Élise (20/21)

Yasmina était éberluée de me voir ainsi, ma moitié femme en haut, et la partie basse comme un homme plutôt bien monté. J’approche le gode de la bouche d’Élise qui l’humidifie de salive comme si elle me taillait une pipe. Une fois bien lubrifié, je retourne derrière elle, sort le vibro de sa chatte et j’entre le gode directement en elle, d’un coup.

Elle aime bien quand je la prends comme ça, en force, moi la petite jeune fille qui joue les gros baraqués, elle adore, Élise. Le vibro que je viens de sortir, je le présente à Yasmina et lui propose de le promener sur le clito de mon amie. Elle accepte et s’approche, s’agenouille près de la table basse et commence à caresser la fente d’Élise avec l’engin qui vibre doucement. Moi, je relève la « queue » sur son dos, m’agrippe à ses hanches et je commence à la pilonner, de grands coups au fond de sa chatte.

Elle respire très fort et, excitée de toutes parts, ne tarde pas à jouir à son tour. Le cri de libération qu’elle pousse est suivi d’un flot de cyprine qui inonde le gode. Je le sors de sa chatte et le présente à la bouche de Yasmina. Elle hésite, une seconde, avant de le mettre en bouche pour le lécher et le nettoyer de la mouille de mon amie. Affolée par le goût, elle en veut encore et se place entre les cuisses d’Élise pour la nettoyer en profondeur. Je profite de son état d’excitation pour la dénuder totalement et enfin, caresser sa poitrine si voluptueuse.

Elle se tord de plaisir, la jeune russe, et je glisse une main entre ses cuisses pour caresser sa fente déjà humide. La chatte d’Élise bien nettoyée, elle reprend sa place sur le canapé, cuisses ouvertes et attire ma tête vers ses lèvres intimes. Je ne me fais pas prier pour lui offrir son premier cunnilingus, un doigt s’aventurant par moments autour de son anus.

La sentant réticente, je n’insiste pas et je me concentre sur sa petite chatte de blonde imberbe, douce et délicieuse. Élise, qui a récupéré un peu, s’occupe de ses seins volumineux. Elle a toujours son plug dans le cul et elle me fait trop rire avec sa queue qui tournoie dans tous les sens.

Yasmina n’en peut plus de plaisirs et l’orgasme la prend par surprise, violent et brutal. Le cri qu’elle pousse fait se retourner le brave Vassili. Il lui pose une question, en russe, et la réponse semble le satisfaire mais maintenant, il ne peut plus détacher son regard du spectacle que nous lui offrons. Il bande à mort, le pauvre Vassili. Et pas le droit de bouger. Impassible, il ne peut plus l’être.

Yasmina demande à Élise si elle voulait bien le soulager, et elle accepte bien sûr. Tout ce qui est bon pour elle, elle est toujours partante. Toute à ma tâche, je ne vis pas tout de suite ce qui se passait, puis, relevant enfin la tête, je vis Vassili, les yeux fermés et concentré sur son plaisir, à demi caché par le canapé, mais je voyais bien la source de son plaisir. La tête d’Élise qui allait et venait sur sa queue qui devait être impressionnante, vu les mouvements de mon amie. Et elle, toujours sa queue qui pendouillait et fouettait l’air, comme une chienne heureuse de satisfaire son maitre.

Yasmina en voulait plus et me demanda de la prendre avec le gode, comme j’avais pris Élise tout à l’heure. Elle resta allongée sue le canapé et ouvrit ses cuisses le plus possible pour m’accueillir entre. Je trempais mes doigts dans sa chatte humide pour imbiber le gode avant de la présenter à l’entrée de sa vulve. Petit temps d’arrêt. Je la voyais respirer fort, dans l’attente de la pénétration, de ce moment où les deux corps ne font plus qu’un seul, comme soudés par une indicible force.

Comme aimantée par son regard, je m’enfonçais doucement en elle, très facilement tellement elle me voulait en elle. Je glissais avec délice dans ce corps juvénile et déjà si désirable. Je ne m’arrêtais que quand je fus tout au fond, bien campée en elle. Je caressais ses seins, en excitais les tétons déjà bien érigés, les faisaient rouler dans le creux de ma paume. Yasmina attendait, bouche ouverte, regard dans le vague, déjà ailleurs, sur une autre planète. Je m’agrippais à ses hanches et commençais de lents va-et-vient, prenant tout mon temps, faisant monter son plaisir, ralentissant encore quand je la voyais prête à exploser, puis recommencer encore et encore.

Je m’arrêtais de temps en temps, caressant ses seins ou son petit bouton d’amour, puis repartais de plus belle, plus vite, plus fort, plus loin encore si cela était possible. Puis je vis son corps se soulever du canapé, comme mu par une force invisible et elle tremblait de toutes parts, telle une épileptique. Même Vassili, pourtant bien absorbé par son plaisir propre, la regarda un moment puis, rassuré, se retourna vers Élise, posa ses mains sur sa tête tandis qu’il éjaculait dans sa bouche, l’obligeant à tout avaler, difficilement mais elle déglutit tout et ensuite, nettoya les dernières gouttes qui perlaient au bout du méat. Les couilles enfin vidées, il reprit son poste et son attitude impassible, heureux de l’intermède.

Yasmina revenait à elle peu à peu, reprenant des couleurs. Élise, libérée de la tâche qu’on lui avait confiée, entreprit de nettoyer la petite chatte imberbe. Pour cela, elle posa sa jambe sur l’accoudoir du canapé, juste au-dessus de la tête de Yasmina et se pencha en avant pour lui lécher le clito et nettoyer les restes de son plaisir. En voyant cette chatte bien rasée au-dessus de sa tête, Yasmina, qui commençait à y prendre vraiment goût, l’attira vers sa bouche et commença à la lécher, reproduisant les mêmes coups de langue que Élise lui donnait. Se donnant mutuellement du plaisir, elles jouirent en même temps, exactement.

Quand elles eurent récupéré un peu, on but un verre ensemble, discutant de tout et de rien. Puis Yasmina nous donna un billet de 500 € chacune, comme convenu, cela signifiait la fin de la soirée. On est rentrées se coucher, vannées mais heureuses.

Le lendemain, dernière matinée de ski pour moi, je repartais le lendemain. Noémie demanda à nous accompagner et c’est Élise qui s’empressa d’accepter. Elle était très jolie dans sa combinaison rose bonbon, une jolie sucrerie que Élise et moi rêvions de déballer pour la déguster. Élise surtout, je dirais. Je ne l’avais jamais vue avant aussi accro à une fille ou même un mec. L’une comme l’autre étaient bien meilleures skieuses que moi et je les retrouvais toutes deux en bas de la piste, m’attendant patiemment en critiquant ma façon de skier, lol.

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