Oui, des lourdauds, j’en ai connu des tas. Des tonnes, je dirais, lol. Je pensais, naïvement, que c’était toujours ainsi, qu’il fallait faire avec. C’est vrai aussi que j’en ai connu de plus tendres, de plus attentifs. Ceux-ci étaient soit bien plus âgés que moi, soit bien plus jeunes. Pour les plus jeunes, je mettais ça sur le compte de leur manque d’expérience, pour les plus âgés, sur leur état de santé, physique j’entends.
C’est d’ailleurs les plus tendres de mes partenaires que j’acceptais de revoir, une fois, ou plus. Ils finissaient invariablement à me proposer de devenir leur femme, leur épouse attentionnée et dévouée. Je ne me sentais pas prête à m’enfermer dans une relation à sens unique et c’est pourquoi je suis encore et toujours célibataire. Ne croyez surtout pas que je le regrette. C’est véritablement un choix de vie. J’ai choisi de privilégier ma liberté, en toutes circonstances. C’est un choix que j’assume complètement.
Sandra et moi étions allongées tête-bêche en travers du lit. Nos deux visages face à face. Je voyais les mains de son partenaire qui parfois lui triturait les tétons. Les deux potes nous butinaient à tour de rôle, nous faisaient l’amour, inter-changeant leurs places. Nous étions véritablement comblées. Heureuses. Mon partenaire me retourna pour me prendre en levrette. J’aime beaucoup cette position qui permet toutes sortes de fantaisies. Il peut me prendre sauvagement, pas trop quand même, en s’agrippant à mes hanches, il peut caresser mes tétons, ou mon clito, suivant ses goûts, et mes désirs. Il peut jouer avec mon anus également et justement, c’était bien son intention. Je m’installe comme il le souhaite, la tête dans les bras, la croupe relevée bien haut. Il doit avoir une vue imprenable sur mon cul, et ma fente, mais cela ne me gêne nullement. Je sens tout d’abord son regard sur moi et cela me fait déjà mouiller énormément.
Puis c’est l’un de ses doigts que je sens s’enfoncer en moi, bien vite rejoint par un second. Comme je vous l’ai avoué tout à l’heure, je suis une fervente adepte des pénétrations anales, surtout quand mon partenaire sait s’y prendre. Et justement, j’avais affaire à un expert en la matière. Voyant que mon cul ne refuse pas ses doigts, les aspire même, il les remplace très vite par sa queue durcie par le plaisir de me remplir par cette porte dérobée. Il entre lentement tout de même, profitant pleinement de chaque centimètre de pénétration. Enfin, le gland passe la barrière du sphincter. Il continue alors sa progression par petites poussées. Il me pénètre ainsi, inexorablement, par à-coups, et, quand je sens enfin ses couilles battre mes fesses, je sais qu’il est bien au fond de moi.
Il patiente quelques instants, savourant sa victoire. Mon cul est littéralement en feu et … J’adore ça. Sa queue semble encore grossir en moi. Il commence alors doucement ses va et vient, retirant sa queue à chaque fois un peu plus. Il ralentit parfois la cadence pour titiller mon clito, ou bien mes seins. Profusion de plaisirs. Je dois geindre très fort car son pote a décidé de le regarder faire, ignorant les gémissements de Sandra. Il sort entièrement de mon cul maintenant mais l’anus reste grand ouvert. Je le sais grâce à leurs commentaires salaces. Je ne suis plus moi-même, juste un trou qui attend d’être comblé, rempli d’une queue bien dure. Il me prend les fesses à pleines mains et il m’encule à grands coups de reins maintenant. Sa bite prend de plus en plus d’ampleur en moi et il la sort jusqu’au gland, pour à nouveau s’enfoncer en moi jusqu’aux couilles.
Ses mains étant occupées, c’est moi qui me masturbe toute seule à présent, multipliant les sensations, deux doigts bien plantés dans ma chatte en chaleur. Mon cul me brule toujours autant mais j’oublie tout quand l’orgasme vient m’envahir, m’envelopper toute entière.
Je ressens un grand vide dans mon cul, mais qui est très vite à nouveau comblé. Par la douceur des coups de reins, j’ai compris que j’ai changé de partenaire. Il est aussi doux que son pote, au début. Mais très vite il s’acharne lui aussi dans mon cul. Il me sodomise à très grande vitesse. Il se calme un peu, pour ne pas exploser trop vite, et repart de plus en plus vite, de plus en plus fort. J’entends une femme hurler son plaisir et il me faut plusieurs minutes pour me rendre compte que cette femme, c’est moi. Je vois Sandra qui envie mon bonheur, elle qui se sent délaissée à présent. L’homme, derrière elle, a tenté de jouer avec son anus, mais il a essuyé un très net refus. Elle reste seule à présent, regardant les deux mâles me prendre à tour de rôle. Je sais que j’ai joui de très nombreuses fois, j’ai arrêté de compter à la troisième. Ils se sont véritablement vidé les couilles l’un après l’autre dans mes intestins, remplissant leurs préservatifs avant d’en enfiler un autre. Quand l’un faiblissait, l’autre prenait sa place.
C’est Sandra qui me raconta tout ça, plus tard, après leur départ. Je savourais tous les détails dont elle se souvenait. Après s’être douchés, l’un après l’autre, ils sont rentrés à leur hôtel finir leur nuit. Moi, je suis restée dormir avec mon amie. Le lendemain, une bonne douche suivie d’un petit déj et nous étions en pleine forme pour la dernière journée du colloque. On s’est quittées le soir, se promettant de se revoir très vite. On s’est téléphoné plusieurs fois, puis juste des contacts par e-mail. Et doucement, plus rien. J’ignore si c’est elle qui n’a pas répondu à mon dernier message, ou bien moi. Toujours est-il qu’on s’est perdu de vue. Inexorablement.
En repensant à Sandra, et à cette soirée mémorable, je pense que je vais tenter de reprendre contact avec elle. Maintenant que j’ai une très nette préférence pour les femmes, j’espère vivre quelques moments sublimes avec elle. Pareil avec Maeva. Le fait de repenser à elle m’a donné trop envie de revivre des moments de plaisir avec ma meilleure amie. Et plus si affinité.