Vacances en famille, la suite (02/18)

Oubliées les frustrations, les envies cachées. Elle était femme avec ses envies et ses besoins. Son mari lui suffisait largement, côté mâle, et je comblais le déficit au niveau féminin. Nous sommes retournées nous coucher mais j’ai bien cru voir une femme, dans la cabine voisine de la nôtre, qui avait sans doute tout entendu. Je n’en parlais pas à Ingrid, pour ne pas l’effrayer plus que de raison. Elle s’est endormie très vite et moi, juste après. J’ai été réveillée vers cinq heures du matin par mon grand frère qui se levait. Je le rejoignais dans la cuisine pour savoir pourquoi il se levait si tôt. Il était en train de se préparer un café et il m’en proposa un. J’acceptais évidemment en lui demandant pourquoi il se levait aussi tôt, alors qu’il était en vacances. Il me raconta alors le début de ses vacances. Habitué à se lever tôt pour aller au travail, il avait fait de même en arrivant ici. Une promenade le long de la plage le premier jour, il avait traversé la route qui longeait le camping le lendemain. Une lumière et de la musique attira son attention. En s’approchant, il aperçut le boulanger, Joël, qui était sorti fumer une cigarette. Il le salua et ils commencèrent à discuter comme deux vieux amis. Joël l’invita à entrer dans le fournil pour boire un café et Jérôme accepta. Ils ont continué à parler de choses et d’autres jusqu’à ce le travail de Joël l’accapare complètement. Jérôme s’excusa de l’empêcher de travailler et repartit.

Il revint le lendemain à la même heure et, quand le travail devint plus prenant, Jérôme lui demanda comment il pouvait l’aider. Un peu étonné par la proposition, Joël lui confia pourtant une première tâche, qui consistait à beurrer les croissants et pains au chocolat qui étaient prêts à être mis au four. Ils ont donc continué à discuter tout en effectuant leur travail. Et depuis ce premier jour, Jérôme retourne chaque matin dans ce fournil pour aider l’artisan boulanger. Il avait fini de boire son café et était prêt à partir. Je lui demandais juste quelques instants pour l’accompagner moi aussi. Je mettais simplement un bas de maillot de bain sous mon maxi tee-shirt et nous avons rejoint rapidement le fournil et Joël, agréablement surpris de me voir là aussi. Il savait évidemment que Jérôme était ici en vacances avec sa famille et il a cru un moment que j’étais sa femme. Mais Jérôme m’a présentée comme sa petite sœur et Joël est venu me faire la bise. Sa main, sur ma hanche, glissa dangereusement vers mes fesses, sans que je l’arrête. Il avait de grosses mains qui semblaient calleuses. Je la pris dans mes petites mains pour l’examiner et il m’expliqua que c’était une protection naturelle, la peau se durcissait pour résister aux fortes températures auxquelles elle était exposée.

Pour argumenter, il sortit, à mains nues, un pain du four. Jérôme et moi sentions la chaleur qui se dégageait de ce pain, alors qu’il le tenait en main, sans souffrir de brûlure. Il le remit au four et on parla d’autres choses. Il nous apprit qu’il était marié, qu’il avait deux enfants, comme Jérôme, mais un garçon et une petite fille. Et sa femme attendait le troisième qui était déjà en route. Je riais à gorge déployée à sa réflexion. Je lui expliquais qu’un four pouvait se mettre en route, pas un enfant. Sa femme travaillait évidemment au magasin et il avait pris une apprentie pour l’aider dans ses tâches. Convaincu du bien-fondé de l’apprentissage, puisque lui-même l’avait été, il avait pris lui aussi un jeune apprenti pour l’aider à la préparation des fournées. Joël me demanda si je savais cuisiner, ou du moins, préparer des gâteaux. Je lui répondis que j’étais maman moi aussi et la tante de deux jolies nièces qui adoraient faire de la pâtisserie. Il me donna alors un tablier blanc, que Jérôme attacha dans mon dos, et il me donna un peu de pâte feuilletée que je devais rouler pour en obtenir une fine couche. Je lui montrais de quoi j’étais capable et eux, m’observaient dans mon dos. Joël n’avait rien à redire sur la façon de faire. Il me demanda ensuite de diviser la pâte ainsi obtenue en carrés, d’y glisser deux bâtons de chocolat avant de la rouler. Une fois fait, j’avais préparé des pains au chocolat prêts à être mis au four. Enfin, presque prêts. Il restait encore à les beurrer. Tandis que j’opérais sous leurs regards attentifs, je sentis une main caresser mes fesses. Directement, à même la peau. J’étais étonnée que cette personne n’ait pas eu à relever mon tee-shirt. En tournant simplement la tête, je compris immédiatement pourquoi. Jérôme avait bien attaché le tablier blanc dans mon dos mais  il avait relevé mon tee-shirt en même temps et  l’avait attaché avec. Je me rendais compte alors que j’avais étalé la pâte devant eux pendant qu’ils mataient mes fesses.

Évidemment que cela avait dû les exciter et je voyais clairement la main de Joël qui me pelotait doucement. Je levais les yeux vers lui et il comprit immédiatement qu’il pouvait continuer. Il fut par contre très surpris de sentir celle de Jérôme, également sur mes fesses. Entre frère et sœur, tout de même ! Mais, vu que je ne disais rien, il se consacra uniquement sur la caresse sur mes fesses. Son autre main ne resta pas inactive. Vu que je tendais légèrement les fesses vers leurs mains habiles, j’étais un peu penchée en avant et donc, il pouvait voir mes seins sous le tee-shirt. Jérôme l’imita immédiatement et ma poitrine fut bientôt sortie par l’échancrure du vêtement. Le tablier blanc ne cachait plus rien de mon corps et les deux hommes me pelotaient magnifiquement. Un léger bruit, un souffle, attira mon attention vers la porte intérieure. Un jeune garçon d’à peu près 16 ans se tenait dans l’embrasure et nous observait. Enfin, disons plutôt qu’il avait les yeux rivés sur ma poitrine. Je tournais la tête vers Joël, puis aussitôt vers le garçon.

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