FATIMA (03/04)

Je dégageais la chaise derrière elle. Je la frôlais de très près, respirant son parfum dans son cou. Je m’écartais un peu, défis le bouton de sa ceinture et baissais son zip. Avant qu’elle n’ait pu réagir, sa jupe gisait à ses chevilles. Je me recollais à elle. Je sentais la chaleur de son petit cul et cela m’excitait énormément. Elle commença enfin à réagir, un peu.

« Non. S’il vous plaît. Je ne veux pas « .

Dans son cou, je lui murmurais :

« Donc, tu préfères qu’on appelle la police « .

Pas de réaction. Je m’approchais d’Odile pour lui dire.

« C’est bon. Appelle les flics. Puisqu’elle préfère la prison, le déshonneur « .

Odile décrocha son téléphone, composa un numéro, le sien en l’occurrence, et patienta. Elle fit comme si on l’avait mise en attente. Mélanie ne bougeait toujours pas. Odile semblait avoir quelqu’un au bout du fil.

« Allô, oui … »

« S’il-vous-plaît ».

Mélanie se réveillait enfin. Odile couvrit le combiné et lui demanda.

« Oui, Mélanie ? »

« Pas… Pas la police. S’il-vous-plaît ».

Je m’approchais d’elle à nouveau pour lui murmurer.

« Dégrafe ton corsage ».

Fébrile, elle défit tous les boutons, je découvrais ses épaules, son dos.

« Le soutif maintenant ».

Elle hésita mais obéit. Elle l’ôta et je pus enfin empaumer ses petits seins.

« Ta culotte à présent. Tu vas la descendre mais sans te baisser. Simplement te trémousser pour qu’elle glisse à tes pieds ».

Comme elle hésitait.

« Exécution ! »

Et la culotte tomba, nous découvrant sa petite chatte parfaitement épilée. Je continuais à malaxer sa poitrine qui réagissait.

« Tu aimes, avec une femme ? »

« Non, je n’aime pas ça ».

« Tu as déjà essayé, donc ? »

« Non, jamais ».

« Alors, comment tu peux savoir si tu aimes ou non ? »

Je n’attendais pas spécialement de réponse mais cela la laissa songeuse elle aussi.

« Odile, approches toi ».

« Mélanie, tu vas la mettre nue. Allez, obéis ».

Elle ne bougeait pas.

« Au juste, tu as le choix. Tu obéis et tout va bien. Ou bien tu te rhabilles et c’est la police qui t’emmène. Garde-à-vue, nuit au poste, en cellule, comparution immédiate devant un juge demain matin, mise en examen, poursuites, amende, déshonneur pour toi, pour ta mère, … »

« Assez. Je vais faire tout ce que vous voulez. Mais c’est la première fois pour moi. Je ne sais pas si … »

« Ne t’inquiète pas. Obéis simplement et tout se passera sans souci ».

Délicatement, elle passa ses bras derrière Odile pour dégrafer sa robe et baisser son zip. Elle lui dégagea les épaules et la robe tomba au sol. Pareil pour le soutif. Elle glissa ses pouces sous la culotte pour la baisser, sans oser regarder. Elle se baissa un peu pour qu’elle descende et sa bouche se trouva face à la généreuse poitrine.

« Vas-y, essaie. Prends son téton entre tes lèvres. Aspire-le. Goûte-le ».

Elle s’exécuta, obligée d’obéir. Mais rapidement, c’est avec un grand plaisir qu’elle se mit à la téter. Les mains sur les hanches d’Odile, elle s’en donnait à cœur joie. Un sein, puis l’autre. Pas de jaloux.

Mes mains glissèrent sur son ventre, son pubis. Elle écarta les jambes avant que je demande. Son clito était sorti de sa cachette et elle mouillait. Impossible de me cacher qu’elle y prenait aussi du plaisir. Ses mains glissèrent sur les fesses d’Odile qui semblait gênée. Elle l’avait connue petite fille et aujourd’hui, elles allaient faire l’amour l’une avec l’autre. Mais la bouche qui la tétait n’était plus celle d’une enfant. Les mains qui caressaient son corps non plus.

