CAROLYN (03/06)

Dix minutes à se dorer au soleil et je proposais de tomber le haut de maillot. Sophie se redressa et ôta son haut, nous exposant sa volumineuse poitrine. J’en fis de même mais Carolyn, encore une fois, hésitait.

« Regarde Sophie. Elle aussi a une grosse poitrine mais elle n’a pas hésité. De quoi as-tu peur ? Que tous te regardent ? Personne ne la regarde, elle, comme tu peux le constater. De plus, ici, personne ne te connait. Tu ne risques absolument rien ».

Elle se laissa convaincre et ôta son haut pour nous faire découvrir sa somptueuse poitrine.

« Par contre, tu devrais te protéger du soleil. Ce serait dommage d’attraper un coup de soleil. Sophie !  »

Sophie se redressa, prit un flacon de crème solaire dans son sac et s’approcha de sa voisine. Qui eût un geste de défense.

« Laisse la faire. Tu vas voir comme ses mains sont douces ».

Encore une fois, elle se laissa convaincre et s’offrit aux palpations de ma jeune soumise. J’attrapais sa main gauche et croisait mes doigts avec les siens. Elle tourna les yeux vers moi et elle ne me quitta pas du regard. Elle se tourna sur le dos pour que Sophie continue et aussitôt elle tendit sa main, droite cette fois et resta les yeux dans les yeux avec moi. Sophie avait remonté sa culotte de maillot en string pour atteindre ses fesses magnifiques. Elle ferma les yeux quand une vague de plaisir l’envahit, pas un orgasme, juste une petite vague. Sans aller vérifier, j’étais sûre qu’elle était trempée. Sophie s’occupa ensuite de moi, recto et verso. Carolyn restait main dans la main avec moi, même quand je me tournais. Quand Sophie eut fini de me badigeonner, elle tendit le flacon de crème solaire à Carolyn pour qu’elle l’enduise à son tour. Impossible de refuser. La jeune fille s’allongea sur son transat et ôta sa culotte, offrant tout son corps aux rayons du soleil, et aux yeux émerveillés de Carolyn. Elle lui passa la crème partout mais, arrivée aux fesses, hésita un peu. Elle s’enhardit et palpa avec délices les merveilleuses rotondités.

Puis Sophie se tourna, exposant le côté face, sa chatte parfaitement rasée et ses seins magnifiques. Carolyn n’hésitait plus maintenant à profiter du corps qui lui était offert. Elle lui passa la crème sur toute la surface, évitant soigneusement ses lèvres intimes. Mais quand sa main repassa à proximité, Sophie l’attrapa et l’obligea à la masser aussi entre les cuisses entrouvertes. Carolyn semblait avoir beaucoup apprécié de s’occuper de la jeune fille. Ses tétons tendus en étaient la preuve évidente. Après une bonne demi-heure à se bronzer, j’allais proposer d’aller nous baigner quand le plagiste s’approcha de moi. Il m’expliqua qu’il n’avait rien contre l’exhibition de Sophie mais qu’il y avait des familles qui arrivaient et qu’elle devait se couvrir, au moins le bas. Je répondis que je comprenais et que j’y ferais attention désormais. Sophie remit sa culotte du maillot et on alla se baigner. La mer était déjà super bonne. De l’eau au niveau de la taille, Carolyn n’avançait plus, Sophie pareil. Je plongeais dans la Grande Bleue et je revenais ensuite vers elles.

« Vous ne voulez pas nager ? »

Rougissante, Carolyn osa m’avouer qu’elle ne savait pas nager. Pas par peur de l’eau, comme certaines, mais simplement elle n’avait jamais appris. Sophie nous dit que, elle aussi, personne ne lui a appris. Les séances de piscine à l’école étaient pour elle l’occasion de se faire moquer, insulter. On la traitait de baleine, ou de grosse vache, rien qui ne donne envie de s’époumoner dans l’eau. Comme Carolyn paraissait étonnée des insultes qu’avait reçues la jeune fille, elle lui expliqua qu’elle était obèse, plus jeune, et c’est en quittant l’école qu’elle était tombée dans l’alcool, et la drogue. Elle avait perdu énormément de poids, mais avait gardé sa poitrine encombrante.

« Pour le plaisir des yeux, heureusement ».

Elles sourirent toutes deux à la blague.

« Sans vouloir vous faire un cours de physique élémentaire, vous savez qu’un corps immergé flotte. Un tiers reste hors de l’eau. De plus, dans l’eau salée, il est encore plus facile de rester à flotter. Démonstration ».

« Carolyn, tu me fais confiance ? Oui ! Alors tu vas te tenir bien droite, bien raide, et ne pas lâcher la position. Voilà. Maintenant je t’aide à l’allonger à la surface. Je maintiens une main sous tes fesses. Que j’aime caresser, lol. Non, ne ris pas et garde la position. Sophie, tu vas rester près de sa tête et la maintenir toujours hors de l’eau. Et maintenant, avançons vers l’horizon ».

« Tu vois, Carolyn. Tu flottes sans nager, sans aucun effort. Juste garder la position. Tu vas relever la tête toute seule et je vais ôter ma main de tes fesses. Mais je reste tout près de toi. Écarte les bras pour stabiliser ta position. Voilà. Parfaite. Maintenant, tu sais faire la planche ».

J’avais de l’eau au niveau du cou, comme Sophie, qui devait se maintenir sur la pointe des pieds. Je lui demandais de reprendre la tête de Carolyn pour éviter qu’elle ne boive la tasse, ce qui est assez désagréable.

« Carolyn. Gardes les jambes bien tendues, je vais juste les écarter un peu ».

Je me glissais entre elles, écartais sa culotte pour lui offrir un merveilleux cunni, en public, même si personne ne faisait attention à nous. Je la maintenais à la surface, les deux mains sous ses fesses. Un de mes doigts alla s’aventurer près de sa rondelle. Elle semblait très sensible mais c’est sûr, personne n’est jamais passé par là. Il faudra y remédier. Très vite. Elle finit par jouir en se mordant la main pour ne pas crier et attirer l’attention sur nous. Je la laissais reprendre une position verticale. On se rapprocha un peu de la plage pour qu’elle soit bien, les pieds au sol. Puis, ce fut au tour de Sophie de faire la planche. Je l’aidais à s’allonger en lui mettant la main au cul. Place que je laissais à Carolyn pour maintenir la tête de Sophie. Sophie qui écarta les bras, et les cuisses, ayant compris où je voulais en venir. Carolyn ne savait pas comment réagir. Elle avait très envie de rendre à Sophie la caresse que je lui avais donnée. Mais elle n’osait pas, de peur de mal faire.

« Don’t think about, Carolyn, Just do it ».

Elle se lança alors corps et âme dans son combat entre le bien et le mal, se fiant uniquement à son instinct pour faire vibrer la jeune fille comme elle avait vibré sous ma langue. Sophie, comblée, lui prit la bouche pour la remercier à sa manière, intensément. Leurs deux poitrines collées l’une à l’autre, leurs chattes se branlant sur la cuisse de l’autre. On resta encore un moment dans l’eau avant de retourner sur nos serviettes. Une bonne demi-heure de soleil et nous passions à table. Toujours en monokini. Nous n’étions pas les seules à être aussi peu vêtues.