Mais toujours dans le respect. Jamais un geste ou une parole déplacée. Je lui ai justement rendu visite cette semaine et nous avons beaucoup parlé, et rigolé un peu. C’est avec lui que j’ai imaginé créer cette société que j’appellerais « Fée du Logis ». Les femmes, ou jeunes filles, qui y seraient employées devraient faire le ménage chez les clients dans un uniforme sexy. Jamais nue, mais en sous-vêtements et bas, par exemple, ou bien en nuisette. Interdiction de les toucher, évidemment. Juste le droit de les regarder accomplir leurs tâches ménagères. On a déliré ainsi de longues minutes avant qu’il m’avoue qu’il serait mon premier client, et le plus fervent. Et même qu’il connaissait bien des personnes qui seraient intéressées. Créer cette société était facile pour moi. Cela demanderait un peu de temps, et d’investissement, mais tout était possible. En délirant avec Ludovic, je me demandais où trouver des jeunes femmes qui accepteraient ces conditions. Et j’en avais trouvé une en la personne de Vanessa. Restait à lui parler plus précisément de l’uniforme.
« Bien parlons un peu de l’uniforme. Pour se distinguer des autres sociétés comme la mienne, il fallait trouver un créneau encore non visité. Donc, tu iras chez le client pour remplir tes tâches ménagères mais, en arrivant, tu te mettras en uniforme. Pour toi, pour ce client, ce sera sous-vêtements et bas noirs. Et uniquement ça. De toute façon, je serais là pour ton premier rendez-vous et le client n’a aucun droit de te toucher. Ce sont les conditions contractuelles ».
Je la laissais ingurgiter cette dernière information.
« Par contre, en dehors du contrat et seulement si tu le désires, tu pourras accepter de lui montrer ta poitrine par exemple et c’est toi qui décidera du prix. Il devra te payer avant, 20 € pour voir tes seins par exemple, ou bien 50 € pour les toucher, les embrasser, les téter. C’est toi qui est totalement libre et toi qui décide du prix ».
« As-tu compris toutes les consignes ? »
Incapable de répondre, elle hocha simplement de la tête.
« Déshabille-toi maintenant. Je veux te voir évoluer toute nue. Sachant que tu ne seras jamais nue chez un client, sauf si tu as accepté un marché avec lui ».
Elle ôta son tee-shirt et baissa son pantalon, comme une automate. Elle semblait ailleurs mais pourtant obéissait à tous mes ordres. Elle était en sous-vêtements, simples et classiques. Je lui fis signe de marcher jusqu’à la porte et de revenir vers moi. Elle s’exécuta plusieurs fois. Puis, face à elle, je lui fis comprendre d’enlever son soutif. Elle baissa les yeux et le dégrafa, un peu honteuse. Elle ne tentait pas de se cacher mais restait inerte. Quand ce fut au tour de sa culotte, elle resta de marbre. Un signe à Fatima et elle s’accroupit derrière elle pour ôter ce dernier rempart. Vanessa était entièrement nue, et si belle. Je la fis encore marcher jusqu’à la porte pour l’admirer. Un peu gauche au début, elle prit peu à peu de l’assurance et, au bout de quelques minutes, elle défilait comme un top model. Avec un petit sourire quand elle voyait nos regards sur son corps de déesse. Vanessa était brune, comme Fatima, avec une belle paire de seins plantés bien haut, fermes et généreux pourtant. Une taille fine et un joli petit cul. Des cuisses fines et élancées. Et un sourire à faire fondre un iceberg. Ses cheveux ondulés cachaient ses épaules, sans pouvoir couvrir sa poitrine.
Elle finit par se poster devant moi, me laissant admirer sa chatte complètement glabre. Un peu d’humidité perlait sur ses lèvres intimes, signe que cette situation l’excitait au plus haut point. Elle attendait devant moi, jambes légèrement écartées, un geste de moi, un ordre. Fatima se plaça derrière elle en m’implorant du regard. Je clignais des yeux en signe d’accord. Elle se colla aussitôt à sa jeune voisine et engloba ses seins entre ses mains. Elle les malaxa avec un plaisir non-feint. Vanessa pencha la tête en arrière et Fatima l’embrassa voluptueusement. Une de ses mains parcourut le ventre pour descendre vers sa fente luisante. Je me levais pour ôter le peignoir de Fatima, la laissant simplement dans sa nuisette transparente. Mes mains caressaient l’une ou l’autre, un sein ici, une fesse là. Le salon était rempli des ronronnements de plaisir des deux coquines qui se donnaient entièrement. Finalement, n’y tenant plus, je passais ma robe par-dessus ma tête et j’enfilais mon gode ceinture. Je me mis derrière Vanessa, la « queue » bien droite frottait sur ses fesses, puis entre ses cuisses. Elle mouillait énormément, ce qui donnait des petits bruits de succion.
Enfin, elle se plaça elle-même pour s’empaler sur la queue factice. Mes mains sur ses hanches, je la pénétrais bien au fond de sa petite chatte et je restais là, sans bouger, bien ancrée à elle. C’est elle-même qui se mit à faire des mouvements d’avant en arrière. Elle se baisait toute seule. Fatima s’occupait de ses seins maintenant, un téton dans sa bouche, l’autre entre ses doigts qui le pinçaient. Elle gémissait carrément sous l’effet de nos caresses, le gode en elle qu’elle avalait entièrement à chaque poussée. Elle était clairement en manque de sexe, ça se voyait, ça se sentait. Elle m’avoua plus tard que ça faisait plus de six mois qu’elle n’avait pas baisé. Fatima vint se placer derrière moi pour malaxer mes petits seins. Je penchais la tête en arrière pour lui offrir mes lèvres. Elle colla les siennes sur ma bouche pour un long baiser langoureux. Puis, tout en m’embrassant et en malaxant mes tétons, elle commença à donner des coups de reins, comme si elle me baisait. Évidemment, ses coups me propulsaient plus profondément encore dans la chatte accueillante de Vanessa.
Celle-ci posa ses mains sur la table basse, s’offrant entièrement à mes coups de queue. J’étais accrochée à ses hanches mais je n’étais que l’objet de son plaisir. C’est Fatima qui la baisait en m’utilisant comme objet. Je sentais sa chaleur contre mes fesses, ses tétons si durs qui me labouraient le dos. C’est alors que survint le premier orgasme de Vanessa. Ce qui n’arrêta nullement Fatima qui continuait à me faire aller et venir dans la chatte de sa voisine. Un jour, je l’équiperais réellement d’un gode ceinture et je la laisserais me baiser ainsi. Elle a l’air très douée et semble y prendre goût. Peut-être même que je retrouverais comme maintenant, prise entre elles deux.