Isabelle (08/16)

Francis attrapa sa femme par la taille et glissa sa main sous sa robe. Elle résista uniquement par convenance, mais elle en était ravie. Francis releva la main un peu plus haut.

« Montre lui le bel ensemble que je t’ai offert ».

La serrant contre lui, je pus apercevoir sa jolie culotte verte.

 » Un ensemble, c’est deux pièces, minimum  » dis-je.

 » Oui, Corinne, tourne toi et montre lui le haut avec ».

Elle me fit face et, comme par défi, déboutonna sa robe devant avant d’en écarter les deux pans. Francis, lui, releva sa robe devant pour que je puisse enfin apprécier l’ensemble. Magnifique, et si bien porté. Je voyais sa toison à travers le tissu et, me sembla-t-il, un début d’humidité. Les seins prenaient à plein dans les balconnets et les aréoles étaient parfaitement visibles. Les tétons pointaient déjà. Francis laissa retomber la robe pour s’occuper de sa poitrine. Il la malaxa avec un plaisir non dissimulé. Puis, apercevant l’heure, il se sauva rapidement, laissant sa femme toute pantelante. Je ne devais pas, je ne pouvais pas la laisser comme ça. Je m’approchais d’elle pour déposer un bisou sur ses lèvres. Mes mains retrouvaient enfin son corps, alangui par l’attente du plaisir. Je caressais ses fesses, relevais l’arrière de sa robe avant de la laisser s’asseoir sur la chaise qu’occupait son mari quelques instants plus tôt. Tout en continuant à l’embrasser, mes doigts agiles finirent de déboutonner sa robe et écartaient les deux pans. Assise sur la chaise, bien calée au fond, les bras ballants, Corinne se laissait guider par son plaisir, abandonnant toute résistance.

Je découvris un peu ses épaules, puis descendis les bretelles de son soutif. Sa poitrine s’éjecta des bonnets qui ne pouvaient plus la retenir. Je plongeais comme une assoiffée sur les deux globes fantastiques. Je caressais, léchais, tétais parfois. Mes mains caressaient ses flancs quand ma bouche s’immisça entre ses seins pour redescendre vers son ventre, sa fente déjà humide et odorante qui m’appelait. Elle glissa légèrement sur sa chaise quand mes mains descendirent sa culotte puis reprit sa place. Ma langue trouva le chemin de son plaisir et c’est seulement à cet instant précis qu’elle réagit en posant ses deux mains sur ma tête pour accompagner sa jouissance. Entièrement ouverte pour moi, indécente mais tellement désirable. Elle se livrait totalement, sans arrière-pensée. Elle jouit très fort sous ma langue experte tandis que j’avalais avec un grand bonheur tout le jus qu’elle me donnait.

Je ramassais sa culotte, l’aidais à se relever et la soutenais pour rejoindre sa chambre. Je déposais sa robe sur le lit avant de la conduire jusqu’à sa douche. Je mis en route le mitigeur et la laissais pénétrer seule dans la cabine. Je résistais à l’envie de la suivre, ce qui, d’après son regard, lui aurait plu énormément. Je préparais un drap de bain pour l’essuyer quand elle sortirait et, appuyée sur la vasque, je la regardais se savonner le corps, les seins, le pubis. Elle était magnifique, et désirable. Elle jeta un regard vers moi avant de couper l’eau. J’approchais avec le drap de bain dans lequel elle s’enroula. Je frottais son dos, ses fesses, ses cuisses, remontais sur son ventre, ses seins. Que je pris à pleine main. Que c’est beau, une femme qui s’abandonne totalement sous les caresses que tu lui donnes. Dans le miroir, je voyais son visage resplendissant de bonheur. Je l’aidais ensuite à se rhabiller, culotte, soutif et sa robe pour finir que je reboutonnais de bas en haut. Retour dans la cuisine où j’acceptais de reprendre un café avec elle. Je lui demandais de m’emmener, avec Charlène, chez son amie, Lucie, lui précisant que je demanderais à Isabelle de me ramener. Sans poser de question, elle accepta. Je remontais dans la chambre d’Amélie.

Et là, surprise. Je trouvais Charlène sur le lit. Elle avait baissé la couette sur les pieds de sa sœur, encore endormie et relevé son maxi t-shirt qu’elle utilisait pour la nuit. À genoux à ma place, penchée en avant, elle tétait sa grande sœur adorée avec ardeur. Amélie, comme à son habitude, dormait profondément tout en se laissant faire. Sans doute, croyait elle que j’étais la suceuse. La position de Charlène m’excitait. De voir son petit cul relevé, en attente de caresses, de fessées peut-être. Bien sûr, elle sentit ma présence mais continua sa tétée. Je relevais sa chemise de nuit pour dégager ses fesses et je baissais sa culotte. Un bisou sur chacune de ses petites fesses et je m’asseyais près d’elle, sur le lit, et continuais à la caresser. Je sortis doucement le vibro de la table de nuit et je le promenais sur ses rondeurs. Elle frissonna de plaisir en reconnaissant l’engin que Lucie avait déjà utilisé sur elle. Je le mis en marche et la caresse se fit plus profonde, puis plus précise quand j’approchais de son anus. La pointe du vibro se trouvait sur sa rondelle, prête à entrer. Elle se tordait de plaisir sous les vibrations. Je laissais tomber de la salive sur son cul qui coula dans sa raie fessière, humectant encore la pointe. Je forçais juste un peu et elle se recula au même moment, si bien que le premier centimètre était entré. Elle prit ses fesses dans ses mains pour les écarter, m’invitant à la pénétrer plus encore. Un nouveau centimètre était entré. Elle ronronnait comme une petite chatte en chaleur.

Je continuais doucement ma « percée » anale. J’adore ce mot car c’est exactement ce que je faisais. Je lui trouais le cul, mais en douceur. Je commençais à aller et venir en elle quand je sentis le sphincter qui lâchait prise, enfin. Le plus dur était passé pour elle, et le plus agréable commençait. Je passais en vitesse deux. Je coulissais facilement dans ses entrailles, maintenant. Je laissais tomber de la salive régulièrement pour huiler l’engin qui la défonçait. J’accélérais la cadence, tranquillement. Mon autre main trouva son clito sorti de son capuchon et le titilla doucement. Elle mouillait énormément, Charlène. Je la sentais au bord de l’orgasme, en attente de cette vague qui allait la submerger. Je rentrais deux doigts dans sa fente tout en excitant son clito. Le flot de cyprine qui sortit de sa jeune chatte à ce moment-là me surprit, tout autant qu’elle.

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