Un changement de programme au dernier moment ? Cela n’était pas pour me déplaire. Je pense que Louise en sera également ravie. Elle semblait justement se réveiller et se rendre compte d’une nouvelle présence. Laura, entièrement nue, s’allongea sur moi, offrit un large sourire à Louise qui s’était retournée.
Puis, elle se pencha légèrement pour lui offrir ses lèvres de jeune fille, tandis que leurs mains partaient à la découverte de ce corps qui s’abandonnait aux caresses. J’avais écarté les cuisses et mon clito frottait contre celui de Laura. Mes tétons étaient durs comme du bois et frôlaient ceux de ma belle-fille.
Très rapidement, ma chambre fut emplie de gémissements qui trahissaient le plaisir que nous pouvions ressentir. J’ai joui de nouveau, Louise aussi, et c’est ensemble que nous avons réussi à faire jouir cette petite coquine de Laura. Nous sommes restées couchées jusqu’à 11 heures passé. Mêlant caresses et farniente.
Je me suis levée la première pour proposer une douche commune, proposition qui a été acceptée avec beaucoup d’enthousiasme par mes deux partenaires. Encore des caresses, des baisers, et énormément de plaisir à se frotter les unes contre les autres. Puis à se sécher mutuellement. Chacune a récupéré des vêtements, éparpillés dans l’appart. Elles sont réparties ensemble, comme deux lycéennes. On aurait pu croire qu’elles se connaissaient de longue date.
Le lendemain, je retrouvais Léandre, et Christiane, sa mère, et les habitudes reprirent le dessus. Anne-Laure également, puisque c’est une collègue de travail. Entre deux portes, elle m’a réservé l’appart pour le mardi soir. Avec un clin d’œil complice. Elle me précisa, par SMS, qu’elle me rejoindrait sur place. J’étais juste devant la porte quand je l’entendis monter.
Oh surprise ! Ce n’était pas Louise qui l’accompagnait mais Audrey, son amie d’enfance. Elles avaient fini la nuit ensemble, ce 14 juillet, et le dimanche aussi. Je compris qu’elle avait rompu avec Louise après avoir retrouvé des passions communes avec la jeune femme. Ce qu’elle me confirma bien plus tard.
Si moi, j’étais surprise, Audrey l’était tout autant que moi. Anne-Laure lui expliqua en trois mots que je lui prêtais ce pied-à-terre car, chez elle, c’était trop compliqué. Audrey se contenta de ces maigres explications. Le pourquoi et le comment n’avait que peu d’importance. Ce qui comptait véritablement, c’est ce qu’elles allaient faire ici. Je me préparais à sortir pour les laisser entre elles quand Anne-Laure me retint quelques minutes.
« Tu peux rester quelques minutes, j’ai quelque chose à te montrer ».
Je n’avais rien d’autre de prévu et j’acceptais son invitation. Elle se plaça alors derrière Audrey qui me faisait toujours face, lui souffla légèrement derrière l’oreille en posant ses mains sur son ventre. Puis, elle les remonta lentement vers la généreuse poitrine. Que dis-je ? Fabuleuse poitrine de la jeune femme qui s’abandonnait totalement.
Tout doucement, elle commença à déboutonner le corsage, écartant le tissu après chaque bouton défait. Le ventre apparaissait, puis le soutif, noir. Une fois les épaules dégagées, elle baissa les bretelles, dégrafa l’attache dans le dos pour libérer des seins splendides. Je dois avouer que j’étais sous le choc. Et sans doute bouche bée devant le spectacle offert.
Je n’avais encore jamais vu de si grosse poitrine, en vrai, je veux dire. Nue. Même celle de Christiane, ma responsable, n’était pas aussi volumineuse. Je dois avouer que je l’enviais. Tous les hommes devaient rêver de pouvoir caresser ces deux globes merveilleux. Quand on en parla, bien plus tard dans la soirée, elle m’expliqua qu’elle était flattée des regards qui étaient portés sur elle et ses gros nénés mais aussi agacée un peu qu’on ne la juge que sur son physique avantageux. Mais au final, je compris qu’elle en était ravie tout de même.
J’ignore comment ma bouche a pu se retrouver en train de téter ces deux merveilles. J’avais simplement fermé les yeux en rêvant les prendre en bouche et mon vœu s’était réalisé. Anne-Laure était derrière moi et dégrafais ma robe. Je me retrouvais en sous-vêtements entre les deux femmes. Puis très vite complètement nue. Ce fut au tour d’Audrey de se faire déshabiller par une
Anne-Laure très coquine.
Elle nous guida vers la chambre et, tandis que je reprenais la tétée, elle se mit nue également. Nous avons fait l’amour toute la nuit, avec des périodes de repos où nous avons pu apprendre à se connaître mieux. Puis, on recommençait. Jusqu’au matin.
Vu que c’est moi qui connaissais le mieux ce quartier, je fus de corvée pour me rendre à la boulangerie. Au retour, je les rejoignis sous la douche pour reprendre nos caresses mutuelles. Je dois dire que c’est surtout Audrey qui était caressée. Comment pouvait-il en être autrement ? Puis, nous avons déjeuner toutes ensembles, toujours nues. Il a bien fallu se rhabiller pour sortir et rejoindre la cité administrative, pour Anne-Laure et moi.
La semaine suivante, c’est moi qui souhaitais leur faire une surprise. Je donnais donc la clé du « Paradis », comme l’appelait mon amie, à Anne-Laure, la prévenant que je passerais dans l’après-midi. Elle connaissait mon planning et savait que je travaillais le matin. Vu que c’est moi qui organisais la surprise, elle ne devrait rien payer pour l’appart.
Je savais bien sûr qu’elle serait bien là avec Audrey. Et moi, c’est avec Laura que je venais. Elle non plus ne savait rien de la surprise. Elle m’a suivie aveuglément jusqu’au petit appartement, sans me demander où on allait. Anne-Laure m’attendait et a ouvert la porte presque aussitôt après que j’ai frappé. Elle était très peu habillée, a tenté un instant à se cacher, puis nous a fait entrer.
Elle savait parfaitement pourquoi je venais les rejoindre. Elle comprit immédiatement que Laura était la surprise. Anne-Laure m’avait offert le corps de son amie Audrey, je lui offrais celui de Laura. Si elle voulait bien. À voir son visage, j’étais certaine d’avoir fait le bon choix. On a suivi Anne-Laure dans la chambre pour la seconde surprise de Laura.
Audrey, totalement nue. Écartelée sur le lit, ses pieds et ses mains n’étaient pas attachés mais elle faisait tout comme. Je déshabillais moi-même la jeune fille qui gardait les yeux plantés sur Audrey. Anne-Laure, par contre, suivait mes gestes à la loupe. Elle finit par s’approcher et me demanda à dégrafer le soutif.
Je lui laissais cet honneur pendant que je baissais la culotte rose. Puis elle guida Laura vers le lit, tout en continuant de la caresser. Laura ne se priva pas non plus avec celui d’Audrey. Je les rejoignais après m’être dévêtue à mon tour.
Nous avons passé une après-midi fabuleuse, la soirée et la nuit qui a suivi ont été mémorables. Anne-Laure s’occupait principalement de Laura, tandis que le corps d’Audrey m’était tout acquis.