Amélie (02/23)

La serveuse semblait très intéressée mais elle dut remonter car on l’appelait en haut. Je pense que je reviendrai faire un tour dans ce bar, sûrement même, et que je lui offrirai cette petite salope d’Amélie.

Pour être tout à fait honnête, je connais très bien ce bar et encore plus la serveuse. Elle s’appelle Aana et c’est mon ex-copine. Nous avons vécu presque deux ans ensemble avant de nous séparer mais nous avons su rester amies. Parfois même, je viens faire des extras dans ce même bar pour m’aider à payer mon loyer.

Mais c’est la première fois que j’y venais avec une de mes conquêtes. Passée la surprise de me revoir accompagnée, Aana sembla très intéressée par mon côté « dominatrice » avec Amélie. Il me faudra prévoir une soirée ensemble.

Nous sommes rentrées en bus. À peine assise, coté fenêtre, je la fis se relever afin de baisser ses collants jusqu’aux genoux pour avoir libre accès. Elle s’abandonna à mes caresses, sans retenue aucune. Très peu de monde dans le bus un dimanche après-midi. J’ouvris son corsage, sortis un sein de son bonnet et je pus enfin titiller son téton, qui se mit à durcir très vite.

Ma langue agile et mes doigts experts l’amenèrent rapidement à l’extase. Elle se lâcha et ne put s’empêcher de soupirer très fort. Même le chauffeur du bus jeta un coup d’œil vers nous dans son rétroviseur. Je la laissais reprendre ses esprits et je l’aidais à remonter ses collants avant de descendre du bus sous le regard réprobateur d’une vieille dame qui semblait avoir compris ce qu’Amélie avait subi.

L’air frais lui fit du bien et je portais son sac jusqu’à mon appartement. Je saluais ma voisine sur le palier avant de faire entrer Amélie d’une bonne tape sur ses fesses. J’accrochais sa veste près de la mienne et elle s’assit sur le sofa, tandis que j’allais lui chercher le verre d’eau qu’elle avait demandé. Après quelques minutes, elle demanda à se laver et se changer. Sans sa culotte, les collants étaient tout trempés et gluants de mouille. Je l’accompagnais dans la salle de bain. Je défis sa jupe, enlevais ses collants, puis son corsage et son soutif.

Elle était nue devant moi, à ma merci.

Quelle splendide créature !!!

Un peu rondelette certes mais si douce, si innocente. Bras ballants, elle n’osait bouger, attendant la suite. Je soupesais ses seins, caressait ses tétons de mes pouces, puis mes mains descendirent sur ses hanches, accueillantes, faites pour le plaisir.

À genoux devant elle, j’avais une vue imprenable sur cette petite chatte que je venais de faire jouir à plusieurs reprises. Elle eut un mouvement de recul quand j’approchais ma bouche mais le lavabo l’arrêta. Elle posa ses mains sur ma tête pour me repousser, empêcher cette caresse buccale car elle se sentait sale, mais ma volonté était plus forte et elle dut se résoudre à me laisser faire. Elle posa ses mains sur le lavabo pour se tenir et ouvrit ses cuisses pour me permettre d’accéder à sa chatte humide et odorante.

Quel bonheur !!!

Je m’agrippais à ses fesses pour la manger toute. Quel délice !!!

Je la sentis frémir quand ma langue effleura son clitoris mais elle était mienne maintenant, totalement vouée à mes désirs. D’elle-même, elle posa une jambe dans mon dos afin de s’ouvrir encore plus. Je pus descendre plus bas et tourner ma langue autour de son anus, puis entrer ma langue. Elle poussa un petit cri de surprise mais me laissa entièrement libre de continuer.

Elle ne tarda pas jouir, encore une fois, mais ma bouche était là pour boire tout son jus, l’aspirer jusqu’à la dernière goutte. Elle est délicieuse, vraiment. Je me relevais pour la prendre dans mes bras, l’embrasser à pleine bouche, encore humide de son jus qu’elle devait gouter pour la première fois. Tout en la soutenant, je l’emmenais dans la chambre et l’allongeais sur le lit. Elle était dans un état second, comme en extase.

Je la laissais quelques minutes pour aller me désaltérer. Elle émergeait à peine quand je revins dans la chambre. Elle me sourit tendrement, puis me tendit la main pour que je m’approche. Elle glissa ses mains sous ma jupe quand je fus assez près pour descendre ma culotte.  Puis me guida du regard pour que je m’assois sur sa bouche.

Elle voulait me donner du plaisir à son tour. J’acceptais bien sûr et me plaçais
au-dessus de sa tête. Malgré son manque d’expérience, la caresse fut très agréable. Elle apprenait vite, la petite coquine, et sa langue commença à me faire monter en moi une intense chaleur. Elle prit mes fesses dans ses mains pour aller plus loin encore, tout comme je lui avais fait dans la salle de bains. Je retardais le plus possible la jouissance pour qu’elle soit plus intense encore. Je me suis levée pour ôter ma jupe et mon top, puis je me suis placée au-dessus d’elle.

En 69, ma position favorite.

Elle reprit sa caresse et elle osa même tourner autour de la rondelle de mon anus, sans y entrer pour autant, mais un frisson d’envie parcourut mon corps. Ma langue reprit son parcours de découverte de cette petite chatte. Je léchais ses lèvres intimes, titillait son clito.

Amélie sembla comprendre et se mit à imiter ma langue. Tout ce que je lui faisais, elle le faisait à son tour. Quand nous fûmes synchrones, j’accélérais doucement le mouvement. Elle adopta mon rythme et je finis enfin par exploser dans sa bouche, juste avant qu’elle ne fasse de même.

Après de longues minutes allongées l’une contre l’autre à profiter de l’instant présent, je lui proposais de prendre une douche, ensemble.

Adossée au mur, je la savonnais partout. Mes mains parcouraient son corps, c’était un vrai délice. À son tour, elle me lava aussi tout partout. Quel plaisir de sentir ses mains sur mon corps, s’attarder sur mon ventre, ma poitrine. En effleurant mes tétons, elle sentit que cela ne m’était pas indifférent et je vis dans ses yeux coquins qu’elle avait enregistré l’information.

Après le diner, nous sommes restées des heures à discuter avant de retourner au lit. La nuit fut plus calme, elle était rassasiée, moi non, pas encore tout à fait. Mes mains ne pouvaient s’empêcher de caresser son corps, sa peau si douce, sa poitrine voluptueuse. J’approchais ma bouche et me mis à la téter, tendrement.

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