C’était bien une jeune fille qui lui faisait ressentir tant et tant de sensations, elle qui n’avait jamais eu d’enfants, qui n’en aurait sans doute jamais. Elle profitait pleinement des vibrations que lui offrait Mélanie. Même si on l’avait un peu forcée pour débuter, il était évident pour tous qu’elle prenait son pied. Que rien ni personne ne pouvait l’arrêter.

Je la redressais un peu pour goûter sur ses lèvres la peau d’Odile. Celle-ci s’accroupit pour offrir à la jeune fille son premier cunni. Ce fut une véritable révélation. Elle tremblait comme une feuille entre mes mains, moi qui la soutenais tandis que sa vulve coulait dans la bouche d’Odile. Elle sembla même perdre connaissance au moment de l’orgasme. Tellement de plaisir. Tout ceci était nouveau pour elle, elle qui s’était toujours refusée à essayer, même pire, à y penser simplement. Ses parents, sa mère surtout, l’avaient bien éduquée. Ce qui est bien, ce qui est mal.

Tout était remis en question ce soir. Enfin, pas depuis ce soir. Le vol, ce qu’elle faisait chaque semaine, sa mère l’aurait frappée à mort si elle l’avait appris. Elle savait bien que c’était mal mais elle ne pouvait résister à l’appât du gain. Et les produits qu’elle utilisait tous les jours ne lui coûtaient rien. Lentement, elle glissa au sol. Odile se plaça en ciseaux avec ses cuisses et commença à se frotter, chatte contre chatte. Clito contre clito. Mélanie dut s’allonger pour encaisser ce nouvel orgasme qui montait en elle. J’étais au-dessus d’elle, admirant son corps.

Elle leva les bras vers moi, me priant de s’accroupir sur son visage.

« Tu es sûre de vouloir essayer maintenant ? »

De la tête, elle me fit signe que oui. Je me plaçais donc comme elle le souhaitait. Elle renifla mes effluves, puis je sentis sa langue s’aventurer sur mon string. Mais très vite elle écarta la bande de tissu qui la gênait pour atteindre ma chatte. J’attrapais ses mains que je posais sur mes seins. Elle les malaxa très tendrement, me faisant grimper aux rideaux. Odile me tendit ses lèvres et c’est dans un concert de soupirs que nous avons joui toutes ensembles. Odile se leva pour me laisser à mon tour, goûter à cette petite chatte bien juteuse. Mélanie se tordait de plaisir sous ma langue gourmande.

Cette jeune hétéro convaincue était devenue bi en quelques minutes et me remerciait à sa manière de lui avoir fait découvrir de nouveaux horizons. Mais elle restait sanctionnable pour ses actes de vols aggravés. Je l’aidais à se relever, puis à s’asseoir sur la chaise et Odile resta à ses pieds. J’approchais une seconde chaise derrière elle où je pris place. Aussitôt assise, j’empaumais ses petits seins et titillais ses tétons.

« Mélanie. Tu vas bien m’écouter. Tu as commis des vols et tu dois être punie. Mais, d’un autre côté, nous avons besoin de savoir qui profite de tes services. Je t’autorise donc à continuer ton trafic mais tu devras tenir un carnet avec les dates, les noms et les sommes pour chaque transaction. Attention ! Pas une ne devra manquer. Nous aurons d’autres sources et si nous constatons un écart, retour à la case prison. C’est bien compris ? »

« Oui, Madame. Je ferais tout pour vous plaire ».

« Je prélèverais 10 % de toutes les transactions pour des achats qui seront nécessaires, tu comprendras plus tard. Toujours d’accord ?  »

« Oui, Madame ».

« Jolie comme tu es, tu dois avoir un petit copain. Il t’a déjà demandé de faire participer une autre fille avec vous ? »

« Oui, évidemment. Les mecs sont tous pareils. Très souvent, on me l’a demandé et j’ai toujours refusé. J’ignorais que j’aimerais à ce point-là ».

« Donc, la prochaine fois qu’il te demandera, tu répondras que tu veux bien y réfléchir. Et nous te trouverons une partenaire. À moins que tu ne penses à quelqu’un en particulier « .

Une réflexion sur “FATIMA (03/04)

  1. Bonjour je suis fasciné comme quoi il faut toujours une première fois
    Très très excitant tout ça
    La manière dont elles ont prises Mélanie en otage mais tellement sensuelle
    Que du bonheur 💖💖💖

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