Une histoire incroyable (08/21)

Elle arbora un sourire complice vers Hugo qui lui, savait ce que nous allions découvrir sous ce long vêtement. Lentement, vraiment très lentement, elle commença à relever sa longue jupe. Patrick, c’est ainsi que s’appelait le petit homme comme il nous le dira plus tard, était aux premières loges et découvrait les jambes, puis les cuisses de la jeune fille qu’il allait butiner maintenant. Jessica marqua une petite pause avant de soulever totalement son vêtement. Juste histoire d’exciter un peu plus le mâle qui se trouvait devant elle. Puis, finalement, elle releva sa jupe au-dessus de sa taille, nous faisant découvrir … Qu’elle ne portait pas de culotte dessous. Je comprenais mieux le pourquoi de cette longue jupe, l’étonnement d’Alex quand il glissa ses mains sous la jupe et celui de mon ami Hugo, il y a peu de temps, quand il a découvert son petit cul sans aucun sous-vêtement.

 

Patrick jeta un regard affolé vers Hugo qui lui confirma, d’un clin d’œil, qu’il pouvait maintenant lécher à sa guise cette petite chatte qui s’offrait à lui. Pas besoin de plus de détails, il se tourna vers Jessica et sa bouche prit possession de sa fente imberbe. Elle ne put retenir un long râle de satisfaction lorsqu’enfin, la langue experte du petit homme entra en action. Il s’était accroché à ses fesses, comme il l’avait fait avec moi, pour bien rester collé à sa proie. Je vis pourtant, à un moment, qu’il farfouillait dans son pantalon. Il avait sorti son sexe qui pendouillait sous lui. Il bandait déjà dur. La queue, pas si monstrueuse que je l’avais imaginée, grossissait à vue d’œil et se redressait lentement. Hugo également avait vu ce que le petit homme venait de faire et comprenait son désarroi, il ne pouvait se toucher, se branler, tout en profitant de lécher cette petite chatte si délicieuse. Hugo appuya légèrement sur mes épaules, m’obligeant à m’accroupir devant lui.

 

Sa queue était désormais juste devant ma bouche et, tout naturellement, elle se retrouva dans ma bouche. C’est un sentiment extrême de pouvoir quand vous pouvez tenir entre vos lèvres le sexe d’un homme fort, puissant. C’est vous seule qui allez lui donner du plaisir avec votre bouche ou bien le faire souffrir atrocement si vous décidez de serrer vos dents sur ce sexe. C’est bien vous qui avez le pouvoir, même si vous êtes à genou devant lui, écrasée de sa prestance, pendant qu’il vous supplie, intérieurement, de ne pas lui faire de mal mais plutôt que du bien. Il se pencha légèrement en avant pour tâter mes seins, toujours disponibles, et je ne compris pas immédiatement pourquoi il dirigeait ma main droite sous le petit homme. En un instant, j’avais sa queue entre mes mains et je compris que je devais le branler, tout en continuant ma fellation. Ce n’était plus un homme, mais deux, qui étaient entièrement soumis aux caresses que je pouvais leur prodiguer. Les testicules, hyper gonflées, venaient se frotter sur mon poignet qui allait et venait d’avant en arrière.

 

Jessica avait fini par lâcher sa jupe qui maintenant recouvrait entièrement le petit homme. Il était invisible, même si elle avait posé ses deux mains sur sa tête, pour le guider vers son plaisir à elle. Patrick semblait infatigable, mais c’est pourtant lui qui éjacula le premier, Hugo juste après et Jessica ensuite pour un énième orgasme. Essoufflé, il sortit de dessous la jupe pour se retrouver nez à nez avec le sexe encore dégoulinant de sperme d’Hugo. Il ne se posa aucune question et le reprit en bouche, s’activant pour lui redonner une certaine consistance. Il devait très bien pomper, mieux que moi j’en étais sûre, car Hugo ne put l’empêcher de continuer. Mieux, il poussa un râle de satisfaction quand la bouche s’activa, l’aspirant au plus profond de sa gorge. Il venait déjà de jouir dans ma bouche, et pourtant, ce petit homme lui avait redonné vie, à tel point qu’il se vida également dans la gorge de Patrick qui se donna pour mission de tout avaler.

 

Je laissais les deux hommes entre eux pour m’occuper, moi, de nettoyer la petite chatte de Jessica. Je m’engouffrais à mon tour sous la longue jupe et redécouvrait cette petite fente que je rêvais de lécher à mon tour. Je m’accrochais moi aussi à ses fesses pour lui bouffer la chatte, ma langue parcourant toute la longueur, s’attardant ici ou là, titillant son clito ou son anus frétillant. C’est un réel plaisir de faire frémir une femme, une jeune fille. C’est un peu comme se donner du plaisir personnellement, se lécher soi-même, si cela avait été possible. La Nature a bien fait les choses, pour que nous ne restions pas seuls. Les hommes, comme les femmes, ne peuvent pas se lécher eux-mêmes, ils doivent partager ce plaisir entre eux, en couple. Hétéro ou non, aucune importance quand c’est le seul plaisir qui compte. Certaines personnes, particulièrement souples, en sont capables mais le font-elles vraiment ? Le plaisir n’a d’intérêt que s’il est partagé, enfin, c’est ce que je pense. J’ai la chance d’avoir une poitrine volumineuse et donc, pouvoir sucer mes tétons, les prendre en bouche. Mais le plaisir ressenti est bien inférieur à celui ressenti lorsque c’est Jessica qui me lèche les seins.

Là, en ce moment, je peux vous dire que je lui donnais énormément de plaisir et que cela me faisait fondre moi aussi. Je buvais tout le jus d’amour qu’elle secrétait, sans en perdre une précieuse goutte. Je tentais à mon tour une main entre mes cuisses, sans que personne ne me voie. À peine mes doigts eurent effleuré mon petit bouton que je partis dans un délire orgasmique, très rapidement rejointe par mon amie qui déchargea une énorme quantité de cyprine dans ma gorge. J’étais aux anges, Jess aussi. En retournant à l’air libre, je m’aperçus immédiatement que le petit homme avait disparu. Et Hugo était redevenu présentable. Il nous a raccompagnées jusqu’à la gare, il était temps pour nous de rentrer. Lui, il devait rejoindre Alex qui avait demandé à surveiller une étude, ce mercredi après-midi, afin de réviser, et de gagner un peu d’argent en même temps.

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