Isabelle (12/16)

Il faisait déjà nuit quand elle me raccompagna chez Corinne. Avant de s’asseoir à son siège, elle avait elle-même relevé sa robe très haute. Je ne pouvais résister à l’appel de son désir. Je glissais ma main entre ses cuisses et la branlais. Deux doigts la pénétrèrent. Elle stoppa la voiture sur un petit parking vide pour jouir une nouvelle fois sous mes caresses. Nous repartîmes, deux doigts toujours en elle. Elle dut s’arrêter une nouvelle fois, sur le petit parking près de la maison de Corinne. Elle jouit très fort encore une fois et ma bouche vint atténuer son cri de délivrance.

Avant de nous quitter, elle m’offrit un dernier plaisir. Elle sortit, contourna sa voiture jusqu’à ma portière qu’elle ouvrit, défit le haut de sa robe pour m’offrir enfin sa poitrine gigantesque. J’avais passé une journée magnifique, riche en rebondissements. Lucie avait fait son coming out devant sa mère. Celle-ci avait trouvé un appart sublime, et une propriétaire compréhensive. Heureusement qu’elle avait pris sa semaine de congé. Elle pouvait ainsi préparer son déménagement avec sa fille et Charlène qui resta pour aider. Restait à trouver un camion et des bras costauds. Le lendemain, mercredi, j’allais de bonne heure chez Helen. Je tombais sur Jacky qui partait au boulot. Il ne m’appréciait pas beaucoup mais il m’offrit un café. Il savait déjà que je lui préparais une surprise pour vendredi soir. Je lui parlais de mon amie, Isabelle, qui avait besoin d’un coup de main pour déménager. Il me proposa de le faire le vendredi après-midi, avec ses ouvriers. Ils étaient en RTT logiquement mais, s’il leur demandait, ils viendraient sûrement. Il me le confirmera plus tard. Il allait monter réveiller Helen, puis se ravisa.

« La chambre est en haut, en face de l’escalier. Je te laisse aller la réveiller en douceur ».

Et il sortit. Je montais sans bruit, ouvris la porte de la chambre pour découvrir sa femme qui dormait profondément. Je m’approchais du lit, relevais la couette pour l’apercevoir en nuisette. J’effleurais sa peau, le tissu que je remontais sur ses fesses. Elle se tourna sur le ventre, exposant son cul splendide. Je ne sais pas si elle s’est réveillée à ce moment ou pas, mais elle était persuadée que cela ne pouvait pas être son mari. Donc, un rêve, sûrement. Et elle laissa le charme agir, écartant les cuisses tandis que j’en caressais l’intérieur. La nuisette bien haute sur les épaules, je descendis son string. Elle se tourna alors vers moi avec un grand sourire, me laissant la mettre totalement nue. Mes doigts, mes lèvres, ma bouche parcouraient son corps offert. Je plongeais la tête entre ses cuisses qu’elle ouvrit en grand. Quel bonheur de retrouver son goût si particulier ! Je m’emplis le nez de ses effluves puis, je lui demandais de se retourner, la tête dans les oreillers et le cul bien relevé. J’avais le choix entre sa fente humide, son clito déjà sorti et pointant fièrement ou bien son cul si appétissant. Ma langue tourna tout autour de son anus, pointant quelquefois en plein centre, pour en refaire le tour. Puis ce fut mon doigt qui remplaça ma langue, faisant le tour ou pointant au centre. Il finit par entrer enfin, pour son plus grand bonheur. Un long soupir de soulagement accompagna cette entrée.

Curieuse, j’ouvrais le tiroir de son chevet et j’y trouvais un petit gode. Ce que toutes les femmes devraient avoir près de leur lit, pour pallier à toutes leurs envies nocturnes. Je le sortis et le frottais contre sa fente trempée. Puis, il continua sa progression jusqu’à son cul où il entra sans peine. Les premiers centimètres avalés, je commençais à aller et venir en elle. Plus vite. Plus loin encore. Plus fort. Comme un étalon l’aurait couverte. Son orgasme éclata sans prévenir, suprême moment d’extase pour elle. Et pour moi qui en était la cause. Donner du plaisir est presque aussi jouissif que d’en recevoir. Elle se retourna sur le dos pour se remettre de ses émotions, impudique, mais tellement désirable. Je m’assis près d’elle, à la place de son époux, après avoir ôté mes ballerines. Ma main caressait sa poitrine offerte à mes caresses. Sa peau si douce, si soyeuse. Une fois remise, elle se redressa et plongea entre mes cuisses. Je me laissais faire, trop heureuse de retrouver sa langue habile. Je jouis très vite sous sa bouche. Puis, on se leva pour descendre dans la cuisine où elle m’offrit un thé. Je m’installais à la table tandis qu’elle virevoltait autour de moi, toujours nue. J’en profitais bien évidemment pour la toucher chaque fois qu’elle se trouvait à ma portée. Je lui expliquais succinctement comment se déroulerait la soirée que je lui préparais, à elle et son mari. Sans donner trop de détails. Je tenais à la laisser sur sa faim.

Je rentrais avant midi pour monter réveiller Amélie et déjeuner en famille. Seule Charlène manquait. Ensuite, après-midi tranquille entre Corinne et sa fille. Juste coupé par un appel de Francine qui voulait me revoir. Je lui donnais rendez-vous chez Geneviève, le lendemain à treize heures. À charge pour elle de prévenir sa propriétaire. Un second appel, un peu plus surprenant, venant d’Isabelle. Elle me demandait de l’aide à propos de documents. Je lui expliquais que je ne serais libre qu’en fin d’après-midi et que je l’appellerais pour venir me chercher quand j’aurais fini. Elle accepta avec enthousiasme, surprise que je dise oui si vite. Francine voulait me voir donc, et bien soit, elle me verra, mais elle n’est pas près d’oublier ce rendez-vous là. J’arrivais un peu avant l’heure et elle m’attendait dans sa voiture. Elle me rejoint très vite avant que je ne sonne. La porte s’ouvre, je la laisse entrer, je la suis de près et dès que nous sommes seules, je lui roule une pelle tout en la caressant partout. Je la prie de monter la première marche avant de lui dire :

« Stop. Relève ta robe derrière. À deux mains. Jusqu’à la taille. Oui, je veux voir ta culotte. Et ne la lâche sous aucun prétexte. Monte, je te suis de près ».

Elle commence à gravir l’escalier en me montrant son si joli cul. Une porte s’ouvre au premier palier. Un jeune garçon sort de chez lui.

 

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