Vacances en famille, la suite (14/18)

La pièce était plutôt sombre et, entourés que nous étions, personne ne deviner ce que nous faisions. Il s’enhardit enfin en posant ses deux mains sur mes hanches. Il était fébrile et je le sentais prêt à exploser. Il fallait, je devais absolument faire quelque chose pour ce pauvre homme, lol. En quittant cette salle, je demandais si quelqu’un savait où se trouvaient les toilettes. Jérôme et Ingrid cherchèrent du regard jusqu’à ce que Denis réagisse enfin.

« Je crois que c’est par là, j’ai vu un écriteau tout à l’heure. Je dois y aller moi aussi, je peux te guider. Continuez la visite, on vous retrouvera facilement » ajouta-t-il pour son épouse.

Elle se retourna, dédaigneuse, et continua la visite. Je suivais Denis qui, semble-t-il, ne savait pas du tout par où aller. Je demandais à une jeune fille qui travaillait pour l’aquarium et elle nous donna la bonne direction. Il y avait trois portes, une pour les hommes, une pour les femmes et, au milieu, une grande cabine pour handicapé. Denis allait vraiment pénétrer dans les toilettes hommes lorsque j’agrippais sa main et le tirais avec moi dans la cabine du centre. Je refermais la porte aussitôt et je me tournais vers lui. Il restait là, les bras ballants, ignorant ce qu’il devait faire, ou n’osant pas croire à sa chance. Je retirais entièrement ma petite robe pour me retrouver juste avec mon string, face à lui. Il admirait le spectacle, sans oser toucher. Je m’approchais de lui, baissais son pantalon et, en m’accroupissant, j’entrainais son slip avec mes doigts. Sa grosse queue était enfin libérée et toute à moi. Il a simplement posé ses mains sur ma tête lorsque je l’ai pris en bouche. C’est un vrai délice pour moi de découvrir un nouveau sexe dans ma bouche, entre mes doigts. Je dois apprendre à l’apprivoiser, à le maîtriser. Doucement, pas trop vite. Denis n’était semble-t-il pas très habitué à recevoir pareille offrande et je ne souhaitais pas qu’il se déverse trop tôt dans ma bouche. Son pantalon au sol lui entravait les chevilles. Je me relevais lentement, frottant mon corps nu contre lui. Je repris son sexe dans ma main pour le guider en moi. Ça y est, il ose enfin prendre les choses en main. « Les choses », ce sont mes fesses qu’il a agrippé, me serrant contre lui. Il m’a plaquée contre la paroi en faïence et j’ai accroché mes jambes derrière son dos.

Il était bien planté au fond de moi et il me labourait comme il se doit. Vu qu’il n’avait plus à me soulever, ses mains libres se sont intéressées à mes seins. J’adorais comment il les triturait, les malaxait, avec tendresse et un peu de fébrilité. Mes muscles intérieurs jouaient avec son sexe impressionnant et je l’aspirais littéralement. Je le sentais prêt à partir, alors j’ai décidé de retarder l’échéance inéluctable. Je me suis dégagée, il parut surpris. Sans le lâcher des yeux, je me retournais, face à la paroi. Il reprit possession de mes hanches et tenta à nouveau de s’introduire en moi. Mais ce n’était pas cette entrée que je voulais qu’il emprunte. Un peu déboussolé, je guidais sa queue sur la rondelle, lui indiquant le chemin à prendre. Incrédule, il n’en croyait pas ses yeux. Il m’avoua, bien plus tard, que c’était la première fois qu’une femme lui proposait de l’enculer. Avec sa femme, il avait essayé, évidemment, mais elle avait toujours refusé. Tout juste si elle acceptait, de temps à autres, de lui faire une fellation. Elle trouvait ça vulgaire et dégradant pour la femme qui le pratiquait. Quoiqu’il en soit, il commença à me pénétrer très lentement, appréciant chaque centimètre qui me remplissait un peu tard le cul. Je sus qu’il était rendu au fond lorsque je sentis ses grosses boules se balancer contre mes fesses. Doucement, il ressortit … Pour aussitôt me reprendre. Il répéta cette action des dizaines de fois, prenant un malin plaisir à m’entendre geindre lorsqu’il sortait. Le râle que je poussais quand il me pénétrait à nouveau devait l’exciter au plus haut point. Il recommença inlassablement à m’enculer ainsi.

Mais ce petit jeu pervers n’était pas sans conséquence pour lui. Il se retrouva très vite à un point de non-retour et il accéléra la cadence. J’étais aux anges avec cette grosse queue dans mon cul qui me fit jouir intensément, avant qu’il ne se répande à son tour dans mes entrailles. Une toilette rapide et, malgré tout, un petit pipi, les cuisses écartées pour qu’il puisse tout voir. Nous avons rejoint les autres presque à la fin de la visite. J’ai entendu Denis qui expliquait à sa femme qu’il avait dû m’attendre longtemps avant que je ne sorte des toilettes femmes. Ensuite, le temps de les retrouver dans la foule expliquait qu’il n’arrivait que maintenant. Pour le retour, les plus jeunes voulurent monter dans la voiture de Jérôme. Marie-Cécile n’était pas prête à les lâcher pour les voir assis près de moi. Elle s’imposa donc dans le véhicule de son gendre, Céliane et moi n’avions d’autre choix que de monter avec Denis. J’étais assise près de lui, Céliane jouait avec son téléphone portable et ne s’occupait de rien d’autre. Je décidais de jouer encore une fois les salopes et je posais ma main sur la bosse que faisait son pantalon depuis que j’étais assise près de lui. Il est vrai que j’avais toujours les cuisses écartées et que, s’il regardait bien, il pouvait apercevoir mon string. Il refusa tout net lorsque je voulus sortir sa queue de son pantalon. D’abord parce qu’il conduisait et surtout parce que nous n’étions pas seuls. Qu’à ne cela ne tienne, je décidais de l’exciter au-delà de tout. Je fis habilement glisser mon string pour me retrouver assise les fesses directement au contact du siège. Quand j’écartais les cuisses, il pouvait voir clairement mon intimité qui brillait. Mon string dans la main, je glissais enfin dans son slip et c’est dans mon sous-vêtement qu’il éjacula pour la seconde fois. Je refermais son pantalon, lui laissant un souvenir impérissable de cette journée.

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