Plus moi dans son cul. La jolie Fatima ne tarda pas jouir une nouvelle fois, sans retenue. Odile se leva et lui laissa le canapé. Je m’asseyais près de sa tête que je posais sur ma cuisse. Caressant ses cheveux, son cou, ses seins. Odile se plaça à genoux entre mes cuisses et me lécha longuement, sans me faire jouir. Fatima reprenait doucement ses esprits. Elle prit un air très sérieux pour nous annoncer.
« J’ai un nom à vous donner, un prénom plutôt. Madame Odile la connait bien. Il s’agit de Mélanie, du rayon cosmétiques ».
Je regardais Odile qui semblait bien la connaitre et était très surprise d’entendre son prénom. Elle était la fille d’une vendeuse, rayon traiteur, qui était arrivée au magasin en même temps qu’Odile. Une vraie amitié liait les deux femmes depuis ce temps. Elle avait quitté son poste pour ouvrir une boutique de bijoux fantaisie. Qui marchait plutôt bien, semblait-il. Il était certain que la mère ignorait les agissements de sa fille. C’est une femme plutôt costaud que personne n’a envie de voir énervée. Sa fille encore moins. Mais, si on prouvait sa culpabilité, alors il faudrait sévir. Tout comme Fatima, pas question de la virer, ni de l’envoyer en prison. Mais elle devrait regretter ses actes et en faire une soumise semblait une bonne punition.
Fatima nous expliqua qu’elle s’était préparé un catalogue des produits qu’elle pouvait revendre à petits prix. Plus de 50 % moins chers. Il suffisait de lui passer commande et de la payer dès réception. Nous allions mettre en place un piège pour la confondre. Fatima avait repris des couleurs et regardait fixement le gode qui l’avait si bien ramonée. Elle en voulait encore la cochonne. Je la pris par les cheveux pour l’obliger à bien sucer cet olisbos qui lui plaisait tant. Puis, elle se positionna elle-même au-dessus du gode, face à moi, et s’empala sur l’objet. Doucement, elle commença à se soulever puis à s’empaler à nouveau. Frénétiquement.
L’avantage de cette position, j’avais sa poitrine qui s’agitait devant mes yeux, mes mains, ma bouche. Odile avait sorti un gode vibrant et l’enfonçait dans le cul déjà préparé. Moi-même, je sentais les vibrations se répercuter sur mon gode et la protubérance qui lui correspondait. Les yeux dans le vague, elle était partie ailleurs, si haut, si loin. Elle finit par s’écrouler contre moi, vaincue une nouvelle fois par un plaisir immense. Je sentais toujours les vibrations à travers la fine paroi. Odile les régla à fond. Fatima devint comme hystérique sur moi et me répercutait son plaisir. Je commençais à jouir moi aussi le nez entre les seins de la jolie beurette. Odile ôta le gode au bout d’un moment, le lécha avant de s’occuper du cul grand ouvert de sa jeune employée.
Fatima resta assise sur le canapé, les cuisses ouvertes en grand, Odile toujours en train de la lécher, à quatre pattes. Je me plaçais derrière elle pour la baiser à son tour. Elle avait bien mérité son moment de plaisir. Elle était si trempée que je rentrais facilement en elle. Je m’accrochais à sa somptueuse poitrine pour la prendre à fond. Elle ne tarda pas à jouir enfin. Mais je voulais toujours plus. Sans attendre qu’elle se remette, c’est son cul que je prenais maintenant. Comme ce matin dans le sex-shop, je rentrais doucement, mais bien profond. Puis, accrochée à ses hanches, je commençais à la pilonner.
Plaisir intense pour elle comme pour moi. Copuler comme des bêtes, c’est vraiment génial. Fatima se laissa glisser sur le sol devant elle et l’embrassa au moment où elle jouissait une nouvelle fois. Je la baisais violemment en les voyant ainsi, y trouvant moi aussi du plaisir. On se calma enfin, repues de sexe et de plaisir. Fatima nous servit du thé et nous avons ensemble préparé le piège.
Le mercredi suivant, j’étais dans le bureau d’Odile dès 18 heures. J’étais passée chez moi me changer. Jupe de tailleur et veste. Une tenue stricte, comme la responsable dont je jouais le rôle. Depuis lundi, Odile avait suivi les déplacements de Mélanie dans les rayons et dans la réserve. Peu de personnes savaient que les réserves étaient sous surveillance également. Depuis trois jours donc, elle avait pu récolter des images qui prouvaient les agissements de la jeune fille. On la voyait distinctement, par exemple, ranger des tubes de rouge à lèvres sur les rayonnages et en mettre deux dans la poche de sa blouse. Il pouvait s’agir de produits invendables car détériorés dans le transport, mais dans ce cas, elle devait les mettre dans le bureau de sa responsable de rayon, et le lui signaler.
Au lieu de cela, on la voyait prendre sa pause, passer par les vestiaires. En sortant, les poches de sa blouse étaient redevenues parfaitement plates. Preuve qu’elle les avait remis dans son placard. Ce mercredi, elle finissait son travail à 19 heures, tout comme Fatima, et il avait été convenu entre les deux filles qu’elles règleraient ça dans le vestiaire, à la débauche. Placées en bonne place pour surveiller l’entrée de la salle, nous avons vu Mélanie rentrer aux vestiaires, suivie de peu par Fatima. Elle nous chercha du regard et nous trouva, nous fit un clin d’œil en entrant à son tour.
Nous leur laissons très peu de temps et nous entrons à notre tour. Odile jouant le rôle de me faire visiter les installations pour le personnel.
« Bonsoir Mesdames, vous êtes visibles. Je fais visiter vos installations… »
On se trouva à ce moment nez à nez avec Mélanie médusée, un pochon à la main contenant les produits demandés par Fatima. Celle-ci avait déjà payé la somme demandée et était juste sur le point de récupérer les produits. Odile intervint très vite.
« Fatima ? Mélanie ? Que se passe-t-il ici ? Fatima, tu viens d’être sanctionnée et j’espère que tu n’as rien à te reprocher. Tu peux y aller ».
Se tournant vers Mélanie.
» Quant à toi, tu vas me suivre dans mon bureau. Immédiatement « .
Le dernier mot avait été crié. Impossible de résister à un tel ordre. Odile devant, Mélanie la suivait tête baissée, son pochon à la main. Moi, derrière elle, je matais son petit cul. Mélanie était une jolie blonde, menue comme moi. Une petite poitrine, apparemment comme moi.
Dans son bureau, Odile retrouva sa voix.
» Montre-moi ce que tu as là. Que des produits d’ici, je vois. Et en bon état. J’attends une explication, Mélanie. Ou bien, je demande à ta mère « .
La jeune fille se figea littéralement et supplia que cela reste entre elles deux. Elle semblait avoir oublié ma présence.
« Impossible. Tu le sais bien. Les vols sont sévèrement réprimés, et la police doit être prévenue. De plus, ma responsable régionale, à qui je faisais visiter nos locaux, a été témoin de cette transaction. Car c’est bien de cela qu’il s’agissait ? »
La jeune fille restait hébétée, incapable de réagir.
« On t’a surprise le pochon dans une main, l’argent dans l’autre. Fatima ne sera pas inquiétée cette fois-ci. Elle vient d’être sanctionnée sévèrement et là, je devrais la licencier. Donc, tu es seule responsable de ce vol. As-tu quelque chose à ajouter avant que j’appelle la police ? »
Aucune réponse. Juste des sanglots. Je décidais d’intervenir.
« Lève-toi ».