La Comtesse d’Orgemont (08/09)

Je m’en donnais à cœur joie, léchant la fente sur toute sa longueur. De son petit trou du cul à son clito bien développé maintenant. Ma langue s’aventura vers son anus, encore un endroit inexploré. Et inexploité. De totalement passive, elle commença à participer un peu plus. Ses mains, jusqu’alors inertes, s’étaient positionnées derrière les jambes de Roselyne et remontaient doucement sous la robe. Atteignant les fesses qu’elles malaxèrent allègrement.

Ce n’est que lorsqu’elle atteignit le paroxysme du plaisir qu’elle se relâcha entièrement. Les bras ballants, les yeux dans le vague. Elle était là, et ailleurs. Roselyne revint près de moi et me déshabilla totalement. Je l’aidais ensuite à ôter sa jolie robe de marque. Elle apparut avec juste un corset qui mettait sa poitrine en valeur. Elle changea de pièce quelques instants, le temps pour moi de déshabiller Caro.

Nous étions donc toutes les deux entièrement nues quand Roselyne revint, équipée d’un gode ceinture. Caro ouvrit de grands yeux. Jamais elle n’avait imaginé tromper son mari, le père de ses enfants. Elle venait pourtant de faire l’amour avec deux femmes. Mais là, l’une d’elles se transformait en homme et allait certainement la pénétrer. Elle ne savait pas ce qu’elle devait faire.

Elle était dans un état second quand je l’aidais à se relever. Juste devant Roselyne, elle sentait la queue factice qui frottait contre ses cuisses, entre ses cuisses. Mais quand la femme, la Maîtresse devant elle, ouvrit la bouche, elle en fit de même et s’abandonna une nouvelle fois dans un baiser passionné. Elle fut même surprise que sa main ne lui obéisse plus. Celle-ci caressait le gode comme si c’était vraiment un sexe d’homme.

Aucune réticence quand ma Maîtresse appuya sur ses épaules, légèrement. Elle s’agenouilla devant l’objet et le prit en bouche. Elle le suçait comme si sa vie en dépendait. Quand il fut bien humecté, Roselyne la releva et la plaça à genoux sur le canapé, les avant-bras sur le dossier du meuble. Je me plaçais juste à ses côtés, dans la même position, jambes écartées.

Caro n’osait pas regarder ce qui devait arriver de façon inéluctable. Elle sentit le gland du gode contre sa fente, se promener de haut en bas, s’approcher dangereusement de son petit trou. Elle fermait les yeux mais réussit à lâcher une plainte, presque inaudible au début.

« Non, pas par là. Je ne veux pas. Pas … Comme ça. Pas … »

Elle ne put finir sa phrase, Roselyne avait choisi sa chatte dégoulinante et s’était plantée bien au fond, d’une seule poussée. Un gros soupir de soulagement et de plaisir cumulés sortit de sa gorge. Le bruit caractéristique des flop flops envahit la pièce, suivant le rythme cadencé des allées et retours du gode au plus profond de son intimité.

Elle se faisait baiser par une femme pour la première fois de sa vie et elle adorait ça. L’idée même que ce soit une femme qui lui apporte autant de plaisir la faisait défaillir. Et cela faisait très longtemps que son mari ne l’avait plus prise ainsi. Mais elle savait reconnaître que c’était entièrement sa faute. Ce n’était jamais le bon moment. Elle avait parfois des envies de lui, mais il n’était pas là, ou bien il dormait.

Et quand c’est lui qui voulait, elle devait s’occuper des enfants, de la maison, la lessive ou le ménage, autant de tâches ménagères qu’il lui avait attribuées de facto. Elle ne lui reprochait rien mais ils semblaient vivre dans deux mondes parallèles, l’un à côté de l’autre. Elle fut de nouveau submergée par un nouvel orgasme qui la foudroya littéralement. Ma Maîtresse s’occupa alors de moi, sous les yeux hagards de Caro.

Après de longs moments de tendresse entre nous, il a bien fallu se résoudre à nous rhabiller et à quitter cet appartement. Je raccompagnais Caro jusqu’à sa porte, à pied. Pas un mot n’a été prononcé sur le chemin du retour. Ce n’est que devant chez elle qu’elle me demanda si ce qui venait de se passer pouvait rester entre nous. Elle ne voulait surtout pas que son mari l’apprenne. Je lui promis de rester discrète.

Ce même jour, le matin, j’avais reçu, par mail, une convocation dans le bureau du directeur. J’en avais demandé la raison à ma responsable qui ignorait le motif de celle-ci. Je n’étais donc pas très fière quand je me présentais à son bureau, le jeudi matin, à 10 heures. Pour ce rendez-vous qui pouvait signifier la fin de ma carrière dans l’administration, j’avais décidé de jouer le grand jeu.

Une robe avec un décolleté plongeant, pas de soutif et cela se voyait, un string et des bas noirs complétaient ma tenue. Christiane, ma responsable, avait bien compris et elle s’en amusa. Elle me compara à un soldat, prêt à se sacrifier. Elle n’était pas loin de la vérité. Je ferais n’importe quoi, ou presque, pour garder mon emploi. Même si cela voulait dire que je devais coucher pour ça.

Elle avait évidemment profité de la situation, et de ma tenue affriolante, pour glisser une main sous ma robe. Découverte de ma peau nue, au-dessus des bas, elle a voulu voir immédiatement. Cela ne me dérangeait nullement de tout lui montrer, aussi ai-je relevé ma robe bien haut, pour ne pas la froisser. Elle resta quelques instants en admiration devant le spectacle puis décida que le string était encore de trop.

Tant qu’à se sacrifier, autant le faire totalement. C’est la première fois que je la vis se mettre à genoux devant moi. Sa langue vint titiller mon clito qui n’attendait que ça pour sortir. Je laissais retomber ma robe sur sa tête pour profiter pleinement de sa caresse buccale. Un vrai délice qui me détendit juste avant mon rendez-vous. Les quelques mètres qui me menèrent à ce bureau furent interminables.

L’assistante de direction me fit patienter un peu plus, Monsieur le Directeur était en communication importante avec le Préfet. Elle attendit qu’il la rappelle pour me demander d’entrer dans son antre. Je remarquais immédiatement son regard très appuyé sur ma tenue, ma poitrine dansait librement sous le tissu et je savais en jouer, de ce balancement érotique.

Après un échange de politesses, il aborda le sujet de mon avenir, ce que je souhaitais réellement. Je rentrais dans son jeu en lui disant que j’avais envie de rester ici en poste. Et que j’étais prête à tous les sacrifices.

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