Sa bite monstrueuse grossissait à vue d’œil, ne pouvant cacher son émoi. Pour combler le trouble qui naissait entre eux, il ne cessait de parler, un vrai moulin à paroles. Sa femme quelquefois confirmait ses dires. On apprit qu’il vivait près de Cassis, qu’il avait emprunté le voilier de son père qui ne naviguait plus beaucoup. Il reparla avec Carolyn du chantier de la volière auquel il avait participé assidûment.
« Vous étiez vraiment irrésistible dans votre tenue. Tous les gars n’avaient d’yeux que pour vous, moi le premier. Tous avaient envie de toucher, mais voilà, il y a des choses qui ne se font pas. Sauf en rêves ».
Et il se mit à rire à gorge déployée. Chantal souriait également. Carolyn était vraiment troublée par cet homme. Son sexe impressionnant qui semblait grossir encore. Elle s’imaginait entourée de tous les ouvriers qui, oubliant leurs bonnes manières, la caressaient impunément. Et elle adorait se laisser emporter par le flot de désirs qu’ils exprimaient pour son corps, ses seins surtout qui étaient malaxés, léchés, triturés. Elle resserra les cuisses pour cacher l’humidité qui l’envahissait. Mais trop tard. Franck avait bien vu qu’elle était troublée, prête à succomber. Il devait enfoncer le clou.
« Au risque de vous choquer, je dois vous avouer que nous sommes un couple libertin, bi et échangiste. Chantal vous le confirmera ».
Ce qu’elle fit en hochant la tête. Avant d’ajouter.
« Franck est un baiseur hors pair, et tous nos partenaires en sont d’accord. Il a un tel besoin de sexe qu’une seule femme ne lui suffit pas. Ce matin, par exemple, il m’a déjà démontée trois fois, et il n’a joui qu’à la dernière fois. Sur le bateau, après vous avoir reconnue je crois ».
« Moi, j’ai accepté de le partager pour le garder d’abord, car je l’aime comme au premier jour, mais aussi pour me reposer de temps à autres, sans le frustrer pour autant. Tout le monde y trouve son compte, et son plaisir « .
L’allusion était on ne peut plus claire. Il voulait la baiser. Et sans doute Sophie et moi également. Je le regardais différemment et j’eus envie de le mettre à l’épreuve. D’autant que Chantal était ravissante aussi et Sophie et moi nous occuperions d’elle pendant qu’il baiserait Carolyn. Sophie ne disait rien mais écoutait. Carolyn était trop troublée pour répondre quoi que ce soit. C’est donc avec moi surtout qu’il discutait, mais nous savions que son point d’intérêt, c’était Carolyn. J’avais une chose à éclaircir.
« Vous vous définissez comme libertins, bis et échangistes. Cela signifie que tu acceptes aussi de te faire enculer ? »
« Bien évidemment. Tous les plaisirs sont bons à prendre et l’anal en est un ».
Une idée, une envie me passa par la tête.
« Allons-nous baigner, je commence à cuire ici ».
Tous me suivirent, Franck le premier, qui avait dû comprendre que pour avoir Carolyn, il devrait passer par moi. Nous restions où nous avions pied, Carolyn et Sophie ne savaient pas nager. Chantal, par contre, me suivit quand je m’éloignais un peu. Je stoppais au bout d’un moment pour faire demi-tour et elle vint se coller à moi. Son corps épousait le mien et j’en fus troublée. Je glissais une main entre ses cuisses pour me rendre compte que la fontaine du plaisir était ouverte. Elle avait envie de rapports saphiques après les baises continuelles de son époux. Et nous allions la satisfaire. Franck était resté à « jouer » avec les filles, jeux de mains qui s’attardaient en caresses. Elles lui avaient expliqué que je leur avais appris à faire la planche et il les aida à prendre la position. Il posa une main sous chaque fessier pour le tenir le plus près de la surface. Sans maillot, l’anus était directement investi par son index.
Sophie avait attrapé son sexe monumental et le maintenait en excitation maximale. Quand Chantal passa près d’elle, elle glissa son autre main entre les cuisses offertes. Pour cela, fini la planche, les pieds au sol, elle doigtait la femme et branlait le mari. Qui s’attarda sur le cul de Carolyn jusqu’à ce qu’elle jouisse enfin. Elle accepta le baiser pour le remercier.
« Il est temps de passer aux choses sérieuses et, si personne n’y voit d’inconvénient, je serais la première à bénéficier de tes faveurs, Franck ».
Il sourit en me voyant approcher, gracile petite biche que le grand méchant loup allait dévorer, lol. Sophie dirigea le vit entre mes lèvres intimes et je me laissais investir toute entière. Quel bonheur de se faire empaler sur une queue aussi raide, et volumineuse. Il était bien monté, le salaud, et il savait faire jouir une femme, sans éjaculer pour autant. Il réussit à me faire jouir deux fois avant que je ne demande grâce. Sophie, qui ne n’avait jamais vue avec un homme voulut prendre la suite. Franck ne pouvait lui refuser, elle qui l’avait bien branlé. Il lui triturait les tétons tout en la baisant, lui debout et elle empalée sur sa queue infatigable. Tout comme moi, elle jouit deux fois avant qu’il ne la retourne pour l’enculer. Il entra doucement, vu son gabarit, mais il avait bien jugé que ce n’était pas sa première fois.
Il prit le temps de la préparer et quand il accéléra, Sophie dut se maintenir aux bras de Carolyn qui assistait à la scène. Sachant que son tour viendrait bientôt. Je passais derrière lui pour vérifier si son anus était aussi distendu qu’il le prétendait. Il l’était, assurément. Et je l’enculais avec deux doigts, bientôt trois. Il ne put résister cette fois et se répandit dans le cul accueillant de Sophie, provocant son troisième orgasme. Dommage pour Franck, impossible d’enchaîner directement avec Carolyn mais il promettait de se rattraper dès que possible. De retour sur les serviettes, il nous proposa de tout emporter sur le voilier où nous pourrions déjeuner, reprendre des forces, …
Carolyn rougit en sentant que l’allusion était dirigée vers elle. On chargea l’annexe, je laissais Sophie et Carolyn aux mains de Franck et rejoignais le voilier à la nage en compagnie de Chantal. Nous sommes arrivées avant eux et Chantal, cette fois, glissa sa main entre mes cuisses pour me doigter comme je l’avais fait, en m’embrassant à pleine bouche. Je caressais sa poitrine, ses tétons étaient durs. Tout le monde monta à bord du voilier. Encore des mains baladeuses mais personne ne s’en plaignait. On était tous consentants, même Carolyn semblait accepter de tromper son mari avec Franck. S’il avait été là, il aurait pu baiser Chantal, ou Sophie. Ou moi. Mais voilà. Les absents ont toujours tort. Franck se mit à la barre pour appareiller et se dirigea vers un îlot qu’il connaissait bien, l’îlot du dromadaire. Il était possible de mouiller tout près et, pour le pique-nique, on aurait plus de place. De plus, c’est un endroit sublime qu’il tenait à nous montrer. On y arriva très vite et retour dans l’annexe pour Carolyn et Sophie, Chantal et moi prenions de l’avance pour arriver en même temps qu’eux.
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