Elle était encore plus désirable, vue de dos. Une chute de reins incomparable, des fesses bien rebondies, le sillon parfaitement visible à travers ses vêtements transparents. Si elle n’avait pas été sa mère, Dany aurait eu envie de la toucher, de la caresser. De la faire vibrer comme il avait fait vibrer Mirabelle, il y a moins de 24 heures, sur son canapé. Il repensait à ce qu’il avait vu, la veille. Océane frissonnant sous les caresses subtiles de la voisine. Dany adore sa mère, et elle le lui rend bien. Il n’a jamais eu d’envies impures envers elle. Trop de respect. Trop d’interdits à braver. Mais, en observant Océane, c’est Melody qu’il voyait. Et ses pensées n’avaient rien d’innocent. Il fantasmait réellement sur sa tante. Mirabelle avait ouvert la boîte de Pandore. Il avait pu voir, et toucher, caresser, ce qu’il convoitait. Il avait même pu voir Mirabelle entièrement nue, sous la douche avec lui. Elle l’avait caressé, fait jouir très fort, lui promettant d’autres moments intimes. Il avait encore énormément à apprendre avec son professeur. Mais c’était avec Melody qu’il voulait réaliser tout ce qu’elle lui enseignait. Il buvait son chocolat pendant que sa mère faisait un peu de rangement dans la cuisine. Lorsqu’elle se pencha en avant pour remplir le lave-vaisselle, il eut un coup au cœur. Il se leva, s’approcha d’elle jusqu’à la toucher, la frôler. Il se colla à elle en posant ses mains sur les épaules. Elle devait forcément sentir son sexe qui s’imprimait dans le sillon de ses fesses. Elle frissonna, les larmes aux yeux, lorsqu’il lui murmura tendrement à l’oreille.
« Tu es véritablement très belle, maman. »
Il déposa un petit bisou dans son cou avant de remonter dans sa chambre. Il la laissa ainsi, pantelante, incapable de réagir aussitôt. Le clocher du village sonna huit fois, lui rappelant qu’elle devait prendre sa douche avant de partir travailler. Elle vérifia plusieurs fois que la porte de sa salle de bain était bien fermée. C’était la première fois. Dany était son fils, son enfant. Elle le voyait toujours comme le petit garçon qu’il n’était plus. Elle avait bien senti un sexe se développer entre ses fesses. Un sexe d’homme. Elle ne l’avait pas vu grandir. Elle se reprochait à elle-même son manque d’attentions envers lui. Elle parlait régulièrement avec Melody, sa sœur jumelle, tous les jours même. Et elle lui avait avoué, tout récemment, qu’elle aurait préféré avoir une fille, comme Aline. Et Melody avait dit exactement l’inverse, qu’elle aurait aimé un garçon, comme Dany. Heureusement qu’elles étaient très proches et qu’elles se voyaient souvent. Pour moi, qui fait partie de cette famille, c’est comme si j’avais deux mamans. Et deux papas. Martin étant plus souvent présent que Gilles, mon propre père. Et Dany était le grand frère que je n’avais pas eu. Nous sommes une famille très fusionnelle. Seul mon oncle Martin semble s’éloigner de nous, depuis quelques temps. Mais c’est sûrement passager. Dany arriva très tôt chez moi, ce mercredi matin. Il avait attendu le départ de sa mère avant de prendre son vélo pour venir me voir. J’ai tout de suite remarqué que quelque chose avait changé en lui. J’ai mis un bon moment avant de comprendre que c’était son regard qui avait changé.
Il était toujours le même, pourtant. Attentionné envers moi. Mais je surpris plusieurs fois son regard rêveur sur ma poitrine trop développée pour mon jeune âge. Il m’a expliqué qu’il avait aidé sa nouvelle voisine à emménager, à bouger ses meubles. Il avait comme un trémolo dans la voix lorsqu’il prononçait son prénom. Mirabelle. Cela me donna immédiatement envie de la rencontrer, moi aussi. Mais, au lieu de cela, il me proposa de manger léger ce midi, afin d’aller à la piscine en début d’après-midi. Le soleil donnait envie de se prélasser, dans l’eau ou sur l’herbe. Nous avons mangé avec Flora, ma petite sœur, ravie de nous suivre à la piscine. Elle et moi, nous étions comme ma mère, nous adorions passer du temps dans l’eau. À la piscine, le plus souvent, ou bien à la mer, qui n’était pas si éloignée de chez nous. Nous avons pris la même cabine pour nous préparer, juste pour enlever nos vêtements. Nous avions mis nos maillots de bain avant de partir. Flora a retrouvé des copines de son école et elle ne s’est plus occupée de nous. Dany m’a appris à faire la planche. Il mettait souvent sa main sous mes fesses pour que je garde bien la position. Je voyais parfaitement son regard qui s’attardait longuement sur mes gros seins. C’était la seule partie de mon corps qui émergeait. Il a ensuite voulu m’apprendre à nager le crawl. Je connaissais la brasse, même si je n’étais pas très douée. Les battements de pied, c’était facile à faire, surtout avec un instructeur comme Dany. Je remarquais qu’il regardait souvent la pendule, et le pédiluve, l’endroit obligé de passage avant d’entrer dans la surface de baignade.
Je jetais un œil dans la même direction lorsque je vis son visage s’illuminer. Melody, ma mère, venait comme tous les jours après son travail, passer quelques heures dans l’eau. Elle aussi adorait nager et c’était une très bonne nageuse. Elle était manager du rayon Primeurs-Fruits et Légumes dans le grand supermarché de la ville. Avec des employés sous ses ordres. Les responsabilités, cela provoque énormément de stress et c’est le seul moyen qu’elle a trouvé pour retrouver sa sérénité. Gilles, mon père, est lui aussi un très bon nageur, mais principalement dans la mer, je l’ai très rarement vu ici, à la piscine municipale. Dany profita que Flora revienne vers moi pour me dire qu’il allait faire quelques longueurs dans le grand bassin. Là où je n’avais pas pied. J’aperçus Melody qui nous souriait avant de plonger dans l’eau. Elle était partie pour faire de nombreuses longueurs. Flora était toute proche désormais, avec une de ses copines. Clara avait un an de plus que Flora, donc onze ans, un air effronté, un regard perçant. Sans avoir l’air si terrible que cela, on préférait l’avoir comme amie plutôt que ennemie.