Je croisais le regard d’Amélie dans le reflet d’un miroir, lui indiquant du regard sa nouvelle tâche. Elle se retourna, s’agenouilla devant Élodie, baissa sa culotte et entreprit de la lécher goulument. Elle y mettait de l’ardeur, la salope, malaxant les petites fesses, les écartant l’une de l’autre, ses doigts jouant autour de l’anus, le caressant pour le rétracter, puis la langue trouva le clito qui ne demandait qu’à sortir de sa cache.
Toujours calée derrière elle, j’avais ôté son joli soutif en dentelle et caressais sa poitrine menue, tout en l’embrassant tendrement. Ses tétons devinrent tout durs dans ma paume, elle frémit, puis se mit à trembler de tout son corps. Amélie accéléra sa caresse qui se fit plus précise, puis lui entra deux doigts dans le cul. Le tourbillon qui l’emporta lui coupa les jambes, je la soutenais, heureusement et Amélie ne la lâchait pas non plus, la soutenant comme elle pouvait.
Épuisée, on la laissa s’allonger sur la moquette, le regard dans le vide, ses mains cherchant quelque chose à agripper. Amélie se mit à quatre pattes, lui offrant sa poitrine, puis, généreuse (et intéressée aussi) la lui donna à téter. Élodie, aux anges, ne se fit pas prier et commença à téter la poitrine offerte, abandonnée, les jambes écartées, impudique mais si attendrissante. Je profitais de sa position pour finir le nettoyage de sa chatte, léchant le moindre recoin, puis relevant ses jambes très haut, enfonçais ma langue dans son anus.
Le résultat fut immédiat, elle jouit à nouveau dans ma bouche et je bus tout son nectar, jusqu’à la dernière goutte et on la laissa se reposer quelques minutes, fouinant dans les rayons à la recherche d’un ensemble qui nous ferait envie.
Élodie se leva au bout de longues minutes, puis se dirigea vers moi, nue, superbe. Elle se mit à genoux devant moi, descendit ma jupette et écarta mon string et tenta de me rendre le plaisir que je lui avais procuré. Elle était gauche, maladroite et elle m’avoua plus tard que c’était sa première vraie expérience avec une femme, deux au juste.
Malgré ses envies grandissantes, elle n’avait jamais franchi le pas, juste des caresses, des touche-pipi et du roulage de pelles au collège. Rien depuis. Amélie, de son côté, ôta mon top et mon soutif et s’occupa de mes seins qui n’attendaient que ça. Elle, elle savait y faire maintenant et le plaisir grimpait, doucement. Elle se mit à genoux derrière moi, s’occupant de mon trou du cul, puis sa langue experte prit la place de celle d’Élodie. Je m’allongeais sur le sol, Amélie toujours entre mes cuisses, j’attirais Élodie près de moi et plaçais ma tête entre ses cuisses et elle en fit de même entre les cuisses d’Amélie. Le trio s’activa et on a fini par jouir toutes ensemble, Élodie m’expliqua plus tard qu’elle répliquait exactement ce que je lui faisais, si bien qu’elle réussit à faire jouir ma belle Amélie.
Il nous restait tout juste une demi-heure avant l’ouverture du magasin. Élodie nous entraina dans les rayons, nous présentant les modèles qui, à son goût, nous iraient bien. Et elle avait vraiment bon goût pour cela aussi. Pour Amélie, elle lui fit essayer, et adopter, un ensemble sage mais très joli, un tanga et soutif blancs, relevés d’un liseré rose avec de la fine dentelle, le soutif ouvrant devant. Et elle ne se gêna pas pour en vanter les avantages, joignant le geste à la parole.
Pour moi, elle choisit un bel ensemble vert et fuchsia, relevé de fine dentelle blanche, « un ensemble « sucré-salé » » dit-elle, pour mettre à jour mon côté « tendre-sauvage ». Je lui réajustais son joli soutif en dentelle, tandis qu’Amélie lui remettait sa culotte. Puis nous fîmes un gros câlin, dans les bras les unes les autres, avant de remettre chacune nos vêtements, à regret. Elle ne nous fit pas payer pour les ensembles, nous expliquant comment elle pouvait les faire passer en pertes et profits.
On se jura de se revoir très vite, un soir ou un weekend, chez elle ou chez moi, à voir. Elle remonta le rideau de fer, ouvrit la porte et nous regarda partir, une larme à l’œil.
Nous nous sommes promenées au centre-ville avant de rentrer manger. Une bonne sieste près le repas, nous sommes restées allongées, côte à côte. Elle m’expliquait tout ce que nous ferions le weekend prochain, chez elle. Elle me parla aussi un peu de sa vie avant moi, ses aventures avec un garçon, maladroit, et ses désirs profonds qu’elle croyait devoir cacher au monde entier, de peur d’être exclue, traitée comme une malade mentale.
Je la rassurais comme je pouvais et je lui promis de l’aider à trouver les mots, et le bon moment, pour l’annoncer à ses parents. J’avais déjà ma petite idée, bien cachée dans ma tête, hihihi.
Le dimanche matin, comme à mon habitude, je partis courir tandis qu’elle dormait encore. En rentrant, j’eus la surprise de trouver Julie qui discutait avec Amélie. Elle se sentait seule, sans sa fille, et voulait nous inviter à manger. On accepta, évidemment, sans aucune arrière-pensée. Je savais que chaque chose arrive à point à qui sait attendre.
Nous avons donc passé une très bonne après-midi en sa compagnie. Sa petite devant revenir vers 17 heures, nous l’avons laissée, nous promettant de nous revoir, bientôt.
Amélie retourna dans sa chambre d’étudiante le lendemain matin. La plupart de mes camarades de classe étaient en vacances, cette semaine. Moi, j’avais accepté de seconder certains professeurs qui donnaient bénévolement, des cours de rattrapage à des élèves qui souhaitaient intégrer l’université à la rentrée. Travail bénévole mais très enrichissant, et pas trop fatiguant.
(Cf. Karine)
Mon premier weekend chez Amélie
Je suis arrivée tard à la gare de St Malo, vers 19 heures 30. Amélie était venue me chercher en voiture avec son père. Juste le temps de poser mon sac de voyage dans sa chambre, au premier étage du pavillon, et nous passions à table. C’est là que j’ai rencontré toute sa famille. Son père, Francis, entrepreneur, sa mère, Corinne, ancienne professeur des écoles qui s’occupe de sa maison maintenant, et Charlène, sa petite sœur, qui fêtera ses 15 ans le lendemain.
Ambiance agréable et très bonne soirée passée à discuter ensemble. C’est une famille très ouverte, seule Amélie semblait intimidée de me présenter à sa famille. Nous sommes allées nous coucher vers 23 heures, les filles à l’étage et les parents au rez-de-chaussée.