« Lucie, ma chérie, vous tous, j’ai le plaisir de vous annoncer que j’ai accepté l’invitation de Francis et Corinne pour le réveillon. De plus, j’ai demandé à Thierry de m’accompagner et il a accepté. Je suis la plus heureuse des femmes. »
Avant qu’elle ne se rasseye, j’augmentais la vitesse de vibrations. Corinne la première commença à l’applaudir, suivie des filles et de Francis, un peu plus discret. Puis, je redescendis l’intensité d’un cran. Lucie et Charlène étaient trop heureuses de passer leur première Saint-Sylvestre ensemble. Amélie, assise près de moi, reconnut la télécommande que j’avais posée sur la table. Pensant que j’avais un des œufs en moi, elle la passa en grande vitesse et attendit ma réaction. Qui ne vint pas, et pour cause. Par contre, Isabelle et Corinne luttaient de toutes leurs forces pour ne pas hurler de plaisir. En les voyant se trémousser ainsi, je compris très vite et baissais l’intensité. Amélie aussi avait compris. Le repas reprit son cours. De son côté, Isabelle nous apprit qu’elle avait revu Thierry depuis le jour du déménagement. Une fois pour boire un verre dans un bar, et une autre fois où il l’avait invitée au restaurant. Elle appréciait sa présence et semblait un peu chamboulée de voir comment les choses progressaient si vite. Elle vida son verre et Francis l’a resservie à sa demande.
Le repas fut gai et très enjoué. Tout le monde était heureux ce soir. Isabelle buvait un peu trop, mais c’était sans doute pour atténuer ses doutes. On prit le café au salon, ce sont Lucie et Charlène qui firent le service tandis qu’Amélie débarrassait la table. Sans que personne ne leur demande, elles firent la vaisselle avant de remonter dans la chambre. Après son café, Isabelle accepta un cognac aux amandes. J’en pris un également pour goûter. Vraiment délicieux. Isabelle était un peu éméchée et un bouton du haut de sa robe s’était défait (tout seul?). Francis ne se privait pas de plonger son regard dans ce décolleté vertigineux. Et la bosse de son pantalon qui grossissait en était les effets secondaires.
« Isabelle, ma belle, tu vois dans quel état tu mets ton voisin ? »
Elle regarda Francis dans les yeux, puis descendit son regard vers son pantalon. Là, je la vis rougir. Et, vu sa position, son décolleté s’était ouvert encore plus si bien que Francis se sentait vraiment à l’étroit dans ses vêtements. Un regard vers Corinne qui lui donna sa permission et elle dégagea le sexe pour le prendre en bouche immédiatement. Francis ne restait pas inactif. Il avait glissé une de ses mains dans le décolleté et pelotait un des seins de sa pompeuse. De son autre main, il avait relevé la robe de sa femme et lui caressait allègrement son cul divin, tandis qu’ils s’embrassaient à pleine bouche. Quand elle le jugea suffisamment dur, Isabelle se releva devant Francis, cuisses bien ouvertes, et lui demanda d’ôter l’œuf qui vibrait doucement. Il le récupéra et le nettoya de sa langue avant de le remettre dans sa boite. Il en fit de même avec celui que sa femme gardait encore jalousement. Puis, Isabelle vint s’empaler directement sur le pieu dressé. Corinne s’empara de sa bouche pour un baiser long et voluptueux. Une de ses mains caressait le cul d’Isabelle. D’un signe, je lui demandais de lui faire une feuille de rose. Elle se plaça aux pieds de son mari, souleva la robe et approcha sa langue de la rondelle frétillante.
Moi-même, je soulevais la robe de Corinne pour la doigter à loisirs dans cette jolie position. Elle était trempée, bien évidemment. Son cul aussi frémissait de désirs. Au bout d’un moment, je la fis se relever en la mettant face à moi. Un signe et elle souleva sa robe, me dévoilant ses trésors. Je l’aidais à enfiler un gode ceinture de bonne taille, que j’avais pris soin d’humecter de sa mouille abondante. Puis, je la guidais vers le cul offert d’Isabelle qui n’attendait que ça. Elle entra doucement dans les entrailles de son amie, tant était étroit le conduit, et gros le gode. La queue, la vraie, qui occupait l’autre entrée était aussi pour beaucoup dans l’étroitesse du goulot. Quand elle fut bien au fond, elle fit une pause. Puis, accrochée aux hanches pleines, elle commença à la pilonner en cadence avec son époux qui lui bourrait la chatte. Isabelle se mit à hurler de plaisir. Elle était comme une folle sur les deux « queues » qui la labouraient. Je jetais un œil vers l’escalier qui menait à l’étage. Les filles étaient là, bouches bée, en train de regarder Isabelle jouissant entre leurs parents, et Lucie ne quittait pas sa mère des yeux. Jamais, évidemment, elle n’avait vu sa mère dans cet état d’excitation. Je me levais discrètement pour leur demander de remonter dans la chambre. Seule Lucie resta un peu.
« Tu vois comme elle est heureuse ».
« Le gode ceinture qu’elle a dans son cul, je t’en fais cadeau. Je sais d’avance que tu en feras bon usage ».
Doucement, je la poussais vers l’escalier.
« Tu peux aller te coucher, je pense, ta mère a trop bu pour prendre le volant ce soir. »
Je retournais au salon, en fermant la porte, juste au moment où Isabelle s’écroulait sur Francis. Corinne la libéra également et s’approcha de moi pour que je la libère à son tour. Je plantais mes yeux dans ceux de Corinne. Rien besoin de dire. Elle s’agenouilla entre mes cuisses pour enfin accéder à ma grotte. Je l’écartais juste le temps d’enfiler le gode ceinture et l’attirais à nouveau sur moi. Elle s’empala avec un sourire non-feint. Dans cette position, je pouvais enfin profiter de ses seins généreux. Et je ne m’en privais pas. Elle éclata sa joie face à moi, les yeux dans les yeux. Et je ne tardais pas à la suivre. Elle resta un moment sur moi, empalée. Pour un tendre câlin. Je profitais de cette promiscuité pour lui demander d’inviter Isabelle à dormir, vu l’alcool qu’elle avait bu. Je me levais pour ranger les clés de sa voiture, ne lui laissant aucun autre choix que rester.
Francis le premier se dirigea vers la salle de bains. Corinne expliqua à Isabelle qu’elle devait rester dormir. Qu’elle n’avait pas d’autre choix. Sa fille était déjà couchée là-haut. Le canapé, sur lequel elles étaient assises, étant convertible, il était possible de le déployer, sinon, il y avait le lit conjugal. Isabelle ouvrit de grands yeux, mais elle choisit le canapé. Je les laissais se préparer pour la nuit et montais rejoindre ma chère Amélie, qui dormait déjà. Qu’importe. Je me collais à son cul que j’adorais et relevais sa chemise de nuit. Pour accéder à sa poitrine que j’aimais malaxer en m’endormant. Je m’endormais ainsi comme un bébé, jusqu’au matin.