En bonne professionnelle, elle s’approcha de nous pour nous conseiller. J’étais ici principalement pour Céliane mais Aurore réussit à me convaincre d’essayer un nouveau modèle qu’elle venait juste de recevoir. Il n’était même pas encore en rayon et surtout, il n’était pas en soldes. Je me laissais convaincre tandis que Céliane faisait son choix parmi les modèles proposés à sa taille. J’entrais dans la cabine d’essayage et commençais à me dévêtir lorsque la vendeuse, profitant de l’absence momentanée de Céliane, entra à son tour avec moi. J’étais seins nus et je m’apprêtais à baisser ma minijupe. Aurore se jeta littéralement sur mes seins ainsi exhibés et commença à me téter langoureusement. Si Céliane avait disparu un instant, c’était justement pour inciter la jeune femme à entrer avec moi dans la cabine étroite. J’étais plaquée contre le mur du fond quand je vis le rideau s’écarter de nouveau. Céliane appréciait ce spectacle. Elle prit une voix de petite fille innocente pour demander.
« Mais, qu’est-ce que tu fais avec ma tante ? »
Aurore voulut se redresser mais je maintenais sa tête contre ma poitrine. Céliane m’avait fait un clin d’œil avant d’intervenir car elle connaissait mes aventures passées dans ce magasin. Aurore, penchée en avant, ne put empêcher la jeune coquine de relever sa jupe au-dessus de sa taille. Une petite main se faufila immédiatement entre les cuisses légèrement ouvertes et atteignit rapidement sa cible. Au visage comblé de ma complice, je compris que la vendeuse devait être très excitée par cette situation. D’ailleurs, elle reprit sa tétée avec encore plus d’entrain. Je pouvais désormais lâcher sa tête et remonter son top pour accéder à sa merveilleuse poitrine. Tout en continuant à s’occuper de mes seins, elle défit l’attache de ma minijupe qui glissa sur le sol. Mon string ne mit pas longtemps à suivre le même chemin et elle finit par s’accroupir devant moi. Céliane lui ôta définitivement son petit haut à bretelles et son soutien-gorge pour s’occuper de ses seins à son tour. La jeune vendeuse glissa une main entre ses cuisses pour se caresser énergiquement. D’habitude, c’était elle qui piégeait les clientes et elle pensait m’avoir eu une nouvelle fois avant l’intervention de Céliane. Aujourd’hui, c’était elle la proie et elle se laissait peloter par une presque enfant.
Cette situation m’excitait énormément et je ne tardais pas à jouir intensément sous sa caresse buccale. Je l’aidais à se relever et je la retournais, son dos contre ma poitrine. Je malaxais à nouveau sa délicieuse poitrine tandis que Céliane s’était accroupie entre les cuisses de la belle vendeuse. Elle n’avait pas encore pu jouir et c’est ma complice qui s’en chargea. Elle baissa la culotte, déjà bien imbibée de sucs féminins, avant de s’attaquer directement à son clitoris. Je la sentis presque s’évanouir lorsque la petite bouche aspira son bouton d’amour. Elle réussit à tourner la tête vers moi pour m’offrir ses lèvres pulpeuses à souhait. Ses tétons devenaient durs comme du bois au creux de mes paumes et, quand je les pinçais plus durement, cela déclencha chez elle un orgasme foudroyant.
Même Céliane dut reculer devant la puissance de sa jouissance. Ses vêtements étaient maculés par le plaisir de la vendeuse qui se remettait doucement de ses émotions, assise sur le petit banc de bois. Céliane avait, bien heureusement, déjà choisi quelques vêtements pour elle qu’elle avait laissé en dehors de la cabine. Une pince servait à fixer, ou bien ôter, les antivols sur les vêtements mais en rayon. Je les enlevais facilement et proposais à Céliane de se changer. Je pris moi-même le temps d’essayer cet ensemble que la vendeuse m’avait fourni. Et il m’allait à merveille, évidemment. Aurore reprenait vie sur le banc et apprécia le spectacle que je lui offrais.
L’article n’était pas encore étiqueté, et donc mis à la vente, elle insista pour que je le garde sur moi. Je remettais donc mes vêtements par-dessus ce magnifique ensemble. Aurore avait beaucoup de difficulté à regarder Céliane face à face, les yeux dans les yeux. Elle se força tout de même pour la remercier pour cet instant magique qu’elle venait de vivre. Mais, vendeuse jusqu’au bout des ongles, elle se rappela que nous étions venues pour la jeune femme. Pour améliorer sa garde-robe, côté sous-vêtements. Elle enfila son top à bretelles, sans avoir remis de soutien-gorge.
Elle faillit trébucher en sortant, sa culotte était restée au sol. Je la ramassais avant de laisser plus de place à Céliane pour se déshabiller de nouveau. Aurore revint rapidement, les bras chargés. Elle put admirer le corps juvénile mais déjà appétissant de Céliane qui ne se cachait même pas, tellement elle était à l’aise avec son corps. Je laissais donc la professionnelle œuvrer. Elle hésitait un peu, au début, mais devant le regard suppliant de sa jeune cliente, elle commença par quelques caresses. Pour finir, elle oublia toute réserve et elle souleva Céliane pour la poser sur le banc.
Sa petite chatte était maintenant juste à la bonne hauteur. Céliane avait posé ses deux mains sur la tête de la vendeuse, plus pour se maintenir en équilibre que pour l’empêcher de reculer. Je n’ignorais pas qu’elle était nue sous sa jupe et je me fis un devoir de la faire jouir de nouveau. C’est Aurore qui laissa éclater sa jouissance la première mais elle continua à lécher le petit bonbon de Céliane qui ne tarda pas à jouir à son tour. Elle envoya une telle dose de son nectar que le haut de la vendeuse en fut tout éclaboussé. Elle en serait quitte pour se changer de nouveau. Elle s’installa sur le banc pour reprendre sa respiration, me laissant la joie de nettoyer Céliane de nouveau. Puis, ce fut son tour et je l’emmenais de nouveau dans un paradis artificiel. Nous sommes reparties, Céliane habillée de neuf sans rien payer. Si, juste un article pour la jeune femme, un joli ensemble avec une étiquette de soldes, alors qu’il ne l’était pas, soldé. Il suffisait à la vendeuse de définir un prix, puis une réduction pour soldes et le tour était joué.