Fabienne (02/02)

Elle ouvrit de grands yeux devant cette proposition, incrédule. Dans son regard déjà perdu, je savais qu’elle ne résisterait pas longtemps. Effectivement, sa main droite descendit entre ses cuisses et remonta sa jupe avant de s’immiscer entre les cuisses largement ouvertes. J’avais eu le temps d’apercevoir la tâche suspecte qui décorait le devant de la culotte.

Même motif de feuilles sur la culotte, avec une pièce de dentelle mauve dans le pli de l’aine. Un liseré de dentelle ornait le haut du vêtement. La main disparut sous le tissu et j’imaginais parfaitement ce qu’elle faisait, guidé par les bruits significatifs. Son autre main ne resta pas longtemps inactive.

Elle avait glissé sur son épaule droite pour descendre la bretelle qui retenait encore le soutien-gorge en place, avant de s’engager dans le balconnet. Un mouvement d’épaule fit descendre l’autre bretelle et sa main dégagea entièrement sa poitrine qui m’apparut enfin, dans toute sa splendeur. Elle malaxait, triturait, tourmentait sa poitrine que je rêvais de toucher maintenant.

Elle ouvrait parfois les yeux, pour vérifier que j’étais bien là, à l’observer. Son plaisir passa un cap, sa main droite devenait bien plus active alors que la gauche restait statique. Était-ce un signe ? Un appel au secours ? C’est ainsi que je l’interprétais avant de passer derrière son bureau, derrière son fauteuil, pour enfin prendre entre mes mains ses deux magnifiques bijoux. Elle poussa un râle de satisfaction quand mes mains se posèrent sur la peau tendre, et chaude, de ses seins merveilleux.

Elle ne se consacrait désormais qu’à sa main droite qui s’activait entre ses cuisses largement ouvertes. Le plaisir était là, grandissant, accentué par la caresse sur ses seins par des mains inconnues jusqu’alors. Je triturais ses tétons, gonflés de plaisir. Elle semblait au bord d’un orgasme foudroyant qui pourtant paraissait bien long à arriver. Elle leva alors les yeux vers moi, suppliante. Le plaisir tant attendu, tellement désiré, semblait se refuser à elle. Cela faisait certainement très longtemps que ses doigts ne s’étaient plus aventurés dans sa culotte. Elle avait besoin de mon aide et je ne pouvais pas refuser cette aubaine. Je m’agenouillais alors entre ses cuisses, ma bouche put prendre possession de son intimité qu’elle me livrait sans aucun complexe.

Parce que c’était mon plaisir personnel, je continuais à peloter ses magnifiques seins tout en lui offrant un splendide cunni. Je léchais avec délectation le devant de sa culotte, tout imprégné de son jus divin. Elle avait simplement posé ses deux mains sur ma tête. À travers le tissu, je sentais sa toison bien fournie et ses parfums m’envoûtaient. J’aspirais ses lèvres intimes recouvertes par le tissu imbibé. Je résistais cependant à mon envie très forte de la faire jouir ainsi et reculait ma tête légèrement.

Elle me regarda, étonnée, puis comprit immédiatement ce que je désirais. Elle souleva ses fesses pour descendre sa culotte à ses genoux. Je la fis passer par ses chevilles, la découvrant totalement, dans toute sa splendeur. Une toison négligée depuis quelques années, semblait-il. Mais là n’était pas l’important. Elle se donnait entièrement et je me devais de la faire jouir au-delà de ses espérances.

Elle avait relevé ses cuisses au maximum, les mains soutenant ses genoux au niveau des accoudoirs de son fauteuil. Elle ne put résister plus de trois minutes et finit par exploser dans ma bouche. Je récoltais tout son nectar pour m’en repaître. Je léchais toujours sa chatte de femme mûre, prolongeant d’autant son orgasme fulgurant. Ses pieds reposaient maintenant sur mon dos, ses deux mains accompagnant ma tête. Jusqu’à ce qu’elle n’en puisse plus et qu’elle repousse ma bouche loin de son intimité.

Je la regardais se remettre doucement, impudique à souhait. J’aurais aimé que ce moment dure plus longtemps, mais toutes les bonnes choses ont une fin. L’instant magique était parti tandis qu’elle reprenait ses esprits, et quelques couleurs. Elle reposa ses pieds à terre et rabaissa sa jupe. Le spectacle était terminé. Je l’aidais à rattacher son soutien-gorge, dans le dos, mais c’est elle qui replaça ses seins dans les balconnets. Elle remonta ensuite le zip de son haut. Fin de la représentation.

Je quittais son bureau, pleinement satisfait de cet interlude dans mon quotidien monotone. J’y repensais encore, installé dans mon propre bureau. Aurais-je pu aller plus loin ? Lui faire l’amour, véritablement ? Non, je pense que ce n’était pas son souhait. Je n’oubliais pas qu’elle était mariée. Pour elle, ce n’était qu’une incartade, pour moi, un excellent souvenir.

 

Épilogue

 

Je suis repassé quelques jours plus tard pour la revoir, et lui ramener discrètement sa culotte que j’avais pris soin de laver auparavant. Elle rougit légèrement en voyant le sous-vêtement dans son sac en papier. Cela devait lui rappeler ce que nous avions vécu, elle et moi. Même si cela m’aurait fait énormément plaisir de recommencer, je savais que c’était une aventure d’un instant, sans lendemain, et que cela restera pour moi un merveilleux souvenir. Pour elle aussi, je l’espère.

Chacun a repris sa vie d’avant, mais quand je passe parfois près de son bureau, je passe juste la tête pour lui faire un petit coucou. Nous sommes désormais capables de parler de choses et d’autres, mais, dans son regard, je lis parfois comme un regret. Pas un remord. Comme toutes les femmes, elle doit savoir que, si elle me demande de recommencer, je dirais « Oui » sans hésiter une seule seconde. Elle reste la seule à pouvoir décider si nous recommencerons, un jour.

 

Post-scriptum :

Cette histoire a réellement eu lieu. Seul le prénom a été changé pour maintenir un peu de confidentialité envers cette femme et son couple. Mais qu’elle s’appelle Fabienne, Geneviève ou Simone, l’histoire aurait été la même. Si vous, mes fidèles lecteurs, avez des histoires similaires à me confier, je serais ravi de les lire, de les réécrire peut-être en y ajoutant ma propre touche avant de les publier sur mon blog, avec votre accord, bien évidemment.

bobbyheas76@gmail.com

 

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