Martine (10/23)

Je savais que ce moment viendrait et même, je dois dire que je l’attendais. Sans savoir évidemment ce qu’il allait me faire. Mais je me doutais que ce ne serait que du bonheur. Comme je le laissais faire, il s’enhardit, releva ma jupe longue, baissa mes collants et ma culotte en même temps. Il embrassa mes fesses avant de me retourner.

« Chez moi, l’autre soir, je t’ai vue toute nue. Je t’ai trouvée très belle, vraiment désirable. C’est pour cette raison que je n’ai pas pu résister à embrasser ton petit abricot, à le lécher. Et à te faire jouir pour finir ».

« Vu ton état, je ne suis pas certain que tu ais vraiment apprécié cette première fois. Je vais recommencer, maintenant, et chaque fois que tu reviendras, si tu le veux bien ».

Que voulez-vous répondre à cela ? Est-ce que je le voulais ? Oui, je crois. Mais je ne voyais surtout aucune raison de dire non. J’étais en phase d’apprentissage, avide de savoir ce que tous me cachaient. Les plaisirs interdits. Je me laissais caresser sans rien dire, acceptant tout par avance.

Instinctivement, mon bas-ventre s’approcha de sa bouche. Le sort en était jeté. Il posa ses doigts en haut de mes cuisses, caressant la peau tendre et duveteuse à cet endroit. Puis, ce fut sa bouche qui remplaça ses doigts. Le souffle chaud de son haleine hérissait mes poils pubiens. Je commençais à perdre tout contrôle lorsque sa bouche se posa enfin sur mon intimité. J’avais posé mes mains sur sa tête, je murmurais des « oui, oui, oui ».

Sa langue à la commissure de mon sexe et de mes cuisses, ses lèvres qui couraient sur ma fente et mon bouton, tout cela me fit perdre mes moyens. Et voilà que je plaque littéralement le visage de mon amant sur mon sexe. Il le prend à pleine bouche, frottant ses lèvres sur mon clitoris, pendant que sa langue tentait de me pénétrer fougueusement.

Je me cambrais de plus en plus, l’attirant à moi, en moi. Je poussais des soupirs de plus en plus forts et soudain, je fus envahie par une onde de plaisir. Il posa ses mains sur mes fesses pour mieux me savourer, l’un de ses doigts vint caresser mon petit trou secret. C’en était trop pour moi.

L’effet de sa langue dans mon sexe, ses lèvres sur mon clito et son doigt dans mon petit trou me fait littéralement exploser de plaisir. C’était la première fois que j’expulsais autant de cyprine, qu’il se fit un plaisir de tout avaler. Mon amant, il faut bien dire les choses telles qu’elles sont, venait de m’envoyer au septième ciel pour la seconde fois. C’était une première en étant pleinement consciente de ce que je faisais.

Il me lécha amoureusement de longues minutes, prolongeant d’autant mon orgasme. Puis, il se résigna à remonter ma culotte, mes collants en laine et remettre ma jupe à sa place. Je fis quelques achats avant de rejoindre la voisine. « Achats » que je ne payais toujours pas, sur sa demande expresse. Je devais revenir le lendemain pour aborder l’apprentissage de la caisse enregistreuse.

Je mangeais avec ma voisine et les enfants. Elle me félicita d’avoir trouvé un emploi, elle qui en cherchait un depuis longtemps. Mais, avec ses enfants, difficile de trouver un emploi compatible avec les horaires de sortie de classe. Je lui promis que je la préviendrais la première si j’apprenais qu’un travail pouvait lui convenir.

Mireille, ma voisine, était encore une très belle femme. Mais elle ne faisait aucun effort pour plaire. À qui pourrait-elle plaire, à part son mari ? Quelques kilos en trop, dus à une trop longue inactivité. Elle se laissait vivre, comme disait si bien ma mère. Pourtant j’étais certaine qu’avec quelques efforts, elle pourrait faire des envieux. J’avais vraiment envie de l’aider, d’abord parce que je l’aimais beaucoup, et ensuite parce qu’elle me rendait de grands services en gardant mon frère et ma sœur. Cela me permettait de retrouver Mr Fernand dans son bureau pour la suite de mon apprentissage.

Il y avait parfois des clients, et je le suivais pour apprendre les ficelles du métier. Être toujours souriante, aimable. Pour garder sa clientèle, il avait toujours un mot gentil pour son client ou sa cliente, quelque chose de personnel. Ce pouvait être la santé, les enfants, la pêche ou la chasse pour les passionnés. Il connaissait tout le monde et trouvait toujours un sujet de conversation avec son interlocuteur.

Une cliente avait acheté des fruits, il me montra comment utiliser la balance, bien choisir le prix correspondant à l’article. La multiplication se faisait automatiquement. Il n’y avait pas énormément de place derrière la caisse et, quand j’opérais sur la balance, je sentais son sexe qui grossissait contre mes fesses. Il ne cessait de parler à la cliente, détournant son attention. Il n’aurait pas fallu qu’elle voit ce qui se passait sous ses yeux.

Après cela, il m’entraina dans son bureau pour tester le nouveau modèle de caisse enregistreuse qu’il venait d’acquérir. Plus sûre, plus moderne, mais également plus compliquée. Même s’il connaissait parfaitement l’utilisation de son propre matériel, il apprenait en même temps que moi à utiliser ce nouveau modèle. Pour des questions pratiques, j’étais debout entre ses jambes tandis qu’il était assis sur son fauteuil.

Évidemment, ce qui devait arriver arriva. Il posa ses mains sur mes hanches, elles glissèrent sur mon ventre, remontèrent vers ma poitrine. Il prit enfin mes seins dans ses grandes mains et me pelota amoureusement. Je posais mes mains sur le bureau, de chaque côté de la caisse enregistreuse.

Ce mouvement m’obligea à me pencher légèrement en avant, et donc à rapprocher mes fesses de son sexe que j’imaginais tendu. Il lâcha mes tétons pour soulever ma jupe. Je pliais légèrement les genoux pour venir plaquer mon fessier entre ses cuisses, là où la bosse durcissait encore.

Je frottais maintenant volontairement son sexe tendu par des petits mouvements de rotation de mon bassin. Quand je cessais de bouger, c’est lui qui se frottait contre mes fesses, tout en caressant mes tétons tous durs. Je ne savais pas exactement ce que je faisais mais j’aimais cette sensation de puissance.

Je créais le trouble chez cet homme d’âge mûr, marié et certainement très heureux avec son épouse. Je ne pensais nullement à me venger de Fabienne, vu que c’était elle qui avait provoqué cette première fois, dans son salon.

 

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