Céline était devenue toute rouge de s’être ainsi exhibée devant sa fille et ses « prétendants ». Marie-Rose avait bien évidemment remarqué l’état d’excitation de sa proie et, pour vérifier, elle passa sa main dans l’ouverture de la serviette, devant. Elle ressortit sa main et me montra son doigt, tout humide. Si les garçons avaient su qu’elle n’avait rien dessous sa serviette, ils auraient certainement eu envie de la chahuter un peu et de tirer sur ce bout de tissu pour dévoiler tous ses trésors. Mais nous étions arrivées chez Marie-Rose et elle poussa Céline à l’intérieur. Aussitôt entrée, elle lui ôta son dernier rempart, elle n’en aurait plus besoin. Marie-Rose tournait autour de sa proie, qui se faisait toute petite. Elle avait été prise en faute et elle ne pouvait accepter que son mari soit au courant de ses frasques. Et, pour éviter le pire, elle était prête à TOUT. C’était ce qu’elle avait dit. Marie-Rose avait repris son rôle de Maîtresse et lui donnait ses ordres. « Baisse les yeux », « Garde tes jambes écartées ». Céline obéissait à tout, sans broncher. Je pense sincèrement qu’elle adorait se retrouver en pareille situation. Puis elle l’allongea sur le sol, devant la banquette et s’agenouilla au-dessus de son visage. Prisonnière entre les cuisses puissantes, Céline était prête à subir, et à exécuter les ordres. Mais c’est vers moi que se tourna Marie-Marie-Rose pour me demander de ramener une petite valise bleue de la chambre voisine. Je la trouvais facilement et la posais sur le sol, aux pieds de la soumise. Toujours à la demande de mon amie, je l’ouvrais pour découvrir ses trésors. Toutes sortes de jouets pour adultes, godes, vibrateurs, plugs anaux et autres boules de Geisha. L’assortiment était vraiment impressionnant et elle me pria de mettre un gode-ceinture pour baiser une Céline qui n’avait pas pu jouir avec son amant. Je commençais par choisir un gode de bonne taille lorsque Marie-Rose me stoppa.
« Non, prends le plus gros, stp. »
« Mais je vais la déchirer avec ça. »
Je sentis une Céline qui réagissait à ma réflexion. Elle fut aussitôt calmée par une bonne claque sur ses seins.
« Mais non, ne t’inquiète pas. Tu n’as pas vu la queue du maitre-nageur ? Elle ne sera nullement dépaysée. »
Marie-Rose me laissa m’équiper et se plaça sur la bouche de Céline qui se mit immédiatement au travail. J’avais tout de même enduit le gode avec un lubrifiant, pour permettre une progression plus efficace. La soumise, impuissante, écarta ses cuisses quand je m’avançais entre elles. Le gland, tout noir, entra en contact avec sa peau blanche. Dans ma tête, cette image d’un grand black au sexe impressionnant qui baisait la femme blanche, venue uniquement pour ça. Et je la pénétrais lentement mais profondément, sans m’arrêter, jusqu’à ce que je sois bien au fond d’elle. Elle avait cessé de respirer tout le temps de la progression et elle reprenait son souffle, maintenant. Je restais immobile pour que son corps s’habitue à cet intrus. C’est elle-même qui commença à bouger, pour me signifier que je pouvais continuer. Elle avait repris son léchage en règle et Marie-Rose gémissait doucement. Elle tendit ses mains derrière elle pour titiller les tétons de Céline. Moi, j’avais relevé ses cuisses contre moi et je m’y accrochais pour la baiser bien profondément. Et elle adorait ça, visiblement. Je l’ai baisée ainsi un moment jusqu’à ce que Marie-Rose souhaite changer de position. Elle prit place sur la banquette, juste au bord, et écarta ses cuisses. Céline, à quatre pattes, vint s’engouffrer de nouveau au cœur de son intimité. Je me repositionnais derrière elle et m’apprêtais à la prendre de nouveau. Un coup d’œil vers la fenêtre et j’aperçus Josiane qui nous observait. Surtout sa mère. Elle avait très bien vu que c’était volontairement qu’elle s’était replacée entre les cuisses de Marie-Rose. Et qu’elle acceptait tout, même que je m’introduise de nouveau en elle. Et c’est en observant ses réactions que je pénétrais de nouveau cette chatte dégoulinante. Josiane me regardait, effrayée sans doute par la taille du monstre qui pilonnait sa mère. Effrayée ou intéressée ? Voulait-elle prendre la place de sa mère, ou bien la mienne ? Pour baiser à son tour cette femme qu’elle ne respectait plus vraiment depuis quelques années.
Son regard ne pouvait quitter le corps de cette femme et je pense qu’elle avait une tendresse particulière pour sa poitrine qui pendait sous elle. Je m’agrippais à ses seins pour la pilonner encore plus fort et, quand je regardais à nouveau vers la fenêtre, Josiane avait disparu. J’imagine qu’il est difficile pour une jeune fille de voir sa mère faire l’amour avec d’autres personnes que son père. Il y a de quoi bouleverser bien des esprits. Marie-Rose se mit à rugir très fort et son orgasme fut puissant. Et Céline la suivit de très près. Je n’avais pas joui, personnellement, mais j’étais très heureuse de la matinée passée avec les deux femmes. Avant de laisser repartir sa soumise, Marie-Rose lui ordonna de revenir la voir chaque jour. Elle tenta d’objecter puis, baissant les yeux, elle finit par promettre qu’elle viendrait chaque jour. Je retournais auprès de Fanny pour lui parler de ma rencontre avec Marie-Rose et comment elle avait obtenu les faveurs de sa voisine. Je ne lui parlais évidemment pas de la soirée avec ses enfants, surtout Renan, qui avait adoré jouer avec les seins de sa baby-sitter. Fanny eut, elle aussi, envie de rencontrer Marie-Rose et je lui promis de faire ce qu’il fallait pour l’amener chez elle.
La boulangerie était fermée jusqu’au lendemain et Joël était en pleine forme, si j’en juge aux caresses incessantes qu’il déposait sur mes fesses dès qu’il le pouvait. J’aidais Fanny à regagner sa chambre pour une sieste bien méritée. J’avais volontairement remonté ma mini-jupe pour que Joël puisse apercevoir mes fesses, qu’il désirait tant. Il nous suivit dans l’escalier et dans sa chambre. Sans prêter attention à lui, je déshabillais Fanny presqu’entièrement avant de la coucher. Penchée au-dessus d’elle, j’embrassais ses seins, sachant pertinemment que Joël était derrière moi, admirant mon cul offert. D’un geste, je l’invitais à me rejoindre, lui sur le lit près de sa femme, pour s’occuper de l’autre sein.