J’en imprimais trois exemplaires, tandis que Julie disparut quelques minutes, pour revenir avec une jolie boite décorée qu’elle posa sur la table. Comme j’étais intriguée, elle m’invita à l’ouvrir. À l’intérieur, je découvris sa (très petite) collection d’objets pour le BDSM, comme une paire de menottes, des entraves et un bandeau pour les yeux. L’objet le plus surprenant était un plug anal doré saphir, bien rangé dans sa boite.
Elle rougit légèrement quand je lui montrais la boite. Adorable coquine.
La sonnette retentit peu après 20 heures. J’allais ouvrir à Enzo.
–Bonjour Maitresse, dit-il tout bas en baissant les yeux.
Je passais devant lui pour le guider vers le salon et me retournais face à lui pour voir sa réaction devant sa Maîtresse Julie. Il ouvrit de grands yeux ébahis devant tant de beauté, et de puissance à la fois. Il se jeta à ses pieds et embrassa ses bottes en disant :
–Bonjour Maitresse Julie.
C’est vrai qu’elle était magnifique, jambes légèrement écartées et la badine dans le dos, tenue des deux mains. Un ordre d’elle et on ne pouvait qu’obéir. Sans un mot, la badine cingla et vint frapper chacune de ses mains qui lui tenaient les chevilles. Il les retira aussitôt pour les placer dans son dos, en les frottant l’une contre l’autre.
–Debout, esclave, ordonna-t-elle.
Il se leva tout de suite, la tête basse.
–On dit « Oui, Maîtresse Julie. » avant d’exécuter un ordre, lui dit-elle en lui cinglant les cuisses.
–Oui, Maitresse Julie.
–Approche-toi de la table pour prendre connaissance de ton Contrat de Soumission et en signer les trois exemplaires.
–Oui, Maitresse Julie, de suite.
Il prit bien le temps de lire le contrat avant d’y apposer sa signature. Un coup de badine sur les fesses et il signa les deux autres exemplaires. Puis s’écarta pour que Julie vienne signer à son tour, et moi pour finaliser l’accord.
Pour conclure, j’apportais sur un coussin, comme la couronne d’une reine, le collier de cuir qui scellerait définitivement son statut de Soumis.
Il avait été convenu avec Julie que je serais là pour la seconder ce soir et que je suivrais ses consignes, si elle m’en donnait.
–Tends tes mains devant toi pour accepter le signe de ta soumission.
Je posais le coussin sur les mains tendues, le laissant admirer son cadeau quelques instants, puis je le lui attachais moi-même sur la nuque, avant de tendre le bout de la laisse à Julie. Elle le promena quelques minutes dans le salon, prenant vraiment goût à sa nouvelle situation de Maîtresse. Pour finir, elle le fit s’arrêter face à moi.
–Stéphanie, rappelle-lui la règle N°2.
–JAMAIS LES DÉCISIONS DE TA MAITRESSE TU NE CONTESTERAS.
Ayant toute confiance en ta Maîtresse, tu t’en remets donc intégralement à elle et en son jugement. Tout ce qu’elle fait ou dit est vérité universelle. Dans le cas d’incompréhension d’une intention de ta Maîtresse, tu accepteras sans rechigner ni tergiverser de te prêter à ses exigences. Puisque tu as confiance en ta Maîtresse, ce qu’elle entreprend ne peut l’être que pour ton bien et son plaisir.
–Tu as bien tout compris, esclave ?
–Oui, Maitresse Julie.
–Bien, Stéphanie, le bandeau.
Je pris le bandeau et le plaçais sur ses yeux, de façon à ce qu’il ne puisse plus rien voir. Je testais en approchant deux doigts vers ses yeux et il ne bougea pas.
–Bien, Stéphanie, déshabille-le maintenant, entièrement.
Je posais un genou au sol et défit sa ceinture, puis la braguette avant de descendre le pantalon. Il avait ôté ses chaussures en entrant et je relevais un pied, puis l’autre pour lui enlever son pantalon. Le boxer suivit le même chemin. Sa queue, à demi molle, pendait entre ses cuisses. Je me relevais ensuite pour lui ôter son maillot que je fis coulisser tout le long de la laisse, que Julie lâcha juste un seconde avant de la reprendre.
Julie tendit la badine sur le sexe du jeune homme, la relevant doucement, la caressant un peu. La crainte de prendre un coup la faisait durcir et grossir à vue d’œil. La voilà presque horizontale désormais. La badine alla jouer avec les boules qui étaient accessibles maintenant. Puis, elle donna quelques petits coups entre ses cuisses afin qu’il les écarte plus.
–Bien esclave, tends tes mains devant toi et pose-les sur la taille de Stéphanie.
Il tendit les mains que je plaçais sur ma taille.
–Recules-toi un peu de façon à faire la planche, le dos bien horizontal, dans l’alignement de tes bras, les jambes légèrement écartées et les fesses bien tendues.
Il s’exécuta sans broncher.
Le premier coup partit, sans prévenir, violent. Il se mordit les lèvres pour ne pas crier. Un deuxième, puis un troisième. Je sentais ses doigts se raidir sur ma taille. Il serrait fort pour ne pas hurler. Encore deux coups.
Puis un silence.
–Stéphanie, rappelle-nous la règle N°10.
–DE TES PUNITIONS, TOUJOURS TA MAITRESSE TU REMERCIERAS.
La Maîtresse disposera intégralement de son soumis. Elle pourra tout à loisir s’amuser avec ton corps aussi bien qu’avec ton esprit. Ainsi, s’il lui prend l’envie de te faire subir un châtiment corporel, elle n’aura pas à s’en justifier. À plus forte raison, si tu as failli à l’une des obligations afférentes à son statut. Tu t’obligeras à remercier ta Maîtresse de l’attention qu’elle a bien voulu te porter lors de cette punition.
–Même si je n’ai pas à me justifier, pour cette fois je t’informe que tu es puni pour avoir agrippées mes chevilles sans ma permission. Et, vu que tu n’as pas remercié ta maitresse à chaque coup reçu, la punition est doublée et je recommence dès maintenant. Après chaque coup, je veux t’entendre remercier ta Maîtresse de manière claire et intelligible. As-tu bien tout compris cette fois, esclave ?
–Oui, Maitresse Julie.
De sa badine, elle jouait avec le sexe du garçon, comme tout à l’heure, en donnant de tous petits coups sur le gland. La verge se redressa aussitôt, de peur sans doute de prendre un coup plus violent. Mais c’est bien ses fesses tendues qui étaient visées. Elle passa la badine sur les formes marquées déjà, le faisant tressaillir. Puis le premier coup partit.
–Merci, Maitresse Julie.
Un second.
–Merci, Maitresse Julie.
Nice day!
Hope all is good ! Call me Vika. And I’m from Russia.
But despite the severities in my motherland, I want to find a partner from abroad.
I am a lonely woman and I wish to wish a good man.
I want to find a strong feelings. Nice and calm lady.
I guess, i’m funny, I have a good sense of humor. I want to meet a man and be with him until the end.
I’m 35 years old. And I will be happy if your answer to me linkovaviktoria1990@gmail.com
Viktoria.