement comblée. Je tombais à genoux sur le sol, suivie par mon partenaire qui ne laissa pas échapper sa proie. J’étais maintenant prise en levrette, et j’adorais cette position. Jessica avait ôté sa culotte et se masturbait devant nous. Jupe relevée, elle approcha sa chatte dégoulinante de ma bouche et je pus goûter de nouveau à son nectar, en public.

Bien émoustillée elle aussi, elle avança au-dessus de moi, sa chatte devant la queue de Luc qui n’en espérait pas tant. Il quitta mon petit trou pour investir sa grotte chaude. C’est le vide laissé en moi qui provoqua mon orgasme. Le premier d’une longue série. Car la nuit allait être longue. Nous étions affamés, de sexe.

Souvenir inoubliable bien sûr et bien plus intéressant que nos sorties en boites de l’époque.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *