Geneviève continua sur le ton de la plaisanterie, m’avoua qu’elle aimait beaucoup les jeunes filles, comme Amélie et moi. Elle précisa que si je connaissais d’autres jeunes filles intéressées, je ne devais pas hésiter à les lui présenter. Je me rendis compte que ce n’était pas une blague mais une véritable demande de sa part. Elle me demandait de rabattre pour elle. Devant mon hésitation, elle crut bon d’ajouter que je serai rémunérée pour ce job. Je lui dis que ce n’était pas le problème, mais que je ne connaissais pas grand monde ici. Mais que si l’occasion se présentait, je penserais à elle, bien sûr. Nous avons continué à discuter de choses et d’autres.
Geneviève est une femme cultivée et elle aime parler avec des personnes au moins aussi cultivées qu’elle. Pourtant, je savais …, je voyais bien qu’une question lui torturait l’esprit. Et je savais ce qu’elle voulait. Volontairement, je me repositionnais sur le canapé, face à elle et une jambe repliée. Ma petite robe s’en trouvait relevée et elle apercevait mon string dans le compas de mes cuisses. Je la voyais hésitante, elle pourtant si sûre d’elle il y a quelques minutes seulement. Je fis alors semblant de remarquer vers où se portait son regard.
–« Oh ! Geneviève ! »
Après un silence.
–« Tu en as envie ? Encore ? »
Elle ne pouvait pas répondre mais ses yeux gourmands parlaient pour elle.
–« Eh bien soit, si tu y tiens vraiment. Mais je ne bouge pas. Tu te mets à genoux sur le tapis. »
Elle s’exécuta immédiatement et plongea entre mes cuisses ouvertes, pour elle. Sa langue experte écarta le tissu du string et atteignit ma fente. Je le voulais mais je ne pus pas très longtemps rester insensible à sa caresse. J’écartais mes cuisses au maximum et je poussais à la rencontre de sa bouche, de sa langue. Je pris sa tête entre mes mains quand la jouissance me gagna et ne la lâchait que quand elle m’eut bien nettoyée. Elle souriait, heureuse d’être à mes pieds, face à ma chatte encore luisante. Je défis les boutons de son corsage et je sortis les deux seins de leurs bonnets. Les tétons étaient déjà durs et se dressaient bien droit, fièrement, demandant encore de l’attention. Je malaxais ses deux globes, titillais les pointes.
Elle aimait ça et se laissait faire, heureuse qu’on s’occupe d’elle un peu. J’entendis 16 heures sonner à un clocher voisin et je dus prendre congé, à regret. Je replaçais mon string et je me levais, puis je l’aidais à se relever à son tour. La poitrine toujours offerte sur son corsage ouvert, elle me guida à sa porte. Là, je la plaquais contre et je pris ses seins en bouche, l’un, puis l’autre. Elle gloussait de plaisir, ma nouvelle amie, et moi, j’adorais ça aussi. Je glissais une main sous sa jupe pour confirmer qu’elle était bien trempée déjà. Le rappel des cloches m’écarta d’elle et j’ouvris la porte, et sortis. Je me retournais, elle, toujours dépenaillée sur le pas de sa porte, me regardait partir tristement. Un voisin ouvrit sa porte sur le même palier et elle ferma la sienne rapidement.
En rentrant, je réfléchissais comment je pourrais lui trouver des jeunes filles de St Malo, moi qui ne connaissais pratiquement personne. Des idées en sortirent, mais que je devais creuser encore un peu. Charlène était revenue de chez son amie Lucie et se jeta dans mes bras quand j’arrivais. Elle se frottait à moi de tout son corps et j’adorais ça. Bien sûr, personne ne remarqua quand elle se massa le minou sur ma cuisse, comme une chienne en chaleur, lol. Ce soir-là, Corinne et ses filles m’interdirent formellement de faire quoi que ce soit dans la maison. J’étais leur invitée, au même titre que Jacky et Helen qui allaient arriver.
Jacky était entrepreneur, tout comme Francis, mais en électricité générale. Ils s’étaient rencontrés sur un chantier, avaient sympathisé et étaient devenus amis tout naturellement. Francis faisait souvent appel à ses services quand il avait besoin sur un chantier, ou du moins le conseillait à ses clients. Et Jacky en faisait de même, à l’occasion. Helen, originaire du Royaume-Uni, avait suivi les cours de français de Corinne dans une association d’aide aux personnes étrangères ou en difficulté avec la langue française.
Ils sont arrivés un peu avant l’heure prévue, lui chemise en lin et pantalon beige, elle une robe légère, blanche, qui lui arrivait à mi-cuisses. Après avoir salué tout le monde, elle s’approcha de moi, qui était un peu en retrait, me salua in English, et m’attira pour me présenter son époux. Il me serra la main, des mains très douces. Il était plus âgé qu’elle, les cheveux gris et parsemés. Mais il semblait comme elle, très ouvert, très démonstratif. Corinne nous invita à rejoindre le salon pour prendre l’apéritif. Francis et Jacky, pastis, Helen, whisky écossais, je pris pareil, et Corinne, porto. Les filles ne prirent rien, Charlène, trop jeune et Amélie, la moindre goutte d’alcool et elle ne se contrôlait plus.
Comme souvent, les hommes parlaient entre eux et les femmes ensemble. Helen, près de moi, était trop heureuse de pouvoir enfin discuter dans sa langue maternelle. Je devais lui demander de ralentir parfois, mais je la comprenais très bien. Charlène, qui avait aussi des notions d’anglais, essayait de suivre et se trouvait collée à moi. Je lui retraduisais parfois, quand elle ne comprenait pas tout.
Je remarquais que Jacky se contorsionnait sur son fauteuil et je m’aperçus qu’il regardait sous la robe d’Amélie qui s’était laissé aller en écartant ses cuisses. Elle sirotait son jus d’orange, la tête ailleurs comme bien souvent. Elle finit par remarquer mes signes, voulut se relever et, pour ce faire, écarta encore plus ses cuisses. Je pus voir, et Jacky aussi, qu’elle ne portait rien sous sa robe. La bosse de son pantalon en était la preuve. Dès lors, il essaya de la mêler à la conversation, semblant s’intéresser à ce qu’elle disait. Elle apprécia son geste et je les surveillais du coin de l’œil. Machinalement, elle avait écarté ses cuisses et je voyais le regard lubrique de Jacky, et la bosse qui grossissait.