Vika, la maman de Selma, était d’accord pour me laisser emmener sa fille à Rennes pour rencontrer sa future logeuse. Je téléphonais à Nicole et prenais rendez-vous pour le samedi suivant en début d’après-midi. Je reviendrais chercher Selma le matin pour prendre un train, direction Rennes et son avenir. Je pris congé de Vika et Selma voulut me raccompagner jusqu’à ma voiture. Au moment de me dire au revoir, ses lèvres se posèrent tout près des miennes. Un avant-goût du bonheur. Je rentrais chez Corinne pour le déjeuner. Il y a déjà quelque temps, Corinne m’avait confié que ça lui manquait de ne plus faire les magasins avec ses filles. Nous étions encore en période de soldes d’hiver. Je réussis à convaincre les filles de se faire une après-midi shopping ensemble, avec Corinne. Ma proposition les séduit et elles acceptèrent l’idée. C’est Amélie qui en parla à sa mère, pendant le repas.
Je vis les yeux de Corinne briller et ses lèvres mimer le mot « Merci ». Après le repas, la vaisselle fut vite faite et toutes montèrent en voiture. D’abord, les boutiques du centre-ville, pour finir par celles du centre commercial. Dany fut surprise, mais heureuse, de nous voir toutes quatre dans sa boutique. Olivia était là, elle aussi, et c’est elle qui s’occupa des deux filles. Elle se rappelait parfaitement d’Amélie, la fois où elle avait été « surprise » par Geneviève. Vu qu’elles étaient du même âge, ou presque, les filles l’invitèrent dans la cabine. Elle les aida du mieux possible. Charlène appréciait au plus haut point les attouchements d’Olivia sur sa peau. Quand Amélie sortit, les attouchements devinrent des caresses. Sur sa poitrine d’abord, puis son ventre et ses fesses pour finir. Elle n’osa pas aller plus loin. Charlène la remercia.
« Tu as les mains très douces. Et on voit que tu aimes ton métier. »
Charlène avait été conquise et, plus tard, elle me confia qu’elle aimerait faire de même, un BTS commercial. Peut-être même ferait-elle son stage chez Dany ? J’étais restée auprès de Corinne, et de Dany qui la conseillait. Elle se laissa tentée par deux jolies robes qu’elle alla essayer dans une cabine. Sachant que personne ne pouvait nous voir, je me collais à ses fesses et empaumais sa voluptueuse poitrine. Quel délice de la sentir vibrer sous mes caresses ! Corinne ressortit avec la première robe et déambula devant nous, face à un miroir. Convaincue que cette robe avait été faite pour elle, elle alla essayer la seconde. Pendant que j’allais lui choisir un bel ensemble SG et tanga. Une nuisette était assortie, je la pris également. Corinne sortit avec la seconde robe sur elle, tout aussi magnifique que la première. Comme elle retournait dans sa cabine pour l’ôter, je la suivis avec les sous-vêtements. Elle rougit de mon audace mais ne me demanda pas de sortir. Au contraire.
« Puisque tu es là, tu vas m’aider à me dégrafer. »
Qu’à cela ne tienne. La robe ôtée et rangée sur son cintre, je commençais à dégrafer son soutif.
« Qu’est-ce que tu me fais faire, tout de même ! Et moi qui me laisse manipuler, je dois être folle. »
« Ou bien tu adores ça, être manipulée, caressée. »
Corinne rougit, autant par mes mots que par mes caresses qui devenaient plus précises.
« Baisses ta culotte toi-même. Je veux te regarder dans les yeux pendant que tu l’enlèves. »
Pas une seconde, elle ne quitta mes yeux. Elle souleva une jambe, puis l’autre et ôta sa culotte qu’elle posa sur le banc. Je caressais ses fesses puis mes mains passèrent sur ses cuisses, son pubis mais je contournais sa chatte. Je voyais dans son regard qu’elle en voulait plus mais elle devrait attendre encore un peu. Mes mains remontèrent sur son ventre pour enfin atteindre sa poitrine que je malaxais. Puis, à regret, je lui enfilais le soutif. Je rentrais ma main dans chaque bonnet pour le mettre en place. Sa magnifique poitrine était encore plus mise en valeur dans ce soutif pigeonnant. Je m’écartais un peu pour l’admirer. Puis, je la grondais.
« Corinne. Tu es trempée. Comment veux-tu essayer le tanga ? Je vais devoir te nettoyer avant. »
Elle s’appuya aussitôt contre le mur et posa une jambe sur le banc, m’offrant sa grotte. J’embrassais l’intérieur de ses cuisses et remontais doucement. Elle posa une main sur ma tête pour la plaquer contre sa fente. À peine ma langue effleura son clito que la jouissance survint. Mais je continuais à jouer avec ses lèvres intimes et son bouton d’amour jusqu’à ce qu’elle jouisse une seconde fois. Ses jambes avaient du mal à la porter pendant que je la nettoyais. Une fois bien sèche, je lui mettais le tanga et la retournais face au miroir. J’appelais Dany pour qu’elle donne son avis. Elle entra avec nous, réajusta le soutif qui avait bougé en n’omettant pas de caresser les seins.
Elle me complimenta pour mon choix, précisant que j’avais toujours beaucoup de goût pour choisir la lingerie adéquate. Je lui retournais le compliment sur le choix des vêtements qu’elle conseillait. Les deux robes de Corinne, la mienne pour la Saint Sylvestre et surtout celle de Francine qui avait obtenu son emploi en grande partie grâce à sa tenue. Je les laissais ensemble pour rejoindre les filles. Corinne me raconta plus tard que Dany l’avait faite jouir avec sa langue magique. Je trouvais Olivia, la tête à l’intérieur de la cabine des filles, le reste du rideau bien fermé. Je m’approchais d’elle pour lui chuchoter.
« Alors, petite voyeuse. On se rince l’œil ? »
Collée à ses fesses, je passais ma tête au-dessus de la sienne pour apercevoir Amélie, entièrement nue, et Charlène entre ses cuisses, en sous-vêtements. La grande se caressait les seins pendant que la petite lui bouffait la chatte. Je posais mes mains sur les hanches de la jeune vendeuse. Elle frémit. Je remontais sur ses petits seins. Elle gémit tendrement. Quand ma main droite disparut sous sa jupe, elle se mordit la main pour ne pas hurler. La petite salope avait joui dans mes doigts. Je les lui donnais à lécher avant de lui demander, pour la forme.
« Tu n’as pas envie de me faire comme Charlène ? »
Sans attendre sa réponse, j’appuyais sur ses épaules.