Septembre. Rentrée des classes pour les enfants, et les plus grands. Rentrée universitaire également, mais un peu plus tard, n’est-ce pas, Stéphanie? Rentrée politique, littéraire, etc… Mais principalement, rentrée pour tous les vacanciers. Dont moi. Fanny avait repris un peu plus tôt que moi, vu qu’elle n’avait pas droit encore à ses vacances complètes. Il s’agissait surtout de répondre aux quelques mails et assurer la maintenance pour les ouvriers qui étaient restés de permanence. À mon retour, un gros chantier nous attendait : la renégociation de la plupart des contrats fournisseurs. Le moindre pourcentage gagné pouvait se changer en plusieurs milliers d’euros en fin d’année comptable. La nouvelle négociation n’était utile qu’avec les fournisseurs les plus importants, en termes de volume d’achat. C’est une partie de mon travail de mener ces discussions, souvent inutiles, chacun campant sur ses positions. Malgré mes efforts, je n’avais pas réussi, les années précédentes, à obtenir des remises intéressantes. Mais cette fois-ci, j’aurais l’appui de Fanny. Ce qui n’était pas négligeable. Elle aussi avait de réelles dispositions pour mettre ses interlocuteurs dans sa poche. Les amener à accepter nos conditions, je précise. Nous avons donc préparé ensemble notre plan d’action pour obtenir ce que nous recherchions. La plupart des contrats que j’avais renégociés s’étaient soldés par un demi-échec. Le commercial venait avec une proposition supérieure de 10% par rapport à l’année écoulée, et j’essayais simplement de la diviser par deux. Cette année, nous devions les faire passer en négatif, pour eux. Nous avons donc convoqué une première société, la troisième par ordre d’importance. Nous avions trouvé une société concurrente, pour le cas où.
Le commercial s’appelait Gaëtan P. Petit aparté pour préciser que certaines personnes ne souhaitent pas voir leur véritable identité apparaître dans mon blog, aussi suis-je obligée de modifier leur prénom. Il était plutôt jeune et bien fait de sa personne. Un peu trop satisfait de lui, à mon avis. Souriant, confiant. Jusqu’à l’arrivée de Fanny dans le bureau. Je l’avais déjà rencontré deux ou trois fois auparavant, toujours en face à face. Aujourd’hui, nous étions deux face à lui et cela sembla le déstabiliser un peu. Il faisait des efforts pour ne rien montrer mais certains gestes sont révélateurs du stress que l’on subit. Il commença son speech en nous expliquant que la crise économique était la principale raison de l’augmentation des tarifs. Les salaires, les transports, le prix du baril de pétrole, tout y passait pour finalement nous proposer une grille tarifaire plus élevée de 10 % par rapport à la précédente. Je l’avais écouté, attentivement, sans l’interrompre. Je n’ai pas du tout aimé son sourire de vainqueur. Il croyait déjà que c’était dans la poche. La sienne. Je souhaitais l’humilier, le rabaisser, et surtout faire disparaître son sourire de mâle dominant.
Fanny et moi, nous avions préparé notre contre-attaque, sachant d’avance quels points il mettrait en avant pour justifier l’augmentation de ses tarifs. Mais, avant de commencer, je lui proposais un café. Il accepta, toujours aussi sûr de lui. Je mettais une bonne claque sur les fesses de Fanny en l’envoyant chercher les boissons. Ce simple geste, un peu trop familier, sembla l’émouvoir. Il voyait Fanny comme une proie facile qu’il pourrait accrocher à son tableau de chasse. Il la suivit des yeux, pensant être discret. Lol. Les hommes et leurs regards. Je sautais sur l’occasion le prendre à défaut.
« Elle est belle, n’est-ce pas ? Et très obéissante. »
Son regard s’illumina d’un coup. Il la voulait absolument maintenant. Ce qu’il ne savait pas, c’est que Fanny avait tout entendu dans la pièce voisine. Elle avait compris que j’allais encore une fois jouer avec son corps et elle en frémissait déjà. Elle revint avec un plateau chargé des boissons demandées et le posa sur une petite table. Tournant le dos à Gaëtan, le cul bien tendu vers lui, il pouvait voir les marques laissées par la culotte. Je remarquais qu’il avait du mal à respirer.
« Elle a un beau cul, n’est-ce pas ? Dommage cette marque disgracieuse. Attends. On va y remédier. »
Je m’interposais entre eux deux et j’ôtais la culotte. En me retournant, je la montrais au jeune homme qui avait rougi. Fanny se tourna pour lui donner son café. Penchée en avant, il avait une vue imprenable sur ses seins splendides, qu’il ne pouvait plus quitter des yeux. L’effet ne tarda pas à se faire sentir et le pantalon gonfla malgré tous les efforts qu’il faisait pour ne rien laisser paraître. Il a bu son café très vite comme pour libérer ses mains qui rêvaient de malaxer ses deux magnifiques rondeurs. Fanny ne bougeait pas, le laissant admirer sa poitrine. Vu sa position, bien campée sur ses jambes, je relevais sa robe pour voir son cul dénudé. Je caressais les deux globes avant de glisser dans le sillon fessier.
« Cette coquine te fait bander comme un taureau, et en plus, ça la fait mouiller grave. Regarde ! »
Je lui montrais mes doigts trempés de mouille, avant de les lécher amoureusement.
« Fanny. On ne peut décemment pas le laisser dans cet état. Il va nous faire une crise d’apoplexie. Suce-le ! »
Fanny attendait cet ordre depuis de longues minutes et elle s’empressa d’obéir. Gaëtan restait sans bouger, se croyant dans un rêve, et ne souhaitant surtout pas se réveiller. Pas tout de suite. Il la laissa baisser pantalon et boxer. C’est quand elle le prit en bouche qu’il commença à réagir.
« Tu ne la touches pas. Tu la laisses faire, à son rythme. Sinon, on arrête tout. Voilà. Laisse-toi aller. Profites de cet instant magique. »
La cravate sur l’épaule, le pantalon baissé, il semblait un peu moins fier, moins arrogant qu’il y a seulement quelques minutes. Mais heureux comme tout. Je baissais la robe de Fanny pour pouvoir triturer ses tétons. Il devint comme fou en voyant les belles tétines que je lui refusais. Je jouais avec ses seins, avec ses fesses, tandis qu’elle le pompait énergiquement. Toutes ces émotions réunies aboutirent à une éjaculation abondante, que Fanny avala sans rechigner. Je savais qu’elle adorait ça. Elle se redressa, belle, fière. C’est lui qui, soumis, se jeta à ses pieds. Il se mit à la lécher avidement pour l’amener jusqu’à l’orgasme bienfaiteur. Il se remit ensuite sur son siège, épuisé de plaisir. J’en profitais pour commencer mon speech, celui qu’on avait préparé avec Fanny. Quand je lui posais une question, il répondait oui, comme un automate. Pour finir, je lui présentais le contrat avec les conditions qui nous arrangeaient.