Le mois suivant fut beaucoup plus calme, excepté mon aventure avec Léandre. Il faut avouer que cela occupait la majeure partie de mon temps, que ce soit au travail ou en dehors. Je continuais toujours à voir Clothilde, Laura et Anne-Laure. Quand elles n’étaient pas parties en vacances.
C’était ma première année de travail, depuis longtemps, et je n’ai eu droit qu’à une semaine de congés. Le reste du mois se passa tranquillement, si ce n’était la canicule qui s’était abattue sur Angers, et la France entière.
Je trouvais malgré tout le temps pour rendre visite à Agathe et Fernand. C’était en fin de soirée et, à cette heure, Agathe bronzait dans son jardin tandis que Fernand arrosait les fleurs. Ce soir-là, je sortais du travail, je portais une robe avec seulement un soutif dessous, Léandre avait gardé ma culotte en trophée, comme bien souvent.
Je restais à discuter un moment avec Agathe quand elle me proposa de rentrer boire un rafraîchissement. Je me levais et attendis qu’elle se lève également. Je n’avais pas vu Fernand, derrière moi, qui s’approchait sans bruit. Quand la pluie commença à tomber sur moi, je fus très vite tétanisée. Au visage souriant d’Agathe, je compris que c’était Fernand qui m’arrosait à mon tour.
« Les belles fleurs ont besoin d’eau par cette chaleur » ajouta-t-il.
Le tissu de ma robe fut très vite trempé, et moi avec. C’est en voyant le regard que posait Agathe sur mon corps que je compris que j’étais plus que désirable ainsi. Je frottais mes seins, faisant coller le tissu encore plus, puis descendais sur mon ventre, entre mes cuisses. Agathe restait bouche bée, en admiration.
Je me tournais vers Fernand qui se prit au jeu et continua de m’arroser. La poitrine, le ventre, le haut de mes cuisses. Il s’en donnait à cœur joie. Je lui offrais ensuite mon postérieur qu’il entreprit également de bien arroser. Le jet d’eau fusait sur mes fesses, dans ma raie, me donnant des sensations étranges et très agréables. De nouveau face à Agathe, je continuais à me caresser, comme si j’étais sous la douche, nue. Je lui fis d’ailleurs la remarque.
« Il ne manque plus que le savon pour une bonne douche ».
Immédiatement, elle disparut dans la maison pour revenir aussitôt après avec un flacon de lessive liquide, spéciale couleurs pour ne pas citer de marque, et un flacon plus petit de lait de toilette. C’est par la lessive qu’elle commença, bien sûr, badigeonnant le devant de la robe. Elle frottait, pour imprégner le tissu.
Fernand n’était pas en reste, il attrapa ce même flacon et déposa de la lessive liquide sur mon cul. Puis, il massa à son tour mes fesses, mon dos. Ma robe était recouverte de mousse qui s’égouttait sur le sol de la terrasse. Il ne restait plus qu’à rincer pour finir la lessive. Lol.
Une fois bien rincée, j’ôtais ma robe pour la mettre à sécher au soleil. Agathe s’en chargea, emportant avec elle le soutif, trempé lui aussi. Fernand reprit le jet d’eau et recommença à m’arroser. Prise au jeu, je le laissais faire disparaître toute trace de lessive sur moi. Agathe revint vers nous en tenant le lait de toilette.
Elle s’en versa sur les mains avant de les poser sur mes seins, elle renouvela son geste pour badigeonner mon ventre, mes cuisses et donna le flacon à son époux. Il fit de même dans mon dos et surtout sur mes fesses. J’étais pelotée devant et derrière, malaxée de partout. Heureuse surtout que l’on s’occupe si bien de moi. Je sentais parfois la queue de Fernand qui venait frôler ma cuisse.
Agathe avait maintenant sa main entre mes cuisses et elle me doigtait de manière divine. J’étais à deux doigts de jouir quand elle cessa toute activité. Fernand se frotta dans mon dos, frottant sa queue entre mes cuisses. Sans essayer de me pénétrer. Sa femme replaça sa main entre mes cuisses pour plaquer cette queue contre ma fente
Coincé ainsi, Fernand se branla en imitant le coït. Je sentais son excitation grandir en même temps que la mienne. Il aurait pu éjaculer si Agathe n’en avait décidé autrement. Elle s’accroupit devant moi et sa bouche s’attaqua à mon clito. Deux doigts pénétrèrent mon intimité. Il faut dire qu’elle savait y faire.
La queue de Fernand, abandonnée, se trouva collée à mon anus. Mon corps et mes fesses recouverts de lait de toilette, il lui suffisait de pousser légèrement pour ouvrir la porte. Sans me demander mon avis, qui de toute façon aurait été favorable, il investit mon cul d’une seule poussée. Que c’est agréable d’avoir une bonne queue plantée dans le cul.
Les doigts et la bouche d’Agathe devant, Fernand derrière, je ne pus retenir un orgasme impressionnant. Dévastateur. Fernand triturait mes seins tout en m’enculant joyeusement. J’étais dans un état d’ivresse incroyable. Ivre de plaisir et de bonheur.
Toujours planté en moi, il me poussa gentiment vers la pelouse et me força à me mettre à quatre pattes, comme une chienne. Je réalisais que sa femme avait disparu, quelques minutes. Je ne l’entendis pas revenir, mais je sentis sa présence, derrière moi. Enfin, plutôt derrière Fernand.
Il stoppa pendant un instant ses coups de rein, mais sa queue, déjà très impressionnante, se remit à gonfler. Jusqu’à doubler de volume. Je ne voyais rien de ce qui se passait derrière moi mais j’avais déjà vécu une situation analogue. Rappelez-vous, le mois dernier, avec Luis, dans la boîte échangiste. Il s’est fait enculé pendant qu’il me baisait.
Là, c’était Agathe, munie de son gode ceinture qui venait d’investir le cul offert de son époux. Luis n’avait pas pu cacher bien longtemps à des amis ce qu’il s’était passé ce soir-là. Et il avait demandé à Fernand de l’enculer à son tour. Disposé à tous les plaisirs, Fernand s’était exécuté. Devant leurs femmes qui se bouffaient la chatte mutuellement.
Chaque fois qu’ils se voyaient, Fernand finissait toujours par enculer son pote, à sa demande insistante. Si bien qu’un soir, Luis, tandis que Fernand était en train de baiser Inès, approcha son gland bien graissé près de la rondelle de son ami. Un moment d’hésitation et il poussa légèrement. Le premier anneau était franchi. Il resta sans bouger. Fernand aussi avait cessé de pénétrer une Inès qui ne comprenait pas encore ce qui se passait.