Fabienne (01/02)

Je travaille depuis quelques années dans une administration. Fabienne est une de mes collègues que je croise de temps en temps dans le hasard des couloirs. Juste un « Bonjour, comment ça va ? ». La routine des fonctionnaires. Je sais d’elle qu’elle est mariée et que son mari travaille aussi dans notre bâtiment, mais à un autre étage. Les confidences d’un collègue me font croire qu’elle n’est pas très heureuse dans son mariage, mais ce ne sont sans doute que des rumeurs sans fondement.

Un jour de Juin dernier, je passais tout à fait par hasard près de son bureau, légèrement isolé des autres. Je savais, pour l’avoir souvent entendue en parler, qu’elle faisait du télétravail les après-midis. Elle n’était donc pas censée être là, aussi ai-je été un peu surpris de l’entendre dans son bureau. Je rentre pour la saluer, cela faisait plusieurs jours que je ne l’avais plus croisée dans les couloirs.

S’engage alors une discussion somme toute banale, sa santé, celle de ses enfants. Sa fille de 16 ans qui vient d’avoir sa seconde dose de vaccin, contre la Covid. Elle refuse par contre de faire vacciner son fils, qu’elle estime trop jeune, trop fragile. Elle parle beaucoup mais déjà, je ne l’écoute plus depuis un moment. Les yeux fixés sur son décolleté.

Je me rends compte que j’ai oublié de me présenter. Je suis un homme de 40 ans, divorcé depuis plus de deux ans. Fonctionnaire, je travaille dans cette administration départementale depuis 15 ans. Fabienne est une femme de 42 ans, c’est elle qui me l’a dit. Mariée, deux enfants. Elle n’est pas grosse, physiquement. Mais pas maigre non plus. Une femme d’une quarantaine d’années avec un corps de femme, avec quelques rondeurs, et surtout une bien jolie poitrine.

Et c’est justement cette partie de son anatomie que je fixais malgré moi. Elle portait, ce jour-là, un haut à manches courtes, fermé par une fermeture éclair sur le devant. Ce qui lui permettait de pouvoir jouer avec le décolleté qu’elle voulait bien offrir à la vue de tous. Je pouvais presque apercevoir, entre les pans du vêtement, le soutien-gorge qui maintenait sa somptueuse poitrine. Une jupe qui lui arrivait à mi-cuisses complétait sa tenue.

Je me suis soudain rendu compte qu’elle ne parlait plus, qu’elle m’observait attentivement, avec un regard perplexe. Plus précisément, c’est ma main droite qu’elle fixait, et mon index qui, semblant avoir sa propre vie, faisait des allers-retours de haut en bas. Elle avait parfaitement identifié que c’est sa poitrine que j’admirais depuis un instant. Mais ce doigt, dirigé vers elle, semblait lui demander de baisser le zip de la fermeture. Aucune menace d’aucune sorte, aucune contrainte. Simplement une demande non-formulée verbalement.

Elle, assise sur son fauteuil, et moi, debout de l’autre côté de son bureau, surplombant ce magnifique tableau. Je me forçais à baisser ma main afin qu’elle ne me prenne pas pour un pervers, mais il était bien tard pour réaliser cela. Je m’attendais à toute une litanie de reproches, parfaitement justifiée. Enfin presque. Je n’avais fait que regarder, avec envie, ce qu’elle voulait bien montrer.

Contrairement à mes craintes, pas un mot ne sortit de sa bouche. Même son regard était doux, elle semblait perdue dans ses pensées. Un combat avait sans doute commencé dans sa tête sur ce qu’elle devait faire maintenant. Ce qu’elle devait dire. Je voyais ses doigts bouger malgré elle, comme si elle comptait sur ses doigts, comme si elle évaluait les différentes possibilités qui se présentaient à elle.

De tout ce qu’elle aurait pu dire, ou faire, c’est le plus incroyable qui remporta la décision. Lentement, je vis sa main droite se diriger vers le curseur du zip et le baisser doucement vers le bas du vêtement. Avec infiniment de lenteur, elle ouvrait son haut qui me dévoilait petit à petit ce que j’avais déjà entraperçu. Un magnifique soutien-gorge, avec une bordure en dentelle mauve.

Un petit nœud noir au centre, entre les balconnets, m’apparut. Puis les bonnets, décorés de motifs en forme de feuilles, de brindilles. Les bonnets étaient reliés à leur base par une pièce de dentelle, toujours mauve, en forme de papillon. Et toujours cette somptueuse poitrine que je voyais se gonfler et se dégonfler à chaque respiration. Fabienne, sans qu’elle n’y soit obligée, m’offrait le plus magnifique des spectacles.

Le curseur du zip était arrivé en bas, le haut était complètement ouvert sur le torse de ma collègue. Il n’était plus maintenu, en bas, que par un bouton qu’elle n’avait sans doute pas envie de défaire. Elle leva à ce moment les yeux vers moi et put voir toute l’admiration que je portais sur son corps divinement découvert. Un petit sourire au coin de ses lèvres en disait long sur son état d’excitation.

Mécaniquement, mes mains étaient remontées au niveau de ma taille et semblaient avoir désormais leur propre vie. Trois doigts, pouce, index et majeur, s’étaient joints et bougeaient en formant comme des petits cercles. Comme s’ils caressaient les tétons que je voyais durcir sous les bonnets.

Fabienne comprit immédiatement le message et, comme elle avait obéi précédemment en ouvrant son haut, elle se mit à pincer tendrement ses tétons bien durs entre trois doigts. Elle avait fermé les yeux pour profiter pleinement de ce moment de pur plaisir. De ma place, derrière le bureau, je voyais qu’elle avait les cuisses bien écartées. Je ne voyais encore rien de plus, mais j’imaginais la tempête qui devait faire rage sous la culotte.

Je remarquais des soubresauts avec sa main droite. Elle souhaitait, semble-t-il, descendre entre ses cuisses mais revenait toujours vers le téton qu’elle malaxait. Pour la première fois depuis bien longtemps, je prononçais quelques mots qui déclenchèrent des événements improbables jusque-là.

« Tu peux te caresser, si tu le souhaites. Cela ne me gêne pas du tout ».

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