Il lèche mon anus ! Je devrais trouver que c’est sale et horriblement pervers, mais quand il écarte mes fesses pour lécher longuement mon anus, je ne peux retenir des gémissements de plaisir. Les muscles de mon sphincter se tordent sous les attaques de sa langue. À chaque coup de langue, ils se dilatent et se contractent comme si je recevais une décharge électrique.
– Je suis sûr que ton bouton de rose n’a jamais frémi comme ça. Il a l’air d’apprécier …
-Oohh, Tonton ! Tu es le diable !
Et diaboliquement il passe son doigt sur mon anus en appuyant dessus comme pour en forcer l’entrée.
– Il n’a jamais eu un petit doigt curieux de l’explorer non plus ?
Je n’aurais jamais cru que j’avouerais un jour que je mettais déjà doigté le trou du cul !
– Je l’ai déjà fait une fois moi-même, pour voir ce que ça fait …
Tonton Marco a été un peu surpris.
– Tu t’es fourré un doigt dans le cul, petite coquine ?
Je confirme d’un mouvement de tête avant de gémir.
– AAAaaahhhhhhh ….
Son doigt vient de rentrer dans mon petit trou et commence à se déplacer d’avant en arrière.
– Ooooohhhh … Mais c’est beaucoup mieux quand c’est toi qui le fait !
Son doigt ressort de mon cul et deux de ses doigts plongent dans ma chatte pour recueillir mon jus qui coule avant de revenir sur mon petit trou. Je le sens qui écarte bien mes fesses et il crache sur mon anus avant de remettre un doigt dedans puis essayer d’en mettre un deuxième. Je me contracte sous la pression.
– Ooohhh, s’il te plait … doucement … sois doux … avec ta jeune nièce.
– Oui, ma chatte … je veux que tu te sentes bien. Je vais être très doux. Mais tu dois m’aider …
– Ouiiiiii. Coooommmeent ?
– Tu dois me faire confiance et te détendre complétement. Ferme les yeux, respire profondément, lentement, et détend-toi, je vais ouvrir ton superbe petit cul lentement avec mes doigts, un par un.
Deux doigts n’ont pas tardé à bien remuer dans mon petit cul qui peu à peu se détend et prend du plaisir à cette intrusion toute nouvelle pour moi. Faut dire aussi qu’il s’occupait en même temps de mon clito avec son autre main et sa bouche. Je réalise quand même que je me fais enculer par les doigts de mon oncle Marco et que je commence à aimer ça, et que je ne vais pas tarder à avoir autre chose dans mon trou du cul. Au bout d’un moment la petite douleur provoquée par ses doigts dans mon anus, s’estompe et je reconnais que je n’ai jamais vécu cette sensation de plénitude. Il caresse mon clito en faisant des vas et vient dans mon petit trou devenu grand et quand sa bouche s’écrase sur ma chatte en enfonçant le plus possible ses doigts dans mon cul, je pousse un hurlement, complétement désinhibée de toutes réserves sur le sexe et sur la sodomie. Le corps convulsé par cette jouissance qui éclate autant dans mon sexe que dans mes entrailles, j’arrache presque les cheveux de Tonton en tirant sa tête sur mes trous intimes et il en profite pour mettre sa langue dans mon trou du cul qu’il a libéré de ses doigts. Rien que de sentir et de savoir que sa langue fouille mon trou du cul, que c’est horriblement cochon, ma jouissance reprend de plus belle et je pars un moment au paradis des anges pervers.
En rouvrant mes yeux, Tonton m’a remise sur mon dos. Debout devant moi je ne vois que sa queue qui ne m’a jamais parue aussi grosse et longue. Ma main se tend pour l’attraper et je serre entre mes doigts ce sexe qui me rend complétement folle. Ses doigts caressent ma joue et se posent sur mes lèvres. Tonton veut que je suce ses doigts ! Malgré ma répugnance à faire ça, mais maintenant docile et soumise, je vais partager avec lui cette délicatesse interdite de mon corps. J’ouvre mes lèvres et je suce ses doigts. Mon innocence est définitivement souillée et pourtant je suis probablement à peine au début de mon voyage dans une complète dépravation car, en même temps que je goutte à la saveur musquée de mon cul, je branle doucement mon oncle et mon corps frissonne. Je sens son gland qui s’introduit entre mes lèvres intimes mais il ne va pas plus loin. Quel salaud !
– AAAaaahhhhhhhhh … OOUUUIIiiiiiiiiiii….
Enfin ! Sa grosse queue glisse en moi et il grogne.
– Putain, Emma ! T’es bonne ! T’as une putain de chatte, petite fille. Du satin !
– Ooooohh, mon dieu, oh mon dieu, s’il te plaît va lentement, Tonton …. Oooohhhh … je vais mourir …
– Emma … Tu es incroyablement serrée. Ta chatte est toute chaude ! Je n’ai jamais ressenti quelque chose comme ça. Je ne mens pas.
Je me redresse un peu pour regarder par en-dessous sa queue aller venir en moi. Je mouille tellement que je vois ma cyprine couler le long de son sexe et mousser autour de mes lèvres vaginales. Il me traite de tous les noms mais je m’en fiche complétement ! Au contraire, ça m’excite encore plus !
– Tu vois petite pute … tu fais même de la crème de chatte sur ma queue ! C’est rare ! Preuve que tu seras une superbe salope !
Il se retire d’un seul coup pour plonger sa langue dans ma chatte, buvant mes jus et léchant mon sexe comme si c’était une source miraculeuse. Il replonge son sexe en moi et je pousse mon cul vers lui pour qu’il s’enfonce bien à fond. Il me baise comme un animal en tirant bien sur mes hanches pour m’empaler encore et encore sur son pieu sans pitié pour ma jeune chatte. J’ai envie de jouir et ma tête sur le matelas je gratte d’une main mon clito comme je peux sous ses coups de queues.