Linda (03/05)

Après le diner, nous sommes retournées au bar où Olivier avait fini sa journée et nous attendait pour nous conduire au Chris-Club. C’était une discothèque banale, comme toutes celles que j’avais connues avant cela. Nous nous sommes installées à une table, enfoncées dans de profonds fauteuils qui laissaient apparaitre mes jambes, tellement ma robe était remontée.

Après tout, j’étais là principalement pour m’amuser. Olivier était installé entre nous deux et tenta une approche vers moi en essayant de m’embrasser. Je préférais reprendre un peu de Malibu et c’est Jessica qui l’embrassa à pleine bouche. Dès lors, il ne s’occupa plus que d’elle jusqu’à ce qu’elle l’entraine vers les toilettes. Ils en revinrent très satisfaits l’un et l’autre.

Nous nous sommes retrouvés sur la piste de danse et Olivier tentait encore de se frotter à moi, à mes gros seins qui semblaient le captiver. Je le laissais faire, trop excitée pour résister. Et Jessica semblait l’encourager en se plaçant derrière moi et en me poussant contre lui. Quand il posa enfin ses grandes mains sur ma poitrine, j’étais aux anges.

Les lumières furent soudain plus tamisées, la série de slows pouvait commencer. Il resta collé à moi, ses mains toujours me pelotant les seins et Jessica derrière moi. Nous dansions langoureusement tous les trois, sa bouche s’approcha de la mienne, je ne la refusais pas cette fois, puis il embrassa Jessica, puis moi de nouveau. Ma chère et tendre cousine avait glissé sa petite main entre nos deux corps bien serrés et massait la queue de notre partenaire.

Il n’y avait aucune jalousie entre nous, aucune concurrence. Elle se servait de moi, Olivier aussi. Je fus horrifiée de me rendre compte que Jessica avait osé sortir la queue de son pantalon. Puis elle me força à m’accroupir devant lui pendant qu’ils s’embrassaient tendrement. La queue se trouva forcément devant ma bouche, puis dans ma bouche.

Jessica, après toutes les confidences que je lui avais faites, savait pertinemment que j’avais déjà sucé des bites et que j’appréciais quand elles étaient bien dures et bien grosses. En l’occurrence, j’étais comblée une nouvelle fois. La situation était tellement excitante qu’il ne tarda pas à remplir ma bouche de bonne semence que j’avalais goulûment.

Elle en savait certainement bien plus sur moi que je n’en savais sur elle. Même si je me doutais que ce n’était plus une oie blanche. Je suis retournée m’asseoir et me désaltérer en attendant leur retour. C’est alors qu’ils revenaient vers notre table qu’une bande de potes à Olivier l’apostrophèrent et ils le suivirent à notre table. Ils firent servir deux bouteilles, Whisky et Tequila, que nous dûmes partager avec eux. Ils ne nous ont pas lâchés de la soirée, enfin surtout moi, ils avaient compris que Jessica et Olivier étaient ensemble, au moins pour la soirée.

Je fus harcelée de questions, des mains se posèrent sur mes genoux, sur ma cuisse, sur mes épaules. Je les repoussais à chaque fois mais elles revenaient sans cesse, comme un papillon de nuit attiré par la lumière. L’un d’eux tenta de m’embrasser à pleine bouche, je refusais devant son haleine fétide et tournais la tête pour me retrouver devant une autre bouche, avec la même haleine aux relents alcooliques.

Deux mains puissantes réussirent à écarter mes cuisses et j’allais hurler que je ne voulais pas quand Olivier intervint finalement. Il se leva, m’entrainant avec lui et Jessica et nous ramena en ville. Il s’excusa du comportement de ses potes mais je ne pouvais ignorer que j’avais failli être violée par ces mêmes amis. C’est dans les bras de Jessica que je me consolais en rentrant chez elle.

Mis à part cette première soirée chaotique, mes vacances chez Jessica se déroulaient au mieux. Après avoir fait la connaissance d’Olivier, nous avons eu nos sorties en discothèque toutes les deux. Nous ne sommes pas tombées sur des mecs intéressants, des dragueurs invétérés le plus souvent, qui s’occupaient plus à se bourrer la gueule plutôt qu’à nous proposer de danser. Nous sortions très déçues de ces soirées-là et nous nous contentions de nous retrouver ensemble dans le lit de ses parents, avant qu’ils ne rentrent.

Un soir où l’on se cajolait mutuellement, on ne les a pas entendus arriver et sa mère nous a surprises, enlacées et complètement nues. Son mari l’a rejointe et, en silence, ils nous ont observées un long moment (je suppose). C’est moi qui les ai aperçus avant d’avertir Jessica. Nous sommes retournées dans sa chambre, toujours nues, en passant tout près de ses parents qui n’osèrent pas dire un mot.

Par contre, peu de temps après, nous les avons entendus très clairement qui faisaient l’amour. Dans ma tête de jeune vicieuse, j’imaginais que le papa pensait à moi en faisant sauvagement l’amour à sa femme. Aurais-je aimé me retrouver entre ses pattes ? Oui, je le pense vraiment. Mais je n’oserais jamais tromper ma tante, ma cousine. Je tenais trop à elle et j’adorais ce qu’elle me faisait, dans l’intimité.

Un samedi, elle me dit qu’il fallait que je rencontre une de ses meilleures copines, Marianne. Nous prîmes rendez-vous au stade, où Wilfried, le copain de Marianne avait un match de foot. J’ai suivi ce match avec désintérêt, mais je ne ratais pas un coup d’œil sur les garçons qui courraient sur la pelouse. C’était bien pour faire plaisir à Jessica, mais j’avais horreur du foot à l’époque.

Mon père nous bassinait à la maison avec ses matchs à la télé ! Quand ce n’était son club favori, c’était l’équipe de France qui jouait. Pour la Coupe d’Europe, pour la Coupe du Monde, pour la ligue européenne. Et quand le foot était fini, il reprenait avec le rugby, le tennis, le Tour de France. Mon père est un grand sportif, devant sa télévision. LOL.

Je dois dire que Marianne est une belle fille. Elle est rousse, comme moi, les cheveux très longs. Elle est forte également et nous faisons connaissance pendant le match. Nous discutons tandis que Wilfried, son petit ami, jouait son match. Le score, je ne m’en souviens plus et je dois avouer que cela n’avait que peu d’importance à mes yeux. Les garçons semblaient pourtant satisfaits de leur rencontre, et de leur prestation.

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