Céline soumise (16/18)

La seule chose qu’il a pu préciser, c’est que ça coulissait super bien dans sa chatte. Elle avait tout stoppé avant qu’il n’éjacule en elle et lui avait enfin une capote « King Size », le grand modèle. Avant de le reprendre en elle pour le laisser éclater de plaisir. Elle avait ensuite ôté le préservatif pour nettoyer la queue avec sa bouche et était sortie de la petite pièce. En la rejoignant à la caisse, elle lui donna un sachet papier contenant la boite qu’il était venu chercher. Elle ne lui demanda pas de payer, mais juste de revenir la voir dès qu’il en aurait de nouveau besoin.

Je dois vous faire un aveu. Cette scène dans la pharmacie n’a jamais eu lieu. Ils se sont simplement servis du distributeur extérieur. Mais je suis certaine que beaucoup de lecteurs se seraient volontiers retrouvés à la place de JR. Je tenais à donner cette précision immédiatement.

Après cet après-midi riche en nouvelles expériences, chacun est reparti de son côté. Enfin presque. JR et Émeline allaient dans la même direction, il l’a donc accompagnée un bout de chemin. Idem pour Océane et Céline. Au moment de se quitter, Océane a poussé sa soumise sous une porte cochère pour l’embrasser à pleine bouche. Le dimanche s’est déroulé normalement pour Céline, Océane a pu profiter de ses parents toute la journée, ce qui arrive rarement, au vu de leur travail.

Le lendemain, lundi donc, Océane venait sonner à notre porte pour la première fois et vous avez déjà pu lire ce qu’il s’était passé entre nous trois. J’avais également rencontré ses parents en fin de semaine. Une soirée restaurant suivie d’un bon film au cinéma tout proche. J’avais vraiment apprécié la compagnie de ce couple, qui m’intriguait pourtant un peu. Je savais leur emploi du temps très chargé et donc, lorsqu’ils nous ont invités de nouveau, j’ai accepté immédiatement. Je savais que cela ferait énormément plaisir à ma fille chérie de retourner au cinéma avec sa nouvelle meilleure amie.

Ils sont arrivés en voiture, cette fois-ci, expliquant que le restaurant où nous allions était un peu plus éloigné. Je m’apprêtais à m’asseoir à l’arrière, avec les filles quand Silvya m’ouvrit la portière avant de la grosse berline et m’invita à prendre place. Je compris à son regard que je n’avais pas le choix. Une fois assise, elle insista pour m’aider à attacher la ceinture de sécurité. Je la laissais faire, encore une fois. Durant ces quelques secondes, elle était tout près de moi, de mon visage, de mes lèvres. Et ses mains n’hésitèrent pas à caresser mon sein, délicatement. Au moment de quitter l’habitacle, elle releva le bas de la robe très haut sur les cuisses.

Puis, elle regagna sa place, juste derrière moi. Céline se trouvait entre elle et Océane. Je voulus remettre ma robe en place mais avant, je regardais si le chauffeur avait aperçu mes cuisses. Juan Carlos m’observait attentivement et surtout, il regardait intensément vers mes cuisses découvertes. Son regard perçant semblait me dire de laisser la robe telle qu’elle était. Je me résignais donc en me plaçant bien au fond de mon fauteuil. On commença à rouler, en ville, donc doucement, avec beaucoup de changements de vitesse. À chaque fois, les doigts venaient effleurer la peau de ma cuisse. Et je ne disais rien, je le laissais faire ce qu’il voulait.

Nous venions à peine de quitter la ville que je sentis la main de Silvya se glisser sous mon bras droit pour venir emprisonner mon sein. Je me laissais emporter par la divine caresse, sans remarquer immédiatement que le relâchement s’opérait aussi sur mes cuisses qui se sont largement ouvertes. Juan Carlos, qui pouvait facilement conduire d’une seule main, glissa sa main droite entre mes cuisses, remontant jusqu’à la culotte. J’avais fermé les yeux et je me laissais posséder par ce couple. L’un me doigtait admirablement, l’autre me pelotait amoureusement. J’entendais les deux jeunes filles qui parlaient entre elles, sans se douter de ce qui se passait tout près d’elles.

J’aurais pu jouir sous leurs caresses, j’aurais vraiment aimé jouir ainsi mais nous arrivions au restaurant. Juan Carlos reposa ses mains sur le volant, je rebaissais ma robe avant de descendre de voiture. J’étais presque ivre du bonheur qu’ils venaient de me donner. Et je me doutais bien que cela n’était que le début. La table était réservée, obligé dans un restaurant de ce standing. Nous avons donc pris place, j’étais de nouveau entre les époux, Juan Carlos à ma droite et Silvya de l’autre côté. Céline était tout près du papa de son amie qui elle, était assise près de sa mère. Un verre d’apéritif de bienvenue nous a été servi et nous avons bu à notre amitié naissante.

Silvya devait se rendre aux toilettes et me demanda de l’accompagner. J’acceptais sans hésiter, pour ne pas rester seule près de son mari. Elle entra dans une cabine en m’attirant avec elle. Elle baissa sa culotte en se baissant et se libéra de sa miction. J’imaginais je-ne-sais-quoi, mais rien de plus. Elle s’essuya et se rajusta. Je notais simplement qu’elle devait porter des bas, et non des collants. Elle se dirigea vers le lavabo pour se rincer les mains, je m’en approchais également pour me rafraîchir le visage. Je n’ai pas eu le temps de voir le coup venir qu’elle était déjà derrière moi, accroupie, et elle a très habilement attrapé ma culotte pour la descendre jusqu’aux genoux.

J’ai dû poser les mains sur le lavabo pour ne pas tomber. Ma culotte était rendue sur les chevilles et elle soulevait un pied, puis l’autre, pour l’ôter totalement. Je compris, en voyant son regard, que je ne devais surtout pas me rebeller. Mais, finalement, en avais-je seulement envie ? J’adorais cette situation de soumise, obligée d’obéir aux ordres, quels qu’ils soient. Arrivées à notre table, Juan Carlos se leva et tira ma chaise pour me permettre de m’asseoir. Un vrai gentleman. Silvya se pencha vers moi pour me donner une nouvelle consigne, à l’oreille. Je m’apprêtais donc à m’asseoir et, juste avant de toucher l’assise, je relevais ma robe, de façon à ce que mes fesses soient directement au contact du tissu.

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