Il est temps, je pense, de faire un petit flashback sur ce qu’a été ma jeunesse. J’ai eu, ce que l’on peut appeler, une enfance rêvée avec des parents aimants et un grand frère toujours prêt à me défendre, si quelqu’un venait m’embêter. Je suis née en Bretagne, près Lorient, un petit paradis qui se nomme Larmor-Plage. Nous avons dû malheureusement déménager suite au changement professionnel de papa. Il devenait responsable dans une autre société et nous sommes arrivés dans le Sud Mayenne. La vie, Ma vie, a toujours été idyllique, en Bretagne comme en Anjou. Roger, mon tonton, le frère de maman, qui vivait à Lorient, a lui aussi déménagé pour venir s’installer à Laval, à 30 kilomètres de chez nous. Je l’aimais beaucoup, mon tonton, et j’ai été très heureuse de son choix de nous suivre, même s’il n’habitait juste à côté. On se voyait très souvent. Nous avons toujours formé une famille unie. Son métier de boucher-désosseur lui a permis de trouver facilement un emploi près de chez lui, dans un abattoir industriel. Armelle, sa femme, a dû passer par des formations qualifiantes pour retrouver un emploi. Elle ne s’en plaignait pas, elle aimait son mari. Elle l’avait déjà suivi lorsqu’il avait quitté sa région natale. Pour la Bretagne. Elle avait compris qu’il y avait une relation toute particulière entre Roger et sa petite sœur.
Si elle avait su à quel point cette relation était intime ! J’étais déjà grande lorsqu’elle a eu son premier enfant. Les deux autres ont suivi très rapidement. Roger et sa famille venaient nous voir très souvent et je m’occupais de mes petits cousins et de ma cousine. Quand ils étaient couchés, j’aimais rester avec les grands, les adultes, pour regarder les infos ou un film. Ma mère demandait très souvent à ce que j’aille me coucher, comme les enfants. Mon tonton Roger lui répondait que j’étais une grande fille maintenant, capable de m’occuper des enfants dans la journée. Cela méritait donc que je sois considérée comme une grande. Pour confirmer ses dires, il m’attirait près de lui et je m’asseyais sur ses genoux. Je montais dans ma chambre me changer, en pyjama ou chemise de nuit, et je revenais invariablement sur ses genoux. Il me maintenait sur lui, comme pour me protéger. J’étais si bien avec tous que je ne sais même pas comment ont commencé les premières caresses. C’était certainement bon enfant et je me sentais importante. Je devenais une petite femme et mes formes semblaient l’attirer. Moi, je n’y voyais aucun mal et j’ajouterais même que je commençais à aimer ça. Ses caresses se firent plus précises, et plus envoûtantes pour moi. Je sais bien qu’il n’avait pas le droit de faire ça mais je ne lui ai jamais dit de stopper. J’aimais être avec lui, sur lui, et surtout j’aimais tout ce qu’il me faisait. J’étais avide d’apprendre et j’ai presque tout appris avec lui. J’imagine bien qu’en racontant ma propre expérience, je peux donner des idées perverses à d’autres tontons qui essaieront sur leur nièce. D’un autre côté, je pense qu’un pervers, un vrai, n’a pas besoin de mon récit pour passer à l’acte, si ce n’est pas déjà fait.
Moi, j’étais heureuse quand mon ton Roger était chez nous. J’ai grandi et il venait parfois dans ma chambre pour « m’aider » à faire mes devoirs. En fait de m’aider, il m’empêchait plutôt de travailler. Debout, derrière ma chaise, il commençait par masser mes épaules. Ses mains sur moi me faisaient un bien fou. Il dégageait petit à petit mes épaules, descendait légèrement dans mon dos, puis revenait pour descendre par devant, sur ma poitrine. Il me chatouillait et je devais poser mon crayon pour me défendre. Mollement. C’était devenu un petit jeu entre nous. Il essayait de toucher mes petits seins et je tentais de l’en empêcher. J’y arrivais rarement, sans doute parce que j’aimais trop ses mains sur moi. Plus tard, il s’accroupissait derrière ma chaise et c’était mes jambes qui l’intéressaient. De mes mollets, il remontait sur mes genoux, écartant mes cuisses qu’il commençait à caresser. Il parvenait jusqu’à ma petite culotte et ses doigts magiques entraient en action. J’ai vécu de vrais moments de bonheur et de plaisir sous ses caresses. Il avait eu la patience de m’amadouer, de m’apprivoiser et j’attendais ses visites avec une impatience grandissante. Un jour, il me demanda si je pouvais enfin lui montrer ma poitrine. J’étais encore un peu pudique et, surtout, je ne tenais pas à ce que nous soyons surpris. Je me suis levée pour me mettre dos à ma porte. Si quelqu’un tentait d’entrer, la porte serait automatiquement bloquée. Et là, tranquillement, je remontais mon tee-shirt très haut pour lui offrir ce qu’il désirait. Il voulait voir, et bien il voyait. Je savais que, bien entendu, ses mains ne resteraient pas inactives. Et c’était ce que j’attendais avec impatience.
Il engloba mes petits seins dans ses mains, son pouce jouait avec mon téton. Il devenait tout dur sous la caresse, comme lorsqu’il faisait très froid. Mais c’était l’inverse. J’avais très chaud et une chaleur encore inconnue se diffusait dans mon ventre. Quand, enfin, sa bouche gourmande prit possession de mon sein, je faillis défaillir. Il glissa immédiatement ses mains sous mes fesses pour me soutenir. Directement sous ma jupe. Ses mains sur ma culotte … Sa bouche … Il m’a soulevée comme un fétu de paille pour avoir mes seins à portée de sa bouche. J’avais encore plus chaud et je me sentais super bien. Ma tête … Je me sentais comme enveloppée dans un nuage de coton, d’une douceur incomparable. Je vivais un rêve. Il m’a portée jusqu’à mon bureau d’écolière et m’a assise sur ma chaise. Je suis restée dans la position où il m’avait déposée, bras ballants et jambes écartées. Il m’a fixée longuement avant de se tourner vers la porte. Je pensais qu’il allait sortir et me laisser ainsi. Mais il ferma simplement la porte à clé avant de revenir vers moi. Il s’agenouilla devant moi, releva ma jupe très haut sur mes cuisses et il commença à tirer sur ma culotte. Je l’aidais tant bien que mal à ôter ce vêtement qui, je le sentais, me paraissait très humide. Il m’ôta aussi mon tee-shirt qu’il n’avait pas rabaissé.