Elle accepta, bien sûr, et me donna rendez-vous pour 14 heures, chez elle. Céliane était maintenant habituée à ce genre de surprises et elle ne posa aucune question sur l’endroit où nous allions. Pour une fois, j’avais imposé qu’elle s’habille comme une collégienne. Mi-bas blancs et souliers vernis, une jupette écossaise et un corsage, blanc lui aussi. Je savais que sa tenue ferait sensation auprès de Clothilde. Elle m’avait déjà avoué qu’elle avait souvent eu envie de l’une ou l’autre de ses élèves, sans jamais avoir osé. Mais là, c’est moi qui ne la croyais pas vraiment. Mais bon, si elle le disait !! Elle se jeta littéralement sur ma bouche dès qu’elle eut ouvert la porte. Je dois dire que je m’y attendais, puisque cela faisait un certain temps que l’on ne s’était plus revue. Mais elle n’avait toujours pas aperçu Céliane qui observait la scène attentivement. La connaissant un peu plus maintenant, je pense même qu’elle était en train d’évaluer, et d’apprécier, le corps de Clothilde, malgré qu’elle soit serrée contre moi.
Ce n’est qu’en voulant refermer sa porte d’entrée que Clothilde s’aperçut de la présence de Céliane. Elle, qui était toujours aussi sûre d’elle-même, se trouva un peu décontenancée par la tenue de la nièce. Une pure collégienne qui venait lui rendre visite. Elle reprit ses esprits et nous invita à prendre place au salon. Céliane et moi sur le canapé en cuir, Clothilde nous proposa des rafraîchissements. Quand elle revint de la cuisine, elle faillit faire tomber son plateau. Céliane avait glissé sa petite main entre mes cuisses, que j’avais largement écartées, et elle me doigtait habilement. Elle devait certainement avoir son regard de tigresse et elle fixait intensément la femme, debout à quelques mètres de nous. Clothilde avala difficilement sa salive et posa son plateau sur la table basse. Elle connaissait évidemment mon côté soumise et elle en avait largement profité. Mais, de me voir soumise à cette toute jeune femme, raviva en elle des désirs enfouis profondément dans sa mémoire. Quand elle put enfin reprendre une certaine contenance, elle s’adressa à Céliane, plutôt qu’à moi.
« J’ai, moi aussi, une surprise qui nous attend, dans la pièce voisine ».
Elle tendit la main vers Céliane qui se leva pour la suivre. Je suivais à quelques pas derrière elles. Arrivées dans la chambre, que je connaissais parfaitement pour y avoir passé de merveilleux moments avec Clothilde, et d’autres, un fabuleux spectacle nous y attendait. Céleste était allongée sur le lit, bras et jambes en croix, attachée aux quatre coins du lit. Elle était nue, bien sûr, et ses yeux étaient bandés pour qu’elle ne puisse pas voir qui entrait dans la pièce. Pour avoir été moi aussi à cette place, dans cette position, je ressentais ce qu’elle devait ressentir. Un soupçon de peur, mais énormément de plaisir. Le parfum capiteux de Clothilde était largement présent dans la chambre et Céleste ne pouvait ignorer que son amie était bien là.
Mais elle savait également qu’elle n’était pas seule. Elle avait déjà été offerte ainsi, comme moi je l’avais été, aux caprices et aux amies de Clothilde. Cette fois-ci, elle avait bien perçu que deux autres personnes étaient entrées et l’observaient attentivement. Femmes, ou hommes, impossible à déterminer. Clothilde avait été surprise par la présence de Céliane avec moi, encore plus en revenant dans son salon. Là, elle reprenait un avantage certain et c’est Céliane qui était bouche bée devant le spectacle de cette femme merveilleuse, offerte à tous ses désirs. Car elle n’ignorait pas qu’elle pourrait lui faire tout ce qu’elle voulait. Elle s’approcha justement du lit pour admirer de plus près les beaux seins de cette femme. Elle posa timidement une main en-dessous l’un d’eux, sentit la femme frémir sous l’attouchement.
S’enhardissant, elle prit ce même sein à deux mains, qui ne pouvaient le contenir entièrement, elle le serra entre ses petites mains, faisant ressortir encore plus le téton, érigé en son sommet. N’y tenant plus, c’est sa bouche qui vint englober la petite fraise, tandis que la main allait s’occuper de l’autre sein. Elle tétait avec avidité et Céleste ronronnait de bonheur. Puis, elle s’attaqua à l’autre sein qui subit le même sort, et les mêmes caresses. J’assistais à la scène, en me remémorant ce que j’avais subi, ici même, de la part de Céleste, et de bien d’autres. Je n’avais pas vu que Clothilde était arrivée derrière moi. Habilement, elle dégrafa ma jupe qui glissa au sol. Elle fit passer mon tee-shirt par-dessus ma tête et je me retrouvais aussi nue que Céleste, sauf que j’étais encore chaussée.
Elle retrouvait avec grand plaisir mon corps qui lui était tout offert. Ses mains impatientes s’aventuraient partout, de mon visage jusqu’à l’intérieur de mes cuisses. J’étais sa poupée, son jouet, comme Céleste était celui de Céliane. Elle me retourna face à elle et appuya légèrement sur mes épaules. Je savais exactement ce qu’elle attendait de moi et je lui offris ce qu’elle voulait, un tendre cunnilingus. Elle attrapa un gode ceinture et me le présenta pour que je l’aide à l’enfiler. Une fois en place, je dus bien évidemment le lécher pour le préparer. Elle me redressa, me positionna face aux cuisses de Céleste et appuya sur ma tête. Penchée en avant, je commençais à lécher cette chatte toute lisse tandis qu’elle me prenait sauvagement. Sans doute pour se venger de l’avoir laissée aussi longtemps sans se voir.
Mais elle n’ignorait pas que j’aimais beaucoup être prise ainsi. C’était sa fougue que j’adorais en elle. Céliane jouait toujours avec la grosse poitrine de la soumise attachée au lit. Qui, c’était évident, ne tarda pas à jouir sous nos caresses conjuguées. Mais ce n’était que le début, on espérait bien la faire jouir intensément de nouveau. Céliane se plaça à califourchon au-dessus de sa bouche et écarta le tissu de sa petite culotte. Céleste n’avait pas d’autre choix que de goûter à cette jeune chatte imberbe également. Elle avait bien vu, en se déplaçant, comment Clothilde me baisait sauvagement. Elle n’avait qu’une envie, c’était de faire de même.