Malika (18/18)

Mais, connaissant parfaitement ma femme, je compris assez rapidement qu’elles s’étaient déjà rencontrées, toutes les trois. Et qu’elles avaient fini par convaincre Nathalie de m’ajouter à leurs jeux entre femmes. Je n’étais pas plus qu’un objet. Mais pour leur plaisir. Et pour le mien, bien évidemment. Trois femmes pour moi tout seul. Le rêve. Mais c’était principalement la nouvelle, Nathalie, qui attirait toutes mes attentions. Ces soirées étaient organisées pour cela, son plaisir à elle. Pendant que Laurent, son mari, sortait avec des amis pour aller au stade, ou bien chez l’un d’eux, pour suivre les matchs de football. Quand je vivais seul, j’allais moi aussi avec mes amis et collègues, suivre les matchs. Mais plus du tout depuis que Malika était entrée dans ma vie. Je préférais passer mes soirées avec elle, avec Yolande parfois. Et surtout avec Nathalie, désormais. Quand j’étais trop épuisé, les femmes continuaient entre elles et ce spectacle était vraiment émouvant. Avec Nathalie, tout était permis, ou presque. Elle n’avait jamais pratiqué l’anal et elle craignait trop de souffrir. Alors, je lui montrais que Malika, comme Yolande, n’avait aucune douleur. Mais elles étaient habituées, depuis longtemps. Je n’étais là que pour leur plaisir, alors, je suivais scrupuleusement les consignes. Les ordres de Yolande, c’était elle qui semblait diriger son petit monde. Il fallut plusieurs mois à Yolande pour convaincre Nathalie de me laisser pénétrer enfin son joli petit cul. Ce fut un ravissement, pour elle comme pour moi. Ce fut, dès lors, la seule façon qu’elle acceptait avec moi. Yolande, principalement, mais aussi Malika parfois, pouvait utiliser un gode ceinture pour la prendre par devant. Mais moi, c’était toujours la porte arrière. Ce qui me convenait parfaitement. Xavier venait un peu moins souvent à la maison. Il avait désormais sa copine. Mais je sais, j’en suis certain, qu’il a eu l’occasion de rencontrer Malika avec Yolande.

Encore une fois, je me répète. Je ne suis nullement jaloux. Malika est une femme merveilleuse qui m’offre des plaisirs toujours renouvelés. Elle est belle, elle est amoureuse. Elle aime le sexe et elle peut, parfois, être insatiable. Et ces deux aspects de sa personnalité font que je suis toujours de plus en plus amoureux d’elle. Avec l’aide de Yolande, elle a pu choisir les parents des enfants qu’elle devait garder. Selon des critères bien précis. D’autres femmes, et d’autres hommes, sont venus jalonner nos aventures de couple. Vous suivrez tout ça dans la suite des aventures de Malika.

Nylann a aujourd’hui six ans. Il a une petite sœur, Rose, qui va avoir quatre ans bientôt. C’est Malika qui a choisi son prénom, et je l’ai validé. Et c’est souvent Farah qui vient les garder lorsque nous devons sortir, en amoureux. J’aime toujours ma femme comme au premier jour. Même ses extravagances me font l’aimer encore plus. Un jour qu’elles étaient seules, Malika se frotta la poitrine, gênée apparemment par des vergetures. Il est toujours un peu difficile de parler de ces petits soucis, pas trop agréables. Mais, entre sœurs, et complices, c’était beaucoup plus facile. Farah ne dit rien mais revint le lendemain avec un pot de crème, spécialement préparé par la maman des deux filles. Celle-ci avait toujours eu des dons de guérisseuse. Mais son mari lui avait toujours interdit de pratiquer des soins en dehors de la famille. Malika savait qu’elle avait des connaissances précieuses sur les plantes et les différentes façons de les utiliser. Les temps avaient bien changé depuis dix ans. Depuis le mariage de Malika. Ce qu’elle avait appris de sa mère, et de sa grand-mère, elle le transmettait maintenant à sa plus grande fille, encore à la maison. Tandis que les enfants jouaient tranquillement ensemble, sous leur surveillance, Farah avait sorti le pot de crème et elle proposa à Malika de la soigner. Mais pour cela, elle devait ôter vêtements et soutif. Elles étaient seules, j’étais encore au travail. Malika accepta et elle laissa sa jeune sœur commencer à appliquer cet onguent avec soin. Il fallait bien sûr faire pénétrer la crème dans les pores et cela nécessitait de longues caresses. Malgré tout, un peu réticente au début, Malika finit par s’abandonner complètement aux subtiles caresses prodiguées par Farah. Son corps s’alanguissait lentement, ses cuisses s’écartaient toutes seules. Elle commença à baigner sans s’en rendre compte dans un bien-être rassurant.

Farah voyait, et elle comprenait ce qui se passait avec sa grande sœur. Malika était si bien dans son autre monde qu’elle ne réagit pas immédiatement lorsqu’une bouche gourmande se posa sur son téton. Farah commença à la sucer lentement, délicatement. Malika retrouvait peu à peu des sensations oubliées depuis qu’elle avait cessé de donner le sein à sa fille. Malika se retrouva rapidement dans l’impossibilité de repousser son « agresseur », qui agissait avec infiniment de tendresse. Le haut du corps complètement dévêtu, ses cuisses largement ouvertes et sa jupe qui ne cachait plus rien de son entrejambe. De sa main libre, Farah pénétra sous le tissu de sa culotte et Malika put enfin exulter sous les caresses précises de sa jeune sœur. Elle était encore sur son petit nuage de volupté lorsque Farah s’agenouilla entre ses cuisses. La culotte fut tirée vers le bas et la bouche gourmande trouva le clito, largement sorti, et elle commença à jouer avec. Malika n’avait pas encore émergé qu’un nouveau tsunami l’emporta, loin au paradis. Farah récolta avec délices les sucs de sa grande sœur, qui jouissait en continu. Cette première expérience se renouvela très souvent entre les deux sœurs. Presqu’à chaque visite. Je le sais. J’ai eu la chance d’assister à une de leur séance de caresses, un jour où je rentrais plus tôt de mon travail. J’avais été surpris, évidemment, mais nullement étonné par Malika. Je connaissais son goût démesuré pour le plaisir. Pour LES plaisirs de la vie. Ce qui me surprenais le plus, c’était que Malika me disait toujours tout sur les aventures qu’elle pouvait avoir avec d’autres femmes, d’autres hommes. Mais jamais rien à propos de sa petite sœur.

Les liens familiaux s’étaient reconstruits, au fil des années. Malika avait revu son père, qui n’avait plus rien du patriarche qu’elle avait connu. Et qu’elle avait fui. Il travaillait toujours dans l’administration. Quand elle le regardait maintenant, ce n’était plus qu’un vieil homme fatigué. Usé par des années de service à la voirie.

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