Barbara (07/08)

Il l’aida à se relever, baissa le jogging entièrement, puis la culotte. Accroupi devant elle, il lui aspira les lèvres intimes, la chatte était déjà bien humide et prête à le recevoir. Il lui dégagea un pied, se releva en emmenant la jambe droite de la jeune fille dans sa main. Elle, appuyée contre le mur, une jambe relevée bien haut, et lui qui se collait à sa fente. Il la pénétra d’un coup, sans s’arrêter. Elle reprit sa respiration avant qu’il ne commence ses va et vient en elle. Il savait alterner les coups puissants et les pénétrations plus en douceur, plus tendres. Elle jouit rapidement de ce petit jeu. Il savait y faire pour faire jouir une jeune fille. Il reposa sa jambe sur le sol avant de la retourner, les mains sur le lavabo. Il la pénétra à nouveau mais par derrière cette fois-ci. Accroché à ses hanches il la pilonnait à sa guise. Il ressortit pour s’approcher de sa rondelle.

Elle voulait dire non, mais aucun son ne sortit de sa bouche. Prenant ceci pour un oui, il entra doucement en elle, la queue déjà bien humectée de sa cyprine. Il stoppa à la moitié, caressa la poitrine et les tétons qui pointaient dur. Puis reprit sa progression, jusqu’au fond de son cul.  Il profita de cet instant, bien planté au fond d’elle, puis commença à onduler en elle. Il accéléra avant que la jouissance ne le prenne à son tour, entrainant à nouveau la jeune fille dans un tourbillon de plaisirs. Remis de leurs émotions, elle le lava dans le lavabo et il en fit de même, l’essuyant avec du papier toilette. Ils sortirent l’un après l’autre, discrètement et reprirent leur travail. Je vis Amélie beaucoup plus gaie et surtout beaucoup plus habile pour sa cueillette.

L’heure du repas arriva vite et on se retrouva tous dans la grande salle. Puis retour dans la serre pour finir la semaine. C’est Michaël qui comptabilisait les lots que chaque personne amenait. Il rajoutait des barquettes qu’il avait lui-même ramassées sur le compte d’Amélie. Si bien qu’elle comptait presque autant de kilos que moi. Mais comme je l’ai déjà dit au début, ce n’est pas le fric qui me motive pour faire ce genre de travail, mais les rencontres avec d’autres mondes, d’autres personnes. La pause arriva très vite et Barbara m’accompagna dans le bureau avec Francis. Il semblait déçu de sa présence, pensant que nos petits jeux n’auraient pas lieu. Je m’installais au bureau, mes deux « élèves » de chaque côté de moi, et je leur expliquais ce qui était bien fait et ce qui ne l’était pas. Francis semblait fatiguer dans cette position. Je lui dis :

–« À genoux, chien. »

Il me regarda, suppliant de ne pas l’humilier devant Barbara mais mon regard ne faiblit pas et il s’exécuta, docilement. Elle sembla surprise, d’abord par le ton de ma voix, autoritaire, par l’ordre en lui-même ensuite, mais encore plus quand le « chien » se mit à genoux à mes pieds, baissant les yeux.

–« Tu vois, Barbara, comme il est très obéissant, ce chien. »

–« Et il a une très bonne langue. Je vais t’y faire goûter. »

De la terreur dans le regard, elle accepta cependant que je baisse son pantalon, exposant ainsi ses fesses à mon « toutou ».

Je lui tends la baguette d’osier dans ses mains.

–« Et s’il te touche avec ses sales pattes, tu peux le frapper, très fort. »

Mise en confiance, elle se détendit un peu et écarta légèrement les jambes pour rester stable. La langue du « toutou » commença à parcourir son fessier et la douceur de la caresse sembla la subjuguer. Parfaitement détendue maintenant, je baissais sa culotte aussi, donnant à mon « toutou » l’accès à son trou du cul. Il s’accrocha à ses cuisses pour lui bouffer le cul. Un coup de baguette bien placé sur la patte, il se raccrocha aux mollets de sa proie. Un second coup, bien plus fort que le premier, et il lâcha prise, comprenant qu’elle ne plaisantait pas. Mais cela ne l’empêchait pas de continuer à introduire sa langue fouineuse dans l’anus de la belle qui ferma les yeux, prise par le plaisir de la situation. Je relevais son maillot pour téter sa poitrine, tandis qu’une main distraite titillait son clito.

Un demi-tour pour l’asseoir sur ma cuisse, jambes bien écartées, et le « toutou » se mit à lui lécher la fente avec avidité. Elle s’abandonna totalement dans mes bras, la tête posée en arrière sur mon épaule. Mes doigts continuaient de triturer sa poitrine, ses tétons pointaient dur sous ma paume, les mamelons gonflés de plaisir. Elle tourna la tête vers moi, m’offrant ses lèvres et je l’embrassais fougueusement tandis que l’orgasme la secouait de toutes parts. Le « toutou » continuait de la lécher et d’avaler tout ce qui coulait de cette chatte appétissante. Il reprit sa place de brave chien quand elle fut bien nettoyée. Barbara mit du temps à revenir à la réalité. Quand elle émergea enfin, ce fut pour m’offrir un large sourire de satisfaction. Une autre expérience que je lui avais fait vivre.

Tout ça m’avait donné très envie à moi aussi. Je rajustais ma belle amie, culotte et pantalon, ainsi que son soutif. À mon tour, je baissais pantalon et string pour offrir ma chatte à la langue vorace de mon « toutou ». Je le laissais s’approcher, à quatre pattes, le pris par les cheveux pour le coller à ma fente déjà humide. Je demandais à Barbara de libérer le sexe du « toutou » qui devait se sentir bien à l’étroit dans son boxer. Elle le fit.

–« Vas-y, touche-le. N’aies pas peur. Tiens, commence à le branler, doucement. »

Elle le prit entre ses doigts, le caressa pour en éprouver la consistance, la douceur. Puis commença à le masser tendrement, puis enfin à le branler très fort. À ce régime-là, il ne tarda pas à éjaculer sur le sol.

–« Continue, ma belle. Il en a encore certainement en réserve. »

Assise sur le dos du « toutou », elle continua donc à le branler tandis qu’il me léchait avec délectation. Cette fois, je jouis en même temps que lui.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *