Puis, une petite tape pour me signifier de l’enlever. Je prenais place alors sur ses genoux qui étaient écartés, m’obligeant à m’ouvrir en grand. Camel entrait alors en action, sa langue surtout, tandis que Mr Lambert passait ses mains sous mon tee-shirt pour peloter mes seins. Je m’abandonnais totalement aux plaisirs que me procuraient mes deux amants. Je me tendais comme un arc sous le coup de la jouissance. Et je me laissais dorloter ensuite, Camel finissant son nettoyage.
Aujourd’hui, grande nouveauté. Mr Lambert a sorti sa queue de son pantalon. Elle est maintenant bien collée contre ma fente. Je la sens vibrer, vivre. J’ai totalement confiance en mon professeur, mais je reste attentive. Pas question de pénétration. Il se contente de ce frottement de nos deux sexes, l’un contre l’autre.
Curieux, Camel s’est rapproché et a donné un coup de langue sur cette chose frémissante. Puis, s’est enhardi pour la lécher vraiment. Je sentais bien le plaisir que cela procurait à mon mentor. Je le sentis se raidir, avant que les premières gouttes de sperme viennent inonder mon ventre. C’était chaud et humide, légèrement visqueux.
Terriblement érotique.
C’était tout juste si je n’ai pas joui, moi aussi, en sentant cette verge qui déversait sa semence sur mon ventre. De sentir la tension juste avant la libération, l’éjaculation libératrice. Même Camel s’est joint à la fête en venant récolter les fruits de son léchage.
Après cela, Camel est retourné dans son panier, comme toujours, pour se lécher lui-même. Nous sommes restés longtemps dans cette même position, avec la queue qui battait la mesure, telle un métronome, le long de mon intimité. Pas encore molle, mais suffisamment dure et rigide.
Tous mes après-midis se passaient ainsi. Presque tous. Ensuite, je commençais la lecture d’un roman, ou juste d’un chapitre. Avant de débattre de cette lecture. J’apprenais énormément avec lui, beaucoup plus qu’en cours. Nous n’étions que tous les deux, moi presque nue, complètement libérée. Quand je pense que j’avais encore du mal à me dévêtir dans les vestiaires avec les autres filles.
Le lendemain soir, en rentrant chez moi, nouvel appel d’Alysson. Elle voulait me revoir demain matin chez elle. Même heure. Je comprenais ce qu’elle attendait de moi et j’y allais avec joie. Dans cette complicité qui nous unissait, j’étais la Maîtresse, la Dominante. Celle qui donnait les ordres. Et cela me plaisait beaucoup. J’étais plutôt soumise et obéissante avec Mr Lambert, et Dominatrice avec Alysson.
Je n’eus pas besoin de sonner, elle m’attendait et je la suivis dans sa chambre. Elle se déshabilla immédiatement, me faisant à nouveau profiter de la beauté de son corps, de ses formes. Je commençais à la caresser sous le regard de Yago. L’odeur, les gestes, ma présence, je ne sais pas ce qui le décida à s’approcher. Il commença à butiner la fleur qui lui était offerte.
Alysson était heureuse et posa ma main sur sa poitrine. Elle voulait que je la caresse, ce dont je ne me privais pas. Je commençais vraiment à apprécier les rapports saphiques, moi qui me croyais normale. Ajoutez à cela la domination que j’exerçais sur elle, j’étais moi aussi très heureuse de cette situation.
Alysson était entièrement tournée vers son plaisir. Rien d’autre n’avait d’importance à ce moment précis. La langue de son compagnon l’emporta une fois de plus au septième ciel. Ou bien mes caresses mammaires l’avaient aidée aussi. Elle resta inerte un instant, Yago était retourné à sa place. Puis, elle se redressa, me força à m’allonger et m’embrassa.
J’étais trop heureuse, je la laissais faire. Elle souleva mon tee-shirt pour à son tour caresser ma poitrine. J’étais vraiment dans un état second. Je sentais qu’elle bougeait son cul. Sans comprendre pourquoi. Elle se mit à souffler et je compris alors que Yago était revenu la lécher.
Puis elle stoppa tout, resta sans bouger. Elle allait dire non, mais trop tard. Yago s’était introduit en elle. Il la baisait très rapidement, très profondément. Il était vraiment insatiable, inarrêtable. Alysson soufflait très fort mais elle semblait comblée. Remplie.
J’aperçus une grosse boule qui s’apprêtait à la pénétrer. Elle chercha sa respiration. Un râle. Yago était verrouillé sur sa femelle et lui remplissait le ventre de sa semence. Alysson hurlait de plaisir, de honte, de bonheur. Ses yeux hagards évitaient mon regard. La salope se faisait remplir par son chien et elle prenait son pied comme jamais elle n’aurait pu en rêver.
Yago se vida, sans doute pour la première fois de sa vie. Il resta verrouillé sur la jeune fille un moment. Un gros ploc. Il se tourna pour récolter tout ce qui sortait de la chatte qu’il venait de remplir. Il se remit dans son panier quand plus rien ne sortait. Alysson avait joui une nouvelle fois sous la langue, devenue experte, de son compagnon à quatre pattes.
Elle n’en revenait pas. Elle venait de se faire baiser comme une chienne. Le problème. Elle y avait pris beaucoup de plaisir et était prête à recommencer. Là, maintenant. Avec Yago ou n’importe quel autre chien qui voudrait la remplir de nouveau. Elle me demanda si je voulais essayer, ce fut un non catégorique. Pareil pour me faire lécher par lui. C’était niet.
Maintenant qu’il l’avait possédée, Yago n’avait plus besoin de ma présence. Alysson apprécia sa disponibilité le reste des vacances. Elle m’avoua, avant mon départ, qu’elle avait déjà eu des relations saphiques mais Yago dépassait toutes les autres. C’était un amant exceptionnel, et infatigable. Une fois, il l’avait baisée pendant trois heures. Trois longues heures.
Malgré cela, elle me demanda de revenir le samedi suivant, après-midi. Je n’avais rien de prévu avec Mr Lambert. Le jour, et l’horaire, étant différents, j’imaginais qu’elle voulait me voir pour une autre raison. Ses parents étaient présents, je les saluais avant de la suivre dans sa chambre. Elle m’expliqua en deux mots ce qu’elle attendait de moi.
Bien que, un peu réticente au début, j’acceptais car, selon elle, il n’y aurait aucune conséquence. Elle me cacha dans la salle de bains et sortit un long moment. J’allais perdre patience quand je l’entendis revenir. Comme prévu, elle n’était pas seule. Je n’entendais pas tout ce qui se disait mais très vite, les paroles firent place à des bruits de succion, de bisous bien humides. Alysson réussit à amener sa partenaire là où elle le voulait. Elle s’éclipsa un instant pour venir me délivrer.