Il est exact que la plage principale dispose de cabines pour se changer. Elle cherchait un endroit pour être à l’abri des regards indiscrets mais elle n’en trouva pas. Je lui faisais remarquer que je venais ici depuis deux semaines et que jamais je n’y avais vu quelqu’un. L’accès un peu plus compliqué sans doute.
« Laisse-toi faire. C’est moi qui vais te déshabiller. »
Docile, elle me laissa le champ libre. Je tournais autour d’elle, effleurant ses formes, caressant un sein, une fesse. Je m’arrêtais derrière elle et lui ôtais sa culotte, directement. Je me redressais pour dégrafer sa robe qui glissa à ses pieds. Accroupie, je dégageais le vêtement de ses pieds et je prenais tout mon temps pour le plier, tout en l’admirant. Je tournais encore et toujours autour d’elle et je vis que cela l’excitait au plus haut point. Les tétons pointaient à travers les bonnets. Je jouais un peu avec, puis son clito, ses fesses, et retour sur ses seins. Le soutif enlevé, la voilà toute nue, entièrement accessible à toutes mes envies. Je décidais de jouer encore un peu plus.
« Ferme les yeux et laisse toi faire. Tu sais très bien que tu n’as rien à craindre de moi. Tu as confiance en moi ? »
« Oui, Madame. Totalement confiance. » dit-elle en fermant les yeux.
Je m’approchais plus près et je la touchais ici ou là. Avec les yeux fermés, il lui était impossible de savoir où j’allais la pincer.
« Tu entends ? Je crois que quelqu’un arrive. Tourne-toi pour qu’il voie combien tu es belle ! »
Elle s’exécuta en tremblant, les yeux toujours fermés. Si quelqu’un la voyait ainsi, elle ne devait pas le voir. Ne pas savoir qui c’était, de cette façon, c’était comme si cela se passait dans un rêve. Je lui relevais les bras, passant les mains derrière la nuque. Son torse était ainsi parfaitement dressé, tendu vers toute personne qui s’approcherait. Je triturais ses tétons, lui arrachant des râles de plaisir. Ma main descendit entre ses cuisses au moment où l’orgasme la submergeait.
« Tu t’es bien donnée en spectacle, ma petite chienne. Ouvre les yeux maintenant et regarde si tu reconnais des personnes parmi ces gens ».
Je la sentis frissonner plus fort.
» Non, s’il vous plaît. Je préfère ne pas savoir, Madame. »
« Ouvre les yeux, je te le dis ».
Ce ton ne supportait aucun refus et elle ouvrit enfin les yeux pour s’apercevoir qu’on était seules. Sa respiration se calma aussitôt. Je m’accroupis à nouveau devant elle pour lui enfiler la culotte fluo. Avant de la remonter jusqu’en haut, j’opérais un bon nettoyage de sa fente avec ma bouche. Je la laissais seins nus et ôtais ma robe. Je ne portais que mon bas de maillot dessous. Je lui tendais le flacon d’huile solaire et elle me badigeonna tout le corps. Je lui en fis de même et nous pûmes enfin aller nous rafraîchir dans l’eau du lac. Nous avons joué un moment dans l’eau, bon, d’accord, c’est surtout moi qui jouais avec son corps. Mais elle appréciait mes attentions, mes caresses. Pour preuve, si je restais un petit moment sans la toucher, elle se rapprochait de moi, les seins victorieux en avant. Elle a joui plusieurs fois encore, dans l’eau, à l’abri des regards, mais aussi allongée sur sa serviette, où n’importe qui aurait pu nous voir. Elle avait tellement confiance en moi que je pouvais faire ce que je voulais. Et je ne m’en privais pas. Il était déjà l’heure de rentrer. Je lui passais sa robe mais ôtais son maillot totalement. J’en fis de même et je la raccompagnais chez elle. Sa mère remarqua aussitôt qu’elle ne portait aucun soutif mais elle ne dit pas un mot, attendant plus tard pour s’expliquer avec sa fille. Elle me proposa un rafraîchissement avant de partir, ce que j’acceptais volontiers. J’avais envie de parler, de discuter avec cette femme pour la cerner, la profiler comme on dit maintenant. Nous discutions donc de choses et d’autres pendant que Giulietta préparait les boissons. On en vint à parler de la boutique de vêtements. Rosaria nous apprit qu’elle connaissait bien la propriétaire, elles étaient ensemble au collège. La vendeuse, par contre, elle ne la connaissait que de vue, elles se croisaient parfois à l’église.
« Sans que ce soit vraiment à la mode, il y a tout de même le choix. Et j’ai trouvé deux jolis maillots pour Giulietta. Montre-nous tes achats. Non, tu vas les mettre pour que Rosaria puisse apprécier comment ils te vont bien. Ici, change-toi ici. Je t’ai déjà vue toute nue, et ta mamma sûrement aussi. »
Giulietta restait debout, sans bouger. Elle était nue sous sa robe et elle ne pouvait plus le cacher à sa mère. Vu qu’elle ne bougeait plus, je passais derrière elle pour défaire sa robe qui glissa à ses pieds. Je lui enfilais le haut de maillot, le vert, prenant bien soin de mettre les seins en place dans les bonnets. Rosaria semblait étonnée de la passivité de sa fille, mais elle ne quittait pas des yeux sa chatte que j’avais laissée libre de tout vêtement. Puis, j’enfilais le bas et Giulietta défila devant nous. Complètement désinhibée, elle se changea sans complexe cette fois pour passer le maillot fluo. Elle était vraiment très sexy dans ces couleurs.
À son attitude, je voyais que Rosaria était très excitée par le spectacle. Ses tétons pointaient légèrement et machinalement, sa main passait entre ses cuisses. Elle se touchait discrètement, enfin, le croyait-elle. Je poussais Giulietta vers sa mère.
« Approche toi de ta mamma, qu’elle apprécie elle aussi le tissu. Touche le maillot, Rosaria. Tu vois comme c’est doux à porter ».
Elle se touchait carrément maintenant, sans se cacher. Une main frottant sur le pubis de sa fille, ou bien caressant un sein. Je baissais les bretelles d’un coup, libérant la poitrine voluptueuse que Rosaria s’empressa d’embrasser. Elle tétait sa fille tout en se doigtant. J’ôtais entièrement le maillot de Giulietta. Elle était à nouveau nue devant nous et elle se laissait manipuler. Je ne restais pas inactive non plus et elle ne tarda pas à jouir sous nos caresses.