CARRIE (10/10)

Elle stoppa net sa montée des marches pour se tenir à la rampe. Rien que d’imaginer la situation, dans un transport en commun aurait pu la faire jouir sur place. Elle était là, tremblotante, jambes écartées. Je fis glisser sa culotte vers le bas, tout doucement. Elle savait que je voyais tout maintenant, vu ma position et la sienne. Elle a commencé à jouir, sans que personne ne la touche. Juste la situation, le lieu. La crainte d’être surprise par un habitant de l’immeuble. Ou bien l’envie d’être prise en flagrant délit. La mouille coulait le long de ses cuisses, odorante et parfumée. Je lui fis lever un pied, puis l’autre afin de récupérer le morceau de tissu trempé. Et on continua à grimper les étages. Je caressais l’intérieur de ses cuisses magnifiques, la faisant frissonner à chaque fois mais elle en redemandait toujours plus. Mon doigt, parfois, s’immisçait dans sa fente, ce qui décuplait son plaisir. On est monté ainsi jusqu’au dernier étage de l’immeuble. Puis, devant la porte de l’ascenseur, j’ai ouvert son chemisier pour découvrir sa jolie poitrine. Une fois dans l’ascenseur, j’ai demandé tous les étages et placé Murielle face à la porte. La porte s’ouvre, elle tremble mais ne tente rien pour se cacher. Elle a totalement confiance en moi. Dommage, personne. Étage suivant, pareil. À chaque fois que la porte s’ouvre, elle se crispe légèrement, puis décompresse quand elle s’aperçoit qu’il n’y a personne.

La porte de referme, je remonte sa jupe, découvrant sa chatte brillante de cyprine. Elle pousse un petit cri quand la porte s’ouvre. Mais toujours personne. On n’a pas de chance, aujourd’hui, lol. On redescend d’un étage, jupe toujours relevée. C’est là que nous sortons. Je me dirige vers mon appart quand une porte s’ouvre enfin. Un de mes voisins, un vieux pervers, sort de son appart et s’approche de l’ascenseur. Nous faisons demi-tour. Il regarde, éberlué, le spectacle que je lui offre. Murielle, tête baissée, ne dit rien, et subit. Je me doute qu’il aimerait s’approcher, et toucher. Mais il ne fait que regarder, admirer, contempler cette jeune femme qu’il n’aura jamais. L’ascenseur arrivé, il monte dedans à regret et la porte se referme sur lui. Je suis certaine qu’il va trouver un coin discret pour aller se branler. Nous avançons jusqu’à ma porte, j’ouvre. Murielle entre et voir aussitôt Sophie, nue comme je lui avais demandé, en position de soumise. C’est un choc pour elle qui croyait que nous serions seules. Mais de voir Sophie dans cette position semble l’émoustiller encore plus. Je la fais avancer vers ma soumise et dégrafe sa jupe qui tombe au sol. Sophie relève légèrement la tête pour commencer à lécher la chatte que je lui offre. Je finis de défaire son chemisier qui rejoint la jupe, puis le soutif. La voilà aussi nue que Sophie. Je caresse ses seins magnifiques et elle commence à ronronner, telle une chatte en chaleur.

L’image est parfaite, c’est tout à fait cela. Une jeune chatte en chaleur qui se trémousse sous l’effet conjugué de mes caresses et celles plus virulentes encore de Sophie. Elle ronronne, elle gémit, elle râle même parfois. Et elle s’écroule enfin, vaincue par l’orgasme dévastateur. Sophie d’un côté et moi de l’autre, on la transporte jusque dans la chambre. Allongée sur le lit, complètement inerte. Totalement offerte. N’y tenant plus, Sophie se plaça en 69 au-dessus d’elle. Elle commença à la lécher et, miracle, Murielle se mit aussitôt à lui rendre sa caresse. Accrochées l’une à l’autre, elles se dévoraient mutuellement. Dans le feu de l’action, elles finirent par se retourner, Sophie en-dessous et Murielle sur elle. Je pouvais librement admirer son cul splendide, et son petit œillet qui frémissait. Une bonne claque sur chacune de ses fesses, puis une caresse pour atténuer la douleur. Je recommence. Une bonne claque et ensuite les caresses. Plus poussées, cette fois-ci. Mon doigt s’aventure même dans son cul qui semble apprécier le traitement. À nouveau une claque sur chaque fesse, mais c’est ma langue qui vient atténuer la brûlure. Toute aussi appréciée que mon doigt. En un mouvement, j’ôtais ma robe, puis mon string avant d’enfiler le gode ceinture sorti de mon tiroir. Je récupérais un peu de mouille pour lubrifier le gode avant de le présenter à l’entrée de son cul. Elle se crispa légèrement avant de se laisser aller complètement. J’investissais son cul, centimètre par centimètre, inexorablement. Je profitais pleinement de cette progression, et elle aussi semblait apprécier au plus haut point. Entre la bouche de Sophie sur sa fente et moi dans son cul, elle ne tarda pas à jouir à nouveau, mais plus fort encore.

On a joué avec elle ainsi jusqu’au soir, tantôt je la prenais par devant afin que je vois son visage au moment fatidique, tantôt par derrière et là, je m’en donnais à cœur joie. Et toujours Sophie qui la maintenait aux portes du plaisir avec sa bouche, ses doigts agiles. Murielle revient me voir très souvent. Je lui ai donné mon numéro de téléphone portable et elle appelle toujours avant de venir. Une chose étonnante avec elle. Je ne lui ai jamais imposé quoi que ce soit mais, chaque fois qu’elle vient, elle a ôté sa culotte et son chemisier est grand ouvert au moment où j’ouvre la porte. Et tout ça, de son plein gré. Une fois ou deux, elle s’est trouvée avec mon voisin dans l’ascenseur. Je vous en parlerais ultérieurement. L’homme qui était avec elle dans le bus, la première fois que je l’ai rencontrée, ce n’était que son frère. De lui aussi, je vous reparlerais.

En guise d’épilogue, je dois vous dire que j’ai revu la jeune black* qui avait refusé mes avances. Plusieurs fois, comme si elle avait repéré mes horaires. À chaque fois, elle se rapprochait de moi, tentait de se coller à moi. Plus facile quand le bus est bondé. Je me suis bien souvent frottée contre son cul et, une fois seulement, j’ai posé ma main sur sa hanche. Je suis certaine qu’elle est prête à accepter beaucoup plus maintenant, mais j’ai envie de la faire mariner encore un peu. Pour mieux la soumettre ensuite. Voilà comment je rencontre souvent de nouvelles partenaires. À vous de tenter à votre tour. L’essentiel étant de bien choisir sa proie. Pour le reste, vous saurez comment faire, lol.

 

*

Quand j’écris « Black », ce n’est nullement péjoratif dans ma bouche. Je ne suis pas du tout raciste, ce n’est pas dans mes gènes. Mais je refuse de succomber aux érudits qui nous demandent de parler plutôt de « Gens de couleur ». Sa peau est noire, ou du moins très foncée. Donc, c’est une jeune Black pour moi.

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