Romuald (08/18)

Un orgasme indescriptible l’envahit à ce moment-là et Agathe retourna vers les mâles. Elle se plaça derrière Luis et l’encula d’une seule traite. Fernand, qui avait retrouvé toute sa vigueur, prit possession du cul de sa femme. Ils restèrent emboités ainsi un moment quand Luis décida de reprendre le cul de Fernand. Celui-ci était toujours enfoncé au plus profond de son épouse. C’est une chenille toute particulière à laquelle nous assistions. Au bout d’un moment, Agathe retourna derrière Luis et reprit sa position initiale. Pour le final, c’est Luis qui reprit le cul d’Agathe et Fernand derrière lui. Luis d’abord, puis Fernand, lâchèrent la sauce et s’écroulèrent, repus de sexe et de plaisirs. Inès nous raconta alors son début de soirée avec Luis et Fernand qui l’avait prise chacun leur tour. Et ce n’est que lorsqu’il a expliqué pourquoi Agathe n’était pas là qu’ils avaient décidé de participer eux aussi à la fête, tout en tenant compte du fait que Louise n’était que lesbienne et n’acceptait aucun attouchement venant d’eux.

Finalement, nous avons dîné tous ensemble sans même repenser à nous habiller. J’étais très étonnée par l’attitude de Louise qui semblait parfaitement à l’aise dans sa tenue d’Eve. Comme je lui posais la question, elle m’expliqua qu’elle avait toujours été habituée à vivre nue, en vacances dans des camps naturistes avec ses parents. Elle y retournait même depuis qu’elle était adulte, seule ou avec une amie. Je lui proposais de m’inviter la prochaine fois qu’elle déciderait d’y retourner. Vivre nu une semaine entière, avec Louise comme compagnie, cela présageait de merveilleux moments. Avec elle, évidemment, avec d’autres femmes aussi, et moi seule avec d’autres couples, pourquoi pas.

J’avais reçu un appel de la part d’Armelle qui me précisait la date du rendez-vous de son fils pour les tests d’aptitude. C’était prévu un mardi matin mais, vu que je travaillais, il devrait passer le week-end prochain chez moi et attendre sagement son rendez-vous. Je passais donc voir mes parents et mon fils le samedi midi, je mangeais avec eux, et je repartais en fin d’après-midi pour me rendre chez Armelle et son fils. Nous avons pris le temps de discuter devant un café et nous avons surtout parlé de sa fille, Rosalie, qui avait déjà quitté le cocon familial depuis un mois. Elle téléphonait régulièrement à sa mère et celle-ci espérait, sans trop y croire, que Romuald en ferait de même s’il était accepté dans sa nouvelle école. Il affirma qu’il n’était pas comme ça et qu’il donnerait des nouvelles tous les jours.

Il jeta son sac dans ma voiture et prit place près de moi. Dès que nous eûmes quitté le lotissement, je remarquais son regard fixé sur mes cuisses, légèrement dénudées par la position de conduite. Ma minijupe s’était relevée et je ne fis aucun mouvement pour la remettre en place. Durant tout le trajet, il resta focalisé sur mes cuisses, espérant sans doute apercevoir ce que je portais dessous. Arrivés dans le parking souterrain de mon immeuble, je pris mon temps pour descendre de voiture et restais un moment, cuisses largement écartées. Je suis presque certaine qu’il a pu admirer ma lingerie intime. D’ailleurs, dans l’ascenseur, il avait énormément de mal à cacher son érection. Je lui indiquais sa chambre et je ne le revis que pour le dîner.

Le lendemain, après un petit déjeuner, nous avons pris le bus ensemble pour sa nouvelle école. Elle était évidemment fermée mais cela lui permit de savoir quels bus il devait prendre et à quels arrêts il devait descendre. Au retour, nous nous sommes baladés sur le grand boulevard et nous avons mangé au McDonald’s. Puis promenade dans les parcs et retour à l’appartement. Romuald est un garçon charmant lorsqu’il n’est pas entraîné par de mauvaises personnes. Dîner le soir et chacun dans sa chambre. Le lendemain, je retournais à mon travail. Il avait tenu à se lever en même temps que moi pour que l’on puisse déjeuner ensemble. C’est en rentrant le soir que j’eus une bonne surprise.

Il était torse nu en train de faire de la musculation. J’allais me mettre en tenue moi aussi pour l’accompagner. Il corrigea certaines de mes positions posant ses mains sur moi. Je ressentais sa chaleur, son désir de moi, mais il ne tenta aucun geste déplacé. Je lui proposais de prendre une douche avant moi, mais il préféra me laisser passer la première. Une fois qu’il fut sous l’eau, je repensais que j’avais laissé mes vêtements dans le bac à linge sale. Aurait-il idée d’aller y chercher mon string pour renifler mes senteurs ? Je retournais voir dès qu’il fut de nouveau dans sa chambre et je retrouvais mon petit bout de vêtement taché de sa semence. Quand je me retournais, il était là, dans l’embrassure de la porte. Il vit bien évidemment ce que je tenais entre mes mains et il s’enfuit dans sa chambre. Je ne le revis pas de la soirée. Le lendemain matin non plus. Je partais au travail sans avoir pu lui dire que ce n’était pas si grave.

Il rentra bien après moi, ce jour-là, un grand sourire aux lèvres. Sans en avoir la certitude, il était presque certain d’être retenu pour la saison prochaine, en Septembre. Je le complimentais et je le pris dans mes bras. Je me serrais très fort contre lui. Il avait d’abord posé ses mains sur le bas de mon dos. Mais très vite, elles glissèrent jusqu’à mes fesses. Je le laissais profiter de cet instant magique. J’étais bien dans ses bras. Son torse dégageait une force incroyable, une puissance que seule sa jeunesse n’expliquait pas. Il serra un peu plus mes fesses entre ses mains et je sentis son érection qui se développait entre nos deux corps. Que devais-je faire ? Le laisser continuer, progresser ? J’en avais terriblement envie mais je réussis à m’écarter de lui. Je posais directement ma main sur sa queue, à travers ses vêtements, et je lui suggérais d’aller se rafraîchir. Il tenta un baiser sur mes lèvres mais je posais aussitôt ma main entre ses lèvres et les miennes. Un peu trop tôt.

